Jusqu'au dernier

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Jusqu'au dernier est un film français de Pierre Billon sorti sur les écrans en 1957. Les dialogues sont signés Michel Audiard.

Citations[modifier]

C'est mieux qu'un ami : il me doit de l'argent.
  • Lila Kedrova, Jusqu'au dernier (1957), écrit par Michel Audiard


Ça y est, t'es chez toi ! Fouille-moi les poches, surveille le courrier ! Tu pourrais attendre que j'ai pris un abonnement avant de relever le compteur !


Le forain, c'est la maladie du gendarme.


Les idées, c'est comme les amis : faut pas en avoir de trop.


T'es la seule que j'aime et tu voudrais être la seule avec qui j'aie pas envie de coucher ?... C'est pas logique.


Dialogues[modifier]

Cinquo : Partir... On peut toujours partir ! Ça dépend dans quelles conditions ! D'un jour à l'autre on va voir rappliquer les charognards, les vautours...
Josiane : Les vautours ?
Cinquo : Les huissiers !
Josiane : Tu crois qu'ils me prendront mon cheval ?
Cinquo : Ces gens là prennent tout : la paille et la poutre, la chaîne et la montre, le cheval et la voiture. Ce sont des Attilas modernes.


Quedchi : Il est drôlement bien sapé !
La mère de Quedchi : Trop ! C'est un flic ou un truand...
Quedchi : Il s'exprime plutôt bien.
La mère de Quedchi : Alors, c'est un truand !


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