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Frank Herbert

Une page de Wikiquote, le recueil des citations libres.
Frank Herbert (1978)

Frank Patrick Herbert (8 octobre 1920 - 11 février 1986) est un écrivain de science-fiction américain. Ses œuvres connurent un succès commercial et furent acclamées par la critique. Il doit principalement sa célébrité au roman Dune et à la série de cinq romans qui s'ensuivit. La saga de Dune aborde des thèmes tels que la survie de la race humaine et son évolution, l'écologie, ou encore les interactions entre la religion, la politique et le pouvoir. Elle est considérée par beaucoup comme un classique dans le domaine de la science-fiction.

Cycle de Dune

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Les Yeux d'Heisenberg, 1966

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Tout dépend du point de vue de l'observateur; à chaque changement de point de vue correspond un changement de lois. Il existe donc une infinité de lois.
  • Les Yeux d'Heisenberg, Frank Herbert (trad. Évelyne Caron-Lowins et Alain Garsault), éd. Le Masque, 1979, p. 36


La patience est la meilleure amie de l'homme.
  • Les Yeux d'Heisenberg, Frank Herbert (trad. Évelyne Caron-Lowins et Alain Garsault), éd. Le Masque, 1979, p. 69


La pitié est un sentiment inutile.
  • Les Yeux d'Heisenberg, Frank Herbert (trad. Évelyne Caron-Lowins et Alain Garsault), éd. Le Masque, 1979, p. 95


L'efficacité, c'est le contraire de l'habileté.
  • Les Yeux d'Heisenberg, Frank Herbert (trad. Évelyne Caron-Lowins et Alain Garsault), éd. Le Masque, 1979, p. 95


L'adoration est produite par la peur.
  • Les Yeux d'Heisenberg, Frank Herbert (trad. Évelyne Caron-Lowins et Alain Garsault), éd. Le Masque, 1979, p. 134


Le changement est la seule loi universelle.
  • Les Yeux d'Heisenberg, Frank Herbert (trad. Évelyne Caron-Lowins et Alain Garsault), éd. Le Masque, 1979, p. 224


La Ruche d'Hellstrom, 1973

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Il existe une fiche de références pour cette œuvre :
La Ruche d'Hellstrom.
Sur les milliards de créatures vivantes qui peuplent la terre, seul l'homme réfléchit à son existence. Ses questions aboutissent à le torturer ; car il est incapable d'accepter, contrairement aux insectes, que l'unique but de la vie est la vie même.


Là où il n'y a pas intelligence, il ne saurait y avoir stupidité.


Notre interprétation personnelle intervient toujours. Ce que nous disons que nous faisons est inévitablement modifié par notre propre compréhension et les limites de notre compréhension.


La plus puissante force de sociabilisation dans l'univers est la dépendance mutuelle.


Un vrai chef envisage plusieurs possibilités avant d'agir.


La Mort blanche, 1982

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Il existe une fiche de références pour cette œuvre :
La Mort blanche.
La couleur d'un poisson ne le rend pas moins poisseux.
  • La Mort blanche, Frank Herbert, éd. Robert Laffont, 1982, p. 112


Toutes les monstruosités ont leurs euphémismes.
  • La Mort blanche, Frank Herbert, éd. Robert Laffont, 1982, p. 192


Importe-t-il à la fourmi de savoir à qui appartient le pied qui l'écrase ?
  • La Mort blanche, Frank Herbert, éd. Robert Laffont, 1982, p. 244


On ne peut pas raisonner avec un fou.
  • La Mort blanche, Frank Herbert, éd. Robert Laffont, 1982, p. 261


Quand vous bravez la mort, en quoi est-ce différent d'un suicide délibéré ?
  • La Mort blanche, Frank Herbert, éd. Robert Laffont, 1982, p. 315


L’Église a suffisamment péché en se réclamant de Dieu pour bénir le meurtre.
  • La Mort blanche, Frank Herbert, éd. Robert Laffont, 1982, p. 317


La culpabilité ne s'attache qu'à celui qui demeure ignorant quand il a une chance d'apprendre.
  • La Mort blanche, Frank Herbert, éd. Robert Laffont, 1982, p. 370


L'usage du pouvoir exige une certaine mesure d'inhumanité.
  • La Mort blanche, Frank Herbert, éd. Robert Laffont, 1982, p. 397


Les peuples vaincus essaient toujours de compenser par des mythes et des légendes.
  • La Mort blanche, Frank Herbert, éd. Robert Laffont, 1982, p. 536


La prohibition renforce toujours ce qu'elle interdit.
  • La Mort blanche, Frank Herbert, éd. Robert Laffont, 1982, p. 537


Nous avons différentes façons d'esquiver la réalité. Si on nous obligeait à l'affronter à chaque instant de la journée , nous deviendrions tous fous.
  • La Mort blanche, Frank Herbert, éd. Robert Laffont, 1982, p. 557


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