« Grazia Deledda » : différence entre les versions
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{{Citation|Elias regardait toujours la [[lune]], en se demandant s'il saurait composer une poésie pour Maddalena… Oh ! grand Dieu ! Il s'oubliait donc, et le démon reprenait son empire ! Mais la voix de l'abbé Porcheddu se fit entendre, un peu grave, un peu tremblée, confidentielle et pourtant vibrante, dans ce grand silence de lune pâle, de lande déserte.<br> |
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– Tu regardes la lune, Elias Portolu, et tu penses à composer une poésie… C'est cela : j'ai bien deviné. Tu es amoureux.}} |
– Tu regardes la lune, Elias Portolu, et tu penses à composer une poésie… C'est cela : j'ai bien deviné. Tu es amoureux.}} |
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Grazia Deledda, née le et morte le , est une femme de lettres italienne, prix Nobel de littérature en 1926.
Citations
Elias Portolu, 1903
Elias regardait toujours la lune, en se demandant s'il saurait composer une poésie pour Maddalena… Oh ! grand Dieu ! Il s'oubliait donc, et le démon reprenait son empire ! Mais la voix de l'abbé Porcheddu se fit entendre, un peu grave, un peu tremblée, confidentielle et pourtant vibrante, dans ce grand silence de lune pâle, de lande déserte.
– Tu regardes la lune, Elias Portolu, et tu penses à composer une poésie… C'est cela : j'ai bien deviné. Tu es amoureux.
– Tu regardes la lune, Elias Portolu, et tu penses à composer une poésie… C'est cela : j'ai bien deviné. Tu es amoureux.
- Elias Portolu (1903), Grazia Deledda (trad. Georges Hérelle), éd. Nelson & Calmann-Levy, 1928, p. 87-88 (texte intégral sur Wikisource)
La poésie vraiment belle, c'est la voix de notre conscience quand elle nous dit que nous avons fait notre devoir.
- Elias Portolu (1903), Grazia Deledda (trad. Georges Hérelle), éd. Nelson & Calmann-Levy, 1928, p. 89 (texte intégral sur Wikisource)
C’est toujours au démon que tu t’en prends ! Je suis las de t’entendre parler ainsi. Qu’est-ce que le démon ? C’est nous-mêmes.
- Elias Portolu (1903), Grazia Deledda (trad. Georges Hérelle), éd. Nelson & Calmann-Levy, 1928, p. 202 (texte intégral sur Wikisource)