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« Pablo Picasso » : différence entre les versions

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Paul Éluard : 16.08
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{{citation|citation=Quand je n'ai pas de bleu, je mets du rouge.}}
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{{Réf Livre
{{Réf Livre|titre=Manager me fascine et j'adore gérer les crises|auteur=Ercey & Jissey|éditeur=Lextenso éditions|année=2009|page=81 |auteur de la contribution=Picasso|ISBN=978-2-297-01288-1|langue=fr}}
| titre =Donner à voir
| auteur = [[Paul Éluard]] (postface de {{w|Lucien Scheler}})
| éditeur = Gallimard
| année = 1986
| année d'origine= 1939
| titre de la contribution = Je parle de ce qui est bien
| année de la contribution = 1935
| ISBN = 2-07-011076-1
| page =99
}}
{{Commentaire biblio|''Fragments d’un conférence'', dans {{w|Cahiers d'art}}, 1935, p. 165 {{lire en ligne|url= https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9822820f/f183.item}}.}}


== Citations sur Picasso ==
== Citations sur Picasso ==

Version du 14 août 2021 à 20:11

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Pablo Picasso (janvier 1962).

Pablo Picasso , né à Malaga, Espagne, le 25 octobre 1881 et mort le 8 avril 1973 (à 91 ans) à Mougins, France, est un peintre, dessinateur et sculpteur espagnol ayant passé l'essentiel de sa vie en France.

Citations rapportées de Picasso

Comme l'a dit un jour Picasso, au grand scandale des gens qui l'entouraient — Je ne cherche pas, je trouve.


Quand je n'ai pas de bleu, je mets du rouge.
Fragments d’un conférence, dans Cahiers d'art, 1935, p. 165 [lire en ligne].

Citations sur Picasso

Expositions et musées

Pour Picasso, l’existence même d’une tradition était un anathème jeté sur son art, celle-ci ayant vocation à être enfreinte, au besoin violemment, et, quoiqu’il ait lui-même puisé dans l’imagerie des baigneuses, il s’est plu, pendant toute sa carrière, à renverser les traditions et « leur » représentation. Même ses baigneuses relativement « gracieuses », celles de la période rose ou les nus classiques, étaient à leur manière subversives, les seconds de ses propres transgressions antérieures. Dès lors que je peux renverser la tradition, semblait-il dire, je peux aussi vous battre sur son terrain.
  • « Picasso and the Bather Tradition », Richard R. Brettell (trad. Édouard Vergnon), dans Picasso, Baigneuses et baigneurs [exposition, Musée des beaux-arts de Lyon, 2020, organisée en collaboration avec le Musée national Picasso-Paris], Émilie Bouvard et Sylvie Ramond, éd. Musée des beaux-arts de Lyon, Musée national Picasso-Paris, 2020  (ISBN 978-9-46161-612-8), p. 20


Les séries des Baigneuses de Picasso, qui s’étalent sur des décennies, sont importantes pour nous non parce qu’elles procèdent d’un art hétéro-normatif, mais parce qu’elles sont des œuvres salutairement inventives et novatrices au sein de traditions picturales qui les dépassent. C’est moins une justification que la reconnaissance que l’histoire de l’art demeure une histoire de forme ET de contenu, et pas seulement une affaire d’images.
  • « Picasso and the Bather Tradition », Richard R. Brettell (trad. Édouard Vergnon), dans Picasso, Baigneuses et baigneurs [exposition, Musée des beaux-arts de Lyon, 2020, organisée en collaboration avec le Musée national Picasso-Paris], Émilie Bouvard et Sylvie Ramond, éd. Musée des beaux-arts de Lyon, Musée national Picasso-Paris, 2020  (ISBN 978-9-46161-612-8), p. 21


L’art de Picasso n’a jamais été tout à fait « français », ou, tout au moins, un art bourgeois français. Au contraire, il était ouvert aux Russes, aux Américains, à ses compatriotes espagnols, aux Allemands, aux Suisses et à bien d’autres encore qui, comme lui, ont cherché un monde cosmopolite en France, nous rappelant à tous que l’art moderne peut être beaucoup de choses, mais pas « nationaliste ».
  • « Picasso and the Bather Tradition », Richard R. Brettell (trad. Édouard Vergnon), dans Picasso, Baigneuses et baigneurs [exposition, Musée des beaux-arts de Lyon, 2020, organisée en collaboration avec le Musée national Picasso-Paris], Émilie Bouvard et Sylvie Ramond, éd. Musée des beaux-arts de Lyon, Musée national Picasso-Paris, 2020  (ISBN 978-9-46161-612-8), p. 21


Ne bougez pas ! Restez comme ça !... Un Matisse ! Si vous étiez nue, vous seriez un Renoir. Mais si vous vous étiez cassée la figure, nous tenions un Picasso.


Tu tiens la flamme entre tes doigts
Et tu peins comme un incendie


Voir aussi

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