« Occitanie » : différence entre les versions
m Révocation d’une modification réalisée par Copekdeseta (discussion) et restauration de la dernière version réalisée par Eunostos Balises : Révocation Révoqué |
Annulation des modifications 371860 de Malik2Mars (discussion) Balises : Annulation Révoqué |
||
Ligne 155 : | Ligne 155 : | ||
|page=142}} |
|page=142}} |
||
== [[Jean JaurèsMÉTHODE COMPARÉE |
|||
Il y a quelques semaines, j’ai eu l’occasion |
|||
d’admirer, en pays basque, comment un antique |
|||
langage, qu’on ne sait à quelle famille rattacher, |
|||
avait disparu [sic]. Dans les rues de Saint-Jean-de- |
|||
Luz on n’entendait guère parler que le basque, par |
|||
la bourgeoisie comme par le peuple : et c’était |
|||
comme la familiarité d’un passé profond et mystérieux |
|||
continué dans la vie de chaque jour. Par quel |
|||
prodige cette langue si différente de toutes autres |
|||
s’est-elle maintenue en ce coin de terre ? Mais |
|||
quand j’ai voulu me rendre compte de son mécanisme, |
|||
je n’ai trouvé aucune indication. Pas une |
|||
grammaire basque, pas un lexique basque dans |
|||
Saint-Jean-de-Luz où il y a pourtant de bonnes |
|||
librairies. Quand j’interrogeais les enfants basques, |
|||
jouant sur la plage, ils avaient le plus grand plaisir |
|||
à me nommer dans leur langue le ciel, la mer, le |
|||
sable, les parties du corps humain, les objets familiers |
|||
! Mais ils n’avaient pas la moindre idée de sa |
|||
structure, et quoique plusieurs d’entre eux fussent |
|||
de bons élèves de nos écoles laïques, ils n’avaient |
|||
jamais songé à appliquer au langage antique et |
|||
original qu’ils parlaient des [sic] l’enfance, les procédés |
|||
d’analyse qu’ils sont habitués à appliquer à la |
|||
langue française. C’est évidemment que les maîtres |
|||
ne les y avaient point invités. Pourquoi cela, et |
|||
d’où vient ce délaissement ? Puisque ces enfants |
|||
parlent deux langues, pourquoi ne pas leur apprendre |
|||
à les comparer et à se rendre compte de l’une et |
|||
de l’autre ? Il n’y a pas de meilleur exercice pour |
|||
l’esprit que ces comparaisons ; cette recherche des |
|||
analogies et des différences en une matière que l’on |
|||
connaît bien est une des meilleures préparations de |
|||
l’intelligence. Et l’esprit devient plus sensible à la |
|||
beauté d’une langue basque, par comparaison avec |
|||
une autre langue il saisit mieux le caractère propre |
|||
de chacun [sic], l’originalité de sa syntaxe, la logique |
|||
intérieure qui en commande toutes les parties |
|||
et qui lui assure une sorte d’unité organique. |
|||
Ce qui est vrai du basque est vrai du breton. Ce |
|||
serait une éducation de force et de souplesse pour |
|||
les jeunes esprits ; ce serait aussi un chemin ouvert, |
|||
un élargissement de l’horizon historique. |
|||
Mais comme cela est plus vrai encore et plus |
|||
frappant pour nos langues méridionales, pour le |
|||
limousin, le languedocien, le provençal ! Ce sont, |
|||
comme le français, des langues d’origine latine, et |
|||
il y aurait le plus grand intérêt à habituer l’esprit à |
|||
saisir les ressemblance et les différences, à démêler |
|||
par des exemples familiers les lois qui ont présidé à |
|||
la formation de la langue française du Nord et de la |
|||
langue française du Midi, il y aurait pour les jeunes |
|||
enfants, sous la direction de leurs maîtres, la joie de |
|||
charmantes et perpétuelles découvertes. Ils auraient |
|||
aussi un sentiment plus net, plus vif, de ce qu’a été |
|||
le développement de la civilisation méridionale, et |
|||
ils pourraient prendre goût à bien des oeuvres |
|||
charmantes du génie du Midi, si on prenait soin de |
|||
les rajeunir un peu, de les rapprocher par de très |
|||
légères modifications du provençal moderne et du |
|||
languedocien moderne. |
|||
Même sans étudier le latin, les enfants verraient |
|||
apparaître sous la langue française du Nord et sous |
|||
celle du Midi, et dans la lumière même de la comparaison, |
|||
le fonds commun de latinité, et les origines |
|||
profondes de notre peuple de France s’éclaireraient |
|||
ainsi, pour le peuple même, d’une pénétrante |
