Aller au contenu

Smith de Grand Wootton

Une page de Wikiquote, le recueil des citations libres.
Cette page est une ébauche. N'hésitez pas à la modifier en ajoutant des citations admissibles !

Smith de Grand Wootton (Smith of Wootton Major, également paru en français sous le titre Ferrant de Bourg-aux-Bois) est un ouvrage de J. R. R. Tolkien paru en 1967 avec des illustrations de Pauline Baynes.

Citations

[modifier]
Vint un moment, toutefois, où le Maître Queux régnant annonça soudain, à la surprise générale, car ce n'était encore jamais arrivé, qu'il avait besoin de vacances ; il s'en fut donc, personne ne sut où ; et à son retour après quelques mois, il paraissait assez changé.
  • Faerie (1967), J.R.R. Tolkien (trad. Francis Ledoux), éd. Christian Bourgois / Pocket, 1974, Smith de Grand Wootton, p. 70


Dis-leur que je suis parti pour d'autres vacances, mais que cette fois-ci, je en reviendrai pas.
  • Le Maître Queux, à Alf l'Apprenti.
  • Faerie (1967), J.R.R. Tolkien (trad. Francis Ledoux), éd. Christian Bourgois / Pocket, 1974, Smith de Grand Wootton, p. 71


Les fées et les sucreries étaient deux des très rares idées qu'il se fît des goûts des enfants.
  • Au sujet de Nokes.
  • Faerie (1967), J.R.R. Tolkien (trad. Francis Ledoux), éd. Christian Bourgois / Pocket, 1974, Smith de Grand Wootton, p. 73


Mais, quand il en avait le temps, il fabriquait certaines choses pour son propre plaisir ; et elles étaient belles, car il savait donner au métal des formes merveilleuses, qui avaient la légèreté et la délicatesse d'un rameau feuillu et fleuri, tout en conservant la force rigide du fer, ou paraissant même encore plus solides.
  • Au sujet de Smith.
  • Faerie (1967), J.R.R. Tolkien (trad. Francis Ledoux), éd. Christian Bourgois / Pocket, 1974, Smith de Grand Wootton, p. 79


Vous devenez hardi, Front Étoilé, ne trouvez-vous pas ? Ne craignez-vous point ce que pourrait dire la Reine, si elle avait connaissance de ceci ? À moins que vous n'ayez sa permission.
  • La jeune fille, à Smith.
  • Faerie (1967), J.R.R. Tolkien (trad. Francis Ledoux), éd. Christian Bourgois / Pocket, 1974, Smith de Grand Wootton, p. 83


Ce paraissait être un objet vu d'une grande distance, et pourtant il était là, et il en sortait une lueur qui projetait des ombres sur les murs de la pièce, déjà assombrie par le soir.
  • La fleur rapportée de Faërie.
  • Faerie (1967), J.R.R. Tolkien (trad. Francis Ledoux), éd. Christian Bourgois / Pocket, 1974, Smith de Grand Wootton, p. 84


Il lui parut être en même temps dans le Monde et en Faërie, et aussi en dehors des deux, les contemplant l'un et l'autre, de sorte qu'il avait tout ensemble un sentiment de perte, de possession et de paix.
  • Faerie (1967), J.R.R. Tolkien (trad. Francis Ledoux), éd. Christian Bourgois / Pocket, 1974, Smith de Grand Wootton, p. 87


Que tu as l'air fatigué ! Tu as dû marcher longtemps ?
— Très longuement, mon fils. J'ai parcouru tout le chemin de l'Aube jusqu'au Soir.

  • Faerie (1967), J.R.R. Tolkien (trad. Francis Ledoux), éd. Christian Bourgois / Pocket, 1974, Smith de Grand Wootton, p. 93


Je me demande vers quels lieux étranges l'étoile te conduira.
  • Faerie (1967), J.R.R. Tolkien (trad. Francis Ledoux), éd. Christian Bourgois / Pocket, 1974, Smith de Grand Wootton, p. 101


Liens externes

[modifier]

Vous pouvez également consulter les articles suivants sur les autres projets Wikimédia :