Francisco Franco

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Francisco Franco (1960).

Francisco Franco, né le à Ferrol et mort le à Madrid, est un militaire et homme d'État espagnol.

Durant la guerre d'Espagne, il s'impose comme chef du camp nationaliste qui remporte la victoire sur les républicains.

De 1939 à 1975, il dirige un régime politique dictatorial — l'État franquiste — avec le titre de Caudillo (« chef » ou « guide »).

Citations[modifier]

Sur la franc-maçonnerie[modifier]

Vous voyez, moi, je suis convaincu que la maçonnerie est très bonne en Angleterre pour l'Angleterre ; le malheur, c'est qu'en Espagne elle est toujours très bonne pour l'Angleterre.
  • (es) Mire, yo estoy convencido de que la Masonería es muy buena en Inglaterra para Inglaterra; lo malo es que en España sigue siendo muy buena para Inglaterra
  • (es) « “El Valle de los Caídos es símbolo de reconciliación” », Francisco Franco, cité par l'historien Luis Suárez Fernández dans une entrevue avec J. Morán (trad. Wikiquote), La Nueva España, 28 octobre 2008 (lire en ligne)


« Espagnols: merci pour votre adhésion et pour la démonstration publique sereine et virile que vous m'offrez en soulagement pour les agressions dont ont été l'objet plusieurs de nos représentations diplomatiques et établissements espagnols en Europe, qui nous montrent, encore une fois, ce que nous pouvons attendre de certains pays corrompus, ce qui clarifie parfaitement leur politique constante faite au détriment de nos intérêts. Le plus important n'est pas, bien qu’il en revête l'apparence, l’assaut et la destruction de notre ambassade au Portugal, perpétrés dans un état d’anarchie et de chaos dans lesquels la nation sœur s'est débattue, et que nul ne s’intéresse davantage que nous à ce que l'ordre et l'autorité soient rétablis chez eux. Tout est dû à une conspiration maçonnique de gauche dans la classe politique en parallèle avec la subversion communiste-terroriste dans le social, qui, si elle nous honore, les avilis. Ces manifestations démontrent, en revanche, que le peuple espagnol n'est pas un peuple mort et qu'il ne peut être trompé. Il est éveillé et veille sur ses intérêts et espère que la valeur des gardiens de l'ordre public soit la garantie suprême de l'unité des forces terrestres, navales et aériennes, soutenant la volonté de la nation, qui permettront au peuple espagnol de se reposer dessus avec confiance. De toute évidence, être espagnol représente à nouveau quelque chose dans le monde d'aujourd'hui. Vive l'Espagne! »
  • (es) “Españoles: Gracias por vuestra adhesión y por la serena y viril manifestación pública que me ofrecéis en desagravio a las agresiones de que han sido objeto varias de nuestras representaciones diplomáticas y establecimientos españoles en Europa, que nos demuestran, una vez más, lo que podemos esperar de determinados países corrompidos, que aclara perfectamente su política constante contra nuestros intereses. No es la más importante, aunque se presenta en su apariencia, el asalto y destrucción de nuestra Embajada en Portugal, realizada en un estado de anarquía y de caos en que se debate la nación hermana, y que nadie más interesado que nosotros en que pueda ser restablecido en ellos el orden y la autoridad. Todo obedece a una conspiración masónica izquierdista en la clase política en contubernio con la subversión comunista-terrorista en lo social, que si a nosotros nos honra, a ellos les envilece. Estas manifestaciones demuestran, por otra parte, que el pueblo español no es un pueblo muerto, al que se le engaña. Está despierto y vela sus razones y confía quela valía de las fuerzas guardadoras del Orden Público, y suprema garantía de la unidad de las Fuerzas de Tierra, Mar y Aire, respaldando la voluntad de la Nación, permiten al pueblo español descansar tranquilo. Evidentemente, el ser español ha vuelto a ser hoy algo en el mundo. ¡Arriba España!”
  • Ultime discours de Franco le 1er octobre 1975 sur la Place d'Orient à Madrid
  • La crítica de la crítica: Inconsecuentes, insustanciales, impotentes ..., Francisco Franco, discours du 1er octobre 1975, cité par Alberto Reig Tapia tiré du journal ABC du 2 octobre 1975, éd. SIGLO XXI, 2017, p. 464


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