|||
clarté. Amener les nations et les races à la pleine |
|||
conscience d’elles-mêmes est une des plus hautes |
|||
oeuvres de civilisation qui puissent être tentées. De |
|||
même que l’organisation collectiviste de la production |
|||
et de la propriété suppose une forte éducation |
|||
des individus, tout un système de garanties des |
|||
efforts individuels et des droits individuels, de |
|||
même la réalisation de l’unité humaine ne sera |
|||
féconde et grande que si les peuples et les races, |
|||
tout en associant leurs efforts, tout en agrandissant |
|||
et complétant leur culture propre par la culture des |
|||
autres, maintiennent et avivent dans la vaste Internationale |
|||
de l’humanité, l’autonomie de leur conscience |
|||
historique et l’originalité de leur génie. |
|||
J’ai été très frappé de voir, au cours de mon |
|||
voyage à travers les pays latins, que, en combinant |
|||
le français et le languedocien, et par une certaine |
|||
habitude des analogies, je comprenais en très peu |
|||
de jours le portugais et l’espagnol J’ai pu lire, |
|||
comprendre et admirer au bout d’une semaine les |
|||
grands poètes portugais. Dans les rues de Lisbonne, |
|||
en entendant causer les passants, en lisant les enseignes, |
|||
il me semblait être à Albi ou à Toulouse. |
|||
Si, par la comparaison du français et du languedocien, |
|||
ou du provençal, les enfants du peuple, dans |
|||
tout le Midi de la France, apprenaient à retrouver le |
|||
même mot sous deux formes un peu différentes, ils |
|||
auraient bientôt en main la clef qui leur ouvrirait, |
|||
sans grands efforts, l’italien, le catalan, l’espagnol, |
|||
le portugais. Et ils se sentiraient en harmonie naturelle, |
|||
en communication aisée avec ce vaste monde |
|||
des races latines, qui aujourd’hui, dans l’Europe |
|||
méridionale et dans l’Amérique du Sud, développe |
|||
tant de forces et d’audacieuses espérances. Pour |
|||
l’expansion économique comme pour l’agrandissement |
|||
intellectuel de la France du Midi, il y a là un |
|||
problème de la plus haute importance, et sur lequel |
|||
je me permets d’appeler l’attention des instituteurs. |
|||
JEAN JAURÈS.]] == |
|||
{{citation| |
|||
== [[Gustave Le Bon]] == |
== [[Gustave Le Bon]] == |
||
{{citation|Dans le département de la Creuse, dans les Hautes-Alpes, et notamment dans plusieurs localités situées autour de Montmaure (montagne des Maures), dans le canton de Baignes (Charente), de même que dans certains villages des Landes, du Roussillon, du Languedoc, du Béarn, les descendants des Arabes sont facilement reconnaissables. On les distingue à leur peau basanée, leurs cheveux couleur d'ébène, leur nez aquilin, leurs yeux foncés et perçants. Les femmes se reconnaissent à leur teint olivâtre, leur figure allongée, leurs grands yeux noirs, leurs sourcils épais, la forme conique de leurs seins, etc.}} |
{{citation|Dans le département de la Creuse, dans les Hautes-Alpes, et notamment dans plusieurs localités situées autour de Montmaure (montagne des Maures), dans le canton de Baignes (Charente), de même que dans certains villages des Landes, du Roussillon, du Languedoc, du Béarn, les descendants des Arabes sont facilement reconnaissables. On les distingue à leur peau basanée, leurs cheveux couleur d'ébène, leur nez aquilin, leurs yeux foncés et perçants. Les femmes se reconnaissent à leur teint olivâtre, leur figure allongée, leurs grands yeux noirs, leurs sourcils épais, la forme conique de leurs seins, etc.}} |
Version du 23 octobre 2023 à 08:57
L'Occitanie (en occitan, Occitània ou Óucitanìo) désigne l'espace où la langue occitane est parlé aujourd'hui ou dans un passé récent. L'Occitanie est caractérisée par la culture occitane qui représente depuis le Moyen Âge le second versant de la culture romane en France, mais aussi dans une moindre mesure, en Italie, Espagne et à Monaco. Cette partition entre langue d'oc et langue d'oil dans l'espace gallo-roman est fort ancienne puisqu'elle débuta avec la romanisation elle-même. En France, l'Occitanie est confrontée à un problème de reconnaissance puisque le français est seule langue de la République dans l'administration.
Georges A. Bertrand
la Palestine peu de temps conquise. Et c’est ainsi que se produira silencieusement, furtivement, lentement, tout cet impalpable mouvement artistique, celui de la mémoire et l’un ramènera d’un voyage telle technique, tel autre, un décor, une assiette ou la faïence, il rencontrera un air de musique ou de poésie "courtoise", tel mot également, du sucre au
café, de l’orange à l’abricot, des damassures de Damas aux mousselines de Mossoul.- « Traces, mémoires musulmanes en cœur de France », Georges A. Bertrand, Chemins, nº 5, octobre 2002, p. 5
Fernand Braudel
- L'identité de la France - Les Hommes et les Choses (1986), Fernand Braudel, éd. Flammarion, 1990, p. 215
- Citation choisie pour le 11 août 2010.
Louis Cabrié
- Le troubadour moderne, ou, Poésies populaires de nos provinces méridionales, Louis Cabrié, éd. Librairie d'Amyot, 1844, p. XXXIV
Suzanne Citron
- Le mythe national, Suzanne Citron, éd. Éditions de l'Atelier, 2008, p. 235,250
Collectif
- Huit siècles de mathématiques en Occitanie, des Arabes & de Gerbert d'Aurillac à Pierre de Fermat, Actes du colloques de Toulouse et de Beaumont de Lomagne, éd. Éditions PyréMonde, 2008, p. quatrième de couverture
Joseph Delteil
- Delteil, cathare d'âme (1966), Joseph Delteil, éd. Cahier du Sud, 1966, p. 103
Claude Fauriel
- Histoire de la poésie Provençale, Claude Fauriel, éd. J. Labitte, 1846, vol. 1, p. 7
- Histoire de la poésie provençale, Claude Fauriel, éd. J. Labitte, 1846, vol. 1, p. 422
- Histoire de la poésie Provençale, Claude Fauriel, éd. J. Labitte, 1846, p. 312
- Histoire de la poésie provençale, Claude Fauriel, éd. J. Labitte, 1846, vol. 3, p. 313-314
Marc Ferro
- Des grandes invasions à l'an mille, Marc Ferro, éd. Plon, 2007, p. 91-92
Gustave Flaubert
troubadours du Midi, ses galants jouvenceaux, ses poésies galantes qui devaient enfanter Boccace, à elle ses poètes, ses musiciens et ses jongleurs qui scandalisent au dixième [siècle] la froide prudence des hommes du Nord. [...] Certes, il y a, dans le midi de la France, un grand souvenir d'antiquité: Marseille est une villa de Rome, Aix est bâtie avec des pierres romaines, et le génie singulièrement opiniatre du Provençal a conservé quelque chose de romain et d'antique. Mais sous cette poussière apparente de génie antique, perce aussi un autre génie, plus original, plus libre dans ses allures, plus hardi, plus dégagé. Ce n'est plus la beauté régulière de l'antique, froide et nue comme une statue de Minerve, c'est quelque chose de dansant, de dégagé et de voluptueux. Cette poésie musicale et chantante du Midi, ces notes sonores, cette cadence, ce rythme, cette rime enfin, tout cela nous est venu d'Orient. Mais l'âme de cette poésie tendre, passionnée et lyrique, le culte rendu à la femme, l'amour enfin sentimental et langoureux, qui l'a produit? Qui l'a
senti le premier? Les Arabes.- « Influence des Arabes d'Espagne sur la civilisation française du Moyen Age » (1837), dans Œuvres complètes de Flaubert, Gustave Flaubert, éd. Club de l'Honnête Homme, 1971, p. 135-136
Pierre-Louis Ginguené
- Histoire littéraire d'Italie (1811), Pierre-Louis Ginguené, éd. Michaud, 1811, t. 1, p. 250
Hans Günther
- Les peuples de l'europe (1927), Hans Günther, éd. Éditions du Lore, 2006, p. 142
== [[Jean JaurèsMÉTHODE COMPARÉE
Il y a quelques semaines, j’ai eu l’occasion
d’admirer, en pays basque, comment un antique
langage, qu’on ne sait à quelle famille rattacher,
avait disparu [sic]. Dans les rues de Saint-Jean-de-
Luz on n’entendait guère parler que le basque, par
la bourgeoisie comme par le peuple : et c’était
comme la familiarité d’un passé profond et mystérieux
continué dans la vie de chaque jour. Par quel
prodige cette langue si différente de toutes autres
s’est-elle maintenue en ce coin de terre ? Mais
quand j’ai voulu me rendre compte de son mécanisme,
je n’ai trouvé aucune indication. Pas une
grammaire basque, pas un lexique basque dans
Saint-Jean-de-Luz où il y a pourtant de bonnes
librairies. Quand j’interrogeais les enfants basques,
jouant sur la plage, ils avaient le plus grand plaisir
à me nommer dans leur langue le ciel, la mer, le
sable, les parties du corps humain, les objets familiers
! Mais ils n’avaient pas la moindre idée de sa
structure, et quoique plusieurs d’entre eux fussent
de bons élèves de nos écoles laïques, ils n’avaient
jamais songé à appliquer au langage antique et
original qu’ils parlaient des [sic] l’enfance, les procédés
d’analyse qu’ils sont habitués à appliquer à la
langue française. C’est évidemment que les maîtres
ne les y avaient point invités. Pourquoi cela, et
d’où vient ce délaissement ? Puisque ces enfants
parlent deux langues, pourquoi ne pas leur apprendre
à les comparer et à se rendre compte de l’une et
de l’autre ? Il n’y a pas de meilleur exercice pour
l’esprit que ces comparaisons ; cette recherche des
analogies et des différences en une matière que l’on
connaît bien est une des meilleures préparations de
l’intelligence. Et l’esprit devient plus sensible à la
beauté d’une langue basque, par comparaison avec
une autre langue il saisit mieux le caractère propre
de chacun [sic], l’originalité de sa syntaxe, la logique
intérieure qui en commande toutes les parties
et qui lui assure une sorte d’unité organique.
Ce qui est vrai du basque est vrai du breton. Ce
serait une éducation de force et de souplesse pour
les jeunes esprits ; ce serait aussi un chemin ouvert,
un élargissement de l’horizon historique.
Mais comme cela est plus vrai encore et plus
frappant pour nos langues méridionales, pour le
limousin, le languedocien, le provençal ! Ce sont,
comme le français, des langues d’origine latine, et
il y aurait le plus grand intérêt à habituer l’esprit à
saisir les ressemblance et les différences, à démêler
par des exemples familiers les lois qui ont présidé à
la formation de la langue française du Nord et de la
langue française du Midi, il y aurait pour les jeunes
enfants, sous la direction de leurs maîtres, la joie de
charmantes et perpétuelles découvertes. Ils auraient
aussi un sentiment plus net, plus vif, de ce qu’a été
le développement de la civilisation méridionale, et
ils pourraient prendre goût à bien des oeuvres
charmantes du génie du Midi, si on prenait soin de
les rajeunir un peu, de les rapprocher par de très
légères modifications du provençal moderne et du
languedocien moderne.
Même sans étudier le latin, les enfants verraient
apparaître sous la langue française du Nord et sous
celle du Midi, et dans la lumière même de la comparaison,
le fonds commun de latinité, et les origines
profondes de notre peuple de France s’éclaireraient
ainsi, pour le peuple même, d’une pénétrante
clarté. Amener les nations et les races à la pleine
conscience d’elles-mêmes est une des plus hautes
oeuvres de civilisation qui puissent être tentées. De
même que l’organisation collectiviste de la production
et de la propriété suppose une forte éducation
des individus, tout un système de garanties des
efforts individuels et des droits individuels, de
même la réalisation de l’unité humaine ne sera
féconde et grande que si les peuples et les races,
tout en associant leurs efforts, tout en agrandissant
et complétant leur culture propre par la culture des
autres, maintiennent et avivent dans la vaste Internationale
de l’humanité, l’autonomie de leur conscience
historique et l’originalité de leur génie.
J’ai été très frappé de voir, au cours de mon
voyage à travers les pays latins, que, en combinant
le français et le languedocien, et par une certaine
habitude des analogies, je comprenais en très peu
de jours le portugais et l’espagnol J’ai pu lire,
comprendre et admirer au bout d’une semaine les
grands poètes portugais. Dans les rues de Lisbonne,
en entendant causer les passants, en lisant les enseignes,
il me semblait être à Albi ou à Toulouse.
Si, par la comparaison du français et du languedocien,
ou du provençal, les enfants du peuple, dans
tout le Midi de la France, apprenaient à retrouver le
même mot sous deux formes un peu différentes, ils
auraient bientôt en main la clef qui leur ouvrirait,
sans grands efforts, l’italien, le catalan, l’espagnol,
le portugais. Et ils se sentiraient en harmonie naturelle,
en communication aisée avec ce vaste monde
des races latines, qui aujourd’hui, dans l’Europe
méridionale et dans l’Amérique du Sud, développe
tant de forces et d’audacieuses espérances. Pour
l’expansion économique comme pour l’agrandissement
intellectuel de la France du Midi, il y a là un
problème de la plus haute importance, et sur lequel
je me permets d’appeler l’attention des instituteurs.
JEAN JAURÈS.]] ==
{{citation|
Gustave Le Bon
- La Civilisation des Arabes (1884), Gustave Le Bon, éd. La Fontaine au Roy, 1990, Livre troisième, chapitre septième, Les Arabes en Sicile, en Italie et en France, p. 237
Jules Michelet
- Histoire de France, Jules Michelet, éd. Chamerot, 1861, t. 2, p. 335
- Histoire de France, Jules Michelet, éd. Chamerot, 1861, t. 2, p. 337
- Histoire de France, Jules Michelet, éd. Chamerot, 1861, t. 1, p. 106
René Nelli
- L'érotique des troubadours? (1963), René Nelli, éd. Union générale d'éditions, 1974, p. 103
Élisée Reclus
- Nouvelle géographie universelle: la terre et les hommes, Élisée Reclus, éd. Hachette, 1881, t. 2, chap. 1-Vue d'ensemble - Le milieu et la race, Ançêtres de Français, p. 45-46
Ernest Renan
- La Réforme intellectuelle et morale (1871), Ernest Renan, éd. Complexe, 1985, p. 9
Alem Surre-Garcia
- Au-delà des rives - Les Orients d'Occitanie, Alem Surre-Garcia, éd. Dervy, 2005, préface de Bruno Étienne, p. 21-22
Justin Vaïsse
- Intégrer l'Islam, Justin Vaïsse, éd. Odile Jacob, 2007, Introduction, p. 32-33
Simone Weil
- « L'agonie d'une civilisation vue à travers un poème épique » (1940), dans Cahier du Sud, Simone Weil, éd. Cahier du sud, 1942, p. 105
- « L'agonie d'une civilisation vue à travers un poème épique » (1940), dans Cahier du Sud, Simone Weil, éd. Cahier du sud, 1942, p. 107