Charles Péguy
Charles Péguy, né le 7 janvier 1873 à Orléans, mort le 5 septembre 1914 à Villeroy, est un écrivain français.
Victor-Marie, comte Hugo
[modifier]- Victor-Marie, comte Hugo, dans Œuvres en prose complète, Charles Péguy, éd. Gallimard, 1992, p. 331
- Pensées, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « nrf », 1934, p. 85
- Charles Péguy, 23 octobre 1910, dans Victor-Marie, comte Hugo, XII-11, Charles Péguy.
Cahiers de la Quinzaine
[modifier]- Voir le recueil de citations : Affaire Dreyfus
- Charles Péguy, 4 juillet 1900, dans Cahiers de la Quinzaine, I-II, paru le 4 juillet 1900, Charles Péguy.
- Citation choisie pour le 4 juin 2007.
- Charles Péguy, février 1913, dans Cahiers de la Quinzaine, XIV-6, paru en février 1913, Charles Péguy.
- Pensées, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « nrf », 1934, p. 37
- Charles Péguy, 3 février 1907, dans Cahiers de la Quinzaine, VIII-11, Charles Péguy.
- Pensées, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « nrf », 1934, p. 26
- Charles Péguy, 17 février 1923, dans Cahiers de la Quinzaine, IV-12, Charles Péguy.
- Pensées, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « nrf », 1934, p. 29
- Charles Péguy, 15 mars 1904, dans Cahiers de la Quinzaine, V-12, Charles Péguy.
L'Argent
[modifier]Le croira-t-on, nous avons été nourris dans un peuple gai. Dans ce temps-là un chantier était un lieu de la terre où des hommes étaient heureux. Aujourd'hui un chantier est un lieu de la terre où des hommes récriminent, s'en veulent, se battent ; se tuent.
De mon temps tout le monde chantait. (Excepté moi, mais j'étais déjà indigne d'être de ce temps-là.) Dans la plupart des corps de métiers on chantait. Aujourd'hui on renâcle. Dans ce temps-là on ne gagnait pour ainsi dire rien. Les salaires étaient d'une bassesse dont on n'a pas idée. Et pourtant tout le monde bouffait. Il y avait dans les plus humbles maisons une sorte d'aisance dont on a perdu le souvenir. Au fond on ne comptait pas. Et on n'avait pas à compter. Et on pouvait élever des enfants. Et on en élevait. Il n'y avait pas cette espèce d'affreuse strangulation économique qui à présent d'année en année nous donne un tour de plus. On ne gagnait rien ; on ne dépensait rien ; et tout le monde vivait.
- L'Argent (1913), Charles Péguy, éd. Équateurs, coll. « Parallèles », 2018 (ISBN 978-2-84990-099-4), p. 29
Que reste-t-il aujourd'hui de tout cela ? Comment a-t-on fait, du peuple le plus laborieux de la terre, et peut-être du seul peuple laborieux de la terre, du seul peuple peut-être qui aimait le travail pour le travail, et pour l'honneur, et pour travailler, ce peuple de saboteurs, comment a-t-on pu en faire ce peuple qui sur un chantier met toute son étude à ne pas en fiche un coup. Ce sera dans l'histoire une des plus grandes victoires, et sans doute la seule, de la démagogie bourgeoise intellectuelle. Mais il faut avouer qu'elle compte. Cette victoire.
- L'Argent (1913), Charles Péguy, éd. Équateurs, coll. « Parallèles », 2018 (ISBN 978-2-84990-099-4), p. 31
Il y a eu la révolution chrétienne. Il y a eu la révolution moderne. Voilà les deux qu'il faut compter. Un artisan de mon temps était un artisan de n'importe quel temps chrétien. Et sans doute peut-être de n'importe quel temps antique. Un artisan d'aujourd'hui n'est plus un artisan.
- L'Argent (1913), Charles Péguy, éd. Équateurs, coll. « Parallèles », 2018 (ISBN 978-2-84990-099-4), p. 32
Ces ouvriers ne servaient pas. Ils travaillaient. Ils avaient un honneur, absolu, comme c'est le propre d'un honneur. Il fallait qu'un bâton de chaise fût bien fait. C'était entendu. C'était un primat. Il ne fallait pas qu'il fût bien fait pour le salaire ou moyennant le salaire. Il ne fallait pas qu'il fût bien fait pour le patron ni pour les connaisseurs ni pour les clients du patron. Il fallait qu'il fût bien fait lui-même, en lui-même, pour lui-même, dans son être même. Une tradition, venue, montée du plus profond de la race, une histoire, un absolu, un honneur voulait que ce bâton de chaise fût bien fait. Toute partie, dans la chaise, qui ne se voyait pas, était exactement aussi parfaitement faite que ce qu'on voyait. C'est le principe même des cathédrales.
- L'Argent (1913), Charles Péguy, éd. Équateurs, coll. « Parallèles », 2018 (ISBN 978-2-84990-099-4), p. 33
Ils disaient en riant, et pour embêter les curés, que travailler c'est prier, et ils ne croyaient pas si bien dire.
Tant leur travail était une prière. Et l'atelier un oratoire.
- L'Argent (1913), Charles Péguy, éd. Équateurs, coll. « Parallèles », 2018 (ISBN 978-2-84990-099-4), p. 35
Car on ne saurait trop le redire. Tout le mal est venu de la bourgeoisie. Toute l'aberration, tout le crime. C'est la bourgeoisie capitaliste qui a infecté le peuple. Et elle l'a précisément infecté d'esprit bourgeois et capitaliste.
Je dis expressément la bourgeoisie capitaliste et la grosse bourgeoisie. La bourgeoisie laborieuse au contraire, la petite bourgeoisie est devenue la classe la plus malheureuse de toutes les classes sociales, la seule aujourd'hui qui travaille réellement, la seule qui par suite ait conservé intactes les vertus ouvrières, et pour sa récompense la seule enfin qui vive réellement dans la misère. Elle seule a tenu le coup, on se demande par quel miracle, elle seule tient encore le coup, et s'il y a quelque rétablissement, c'est que c'est elle qui aura conservé le statut.
- L'Argent (1913), Charles Péguy, éd. Équateurs, coll. « Parallèles », 2018 (ISBN 978-2-84990-099-4), p. 38
Et ce bonheur, ce climat de bonheur. Évidemment on ne vivait point encore dans l'égalité. On n'y pensait même pas, à l'égalité, j'entends à une égalité sociale. Une inégalité commune, communément acceptée, une inégalité générale, un ordre, une hiérarchie qui paraissait naturelle ne faisait qu'étager les différents niveaux d'un commun bonheur. On ne parle aujourd'hui que de l'égalité. Et nous vivons dans la plus monstrueuse inégalité économique que l'on n'ait jamais vue dans l'histoire du monde. On vivait alors. On avait des enfants. Ils n'avaient aucunement cette impression que nous avons d'être au bagne. Ils n'avaient pas comme nous cette impression d'un étranglement économique, d'un collier de fer qui tient à la gorge et qui se serre tous les jours d'un cran. Ils n'avaient point inventé cet admirable mécanisme de la grève moderne à jet continu, qui fait toujours monter les salaires d'un tiers, et le prix de la vie d'une bonne moitié, et la misère, de la différence.
- L'Argent (1913), Charles Péguy, éd. Équateurs, coll. « Parallèles », 2018 (ISBN 978-2-84990-099-4), p. 49
La République et l'Église nous distribuaient des enseignements diamétralement opposés. Qu'importait, pourvu que ce fussent des enseignements. Il y a dans l'enseignement et dans l'enfance quelque chose de si sacré, il y a dans cette première ouverture des yeux de l'enfant sur le monde, il y a dans ce premier regard quelque chose de si religieux que ces deux enseignements se liaient dans nos cœurs et que nous savons bien qu'ils y resteront éternellement liés. Nous aimions l'Église et la République ensemble, et nous les aimions d'un même cœur, et c'était un cœur d'enfant, et pour nous c'était le vaste monde, et nos deux amours, la gloire et la foi, et pour nous c'était le nouveau monde.
- L'Argent (1913), Charles Péguy, éd. Équateurs, coll. « Parallèles », 2018 (ISBN 978-2-84990-099-4), p. 57
Nous avons connu, nous avons touché un monde, (enfants nous en avons participé), où un homme qui se bornait dans la pauvreté était au moins garanti dans la pauvreté. C'était une sorte de contrat sourd entre l'homme et le sort, et à ce contrat le sort n'avait jamais manqué avant l'inauguration des temps modernes. Il était entendu que celui qui faisait de la fantaisie, de l'arbitraire, que celui qui introduisait un jeu, que celui qui voulait s'évader de la pauvreté risquait tout. Puisqu'il introduisait le jeu, il pouvait perdre. Mais celui qui ne jouait pas ne pouvait pas perdre. Ils ne pouvaient pas soupçonner qu'un temps venait, et qu'il était déjà là, et c'est précisément le temps moderne, où celui qui ne jouerait pas perdrait tout le temps, et encore plus sûrement que celui qui joue.
- L'Argent (1913), Charles Péguy, éd. Équateurs, coll. « Parallèles », 2018 (ISBN 978-2-84990-099-4), p. 72
Monsieur Naudy me rattrapa si je puis dire par la peau du cou et avec une bourse municipale me fit entrer en sixième à Pâques, dans l'excellente sixième de Monsieur Guerrier. Il faut qu'il fasse du latin, avait-il dit [...] Ce que fut pour moi cette entrée dans cette sixième à Pâques, l'étonnement, la nouveauté devant rosa, rosae, l'ouverture de tout un monde, tout autre, de tout un nouveau monde, voilà ce qu'il faudrait dire, mais voilà ce qui m'entraînerait dans des tendresses. Le grammairien qui une fois la première ouvrit la grammaire latine sur la déclinaison de rosa, rosae n'a jamais su sur quels parterres de fleurs il ouvrait l'âme de l'enfant.
- L'Argent (1913), Charles Péguy, éd. Équateurs, coll. « Parallèles », 2018 (ISBN 978-2-84990-099-4), p. 79, 80
Disons les mots. Le modernisme est, le modernisme consiste à ne pas croire ce que l'on croit. La liberté consiste à croire ce que l'on croit et à admettre, (au fond, à exiger), que le voisin aussi croie ce qu'il croit.
Le modernisme consiste à ne pas croire soi-même pour ne pas léser l'adversaire qui ne croit pas non plus. C'est un système de déclinaison mutuelle. La liberté consiste à croire. Et à admettre, et à croire que l'adversaire croit.
Le modernisme est un système de complaisance. La liberté est un système de déférence.
Le modernisme est un système de politesse. La liberté est un système de respect.
Il ne faudrait pas dire les grands mots, mais enfin le modernisme est un système de lâcheté. La liberté est un système de courage.
Le modernisme est la vertu des gens du monde. La liberté est la vertu du pauvre.
- L'Argent (1913), Charles Péguy, éd. Équateurs, coll. « Parallèles », 2018 (ISBN 978-2-84990-099-4), p. 87
Encore un mot que je n'aime pas, mais enfin la vie même requiert la liberté. Une revue n'est vivante que si elle mécontente chaque fois un bon cinquième de ses abonnés. La justice consiste seulement à ce que ce ne soient pas toujours les mêmes, qui soient dans le cinquième. Autrement, je veux dire quand on s'applique à ne mécontenter personne, on tombe dans le système de ces énormes revues qui perdent des millions, ou qui en gagnent, pour ne rien dire. Ou plutôt à ne rien dire.
- L'Argent (1913), Charles Péguy, éd. Équateurs, coll. « Parallèles », 2018 (ISBN 978-2-84990-099-4), p. 88
Nous sommes ici des catholiques qui ne trichent pas ; des protestants qui ne trichent pas ; des juifs qui ne trichent pas ; des libres penseurs qui ne trichent pas. C'est pour ça que nous sommes si peu de catholiques ; si peu de protestants ; si peu de juifs ; si peu de libres penseurs. Et en tout si peu de monde. Et nous avons contre nous les catholiques qui trichent ; les protestants qui trichent ; les juifs