René Binet
Apparence
René Binet, né le 16 octobre 1913 à Darnétal, mort d'un accident de voiture le 16 octobre 1957 à Pontoise, est un militant politique français, passé du trotskisme au fascisme et au nazisme.
Citations
[modifier]A l’origine du monde on trouve l’homme et non la classe; L’homme inventeur d’outils et non pas « possesseur d’outils ». La notion « d’appropriation » et « d’aliénation » est une notion marxiste. Le fls du rabbin Mardochai connaissait bien les aptitudes des siens. De les avoir vu s’approprier les inventions et le travail des peuples occidentaux lui a donné l’idée de faire une loi historique de ce qui n’était qu’un acte de brigandage sans lendemain.
- À propos de la lutte des classes et de Karl Marx.
- Théorie du racisme, René Binet, éd. l'auteur, 108, rue Ordener (Impr. Saint-Denis),, 1950, p. 2
Le capitalisme est cosmopolite dans sa doctrine sociale et politique parce qu'il a rompu tous liens avec les bases biologiques des sociétés humaines.
- Théorie du racisme, René Binet, éd. l'auteur, 108, rue Ordener (Impr. Saint-Denis),, 1950, p. 15
Au temps de l'apparition du progrès technique, une autre couche [...] s'empare peu à peu des moyens de production par le truchement de la banque. Elle parvient ensuite au pouvoir politique et à la domination générale. Mais, contradictions essentielles: 1° elle possède la richesse sans droit réel émanant de sa valeur supérieure; 2° elle ne contrôle aucunement les moyens de la conserver: les armes demeurent aux mains des seuls hommes qui aient la valeur et le courage [...]
- Théorie du racisme, René Binet, éd. l'auteur, 108, rue Ordener (Impr. Saint-Denis),, 1950, p. 11
Désormais notre société se trouve divisée en deux camps ennemis, ceux qui prennent conscience de l'éminente dignité de la race et ceux qui, en proclamant l'égalité de toutes les races admettent, par là, implicitement la démission, le déclin et la disparition de la la leur propre.
- Théorie du racisme, René Binet, éd. l'auteur, 108, rue Ordener (Impr. Saint-Denis),, 1950, p. 6
Un adoucissement des mœurs, une humanisation de la lutte des races introduisit la clémence à l'égard des vaincus et fit pour la première fois apparaître une différenciation sociale. Le vaincu au lieu de périr devint esclave. Le vainqueur fut son maître. La qualité de maître et d'esclave, de patricien et de plébéien, de seigneur et de serf, introduisit la notion sociale de supérieur et de subordonné. Cette division en classes n'est donc que le résultat d'une préalable différence de race. La division en classe et castes, la hiérarchie des peuples et des nations et à l'intérieur des États la hiérarchie des hommes, n'est que le résultat tangible, la manifestation extérieure de la domination [...]
- comparaison entre lutte des classes et lutte des races
- Théorie du racisme, René Binet, éd. l'auteur, 108, rue Ordener (Impr. Saint-Denis),, 1950, p. 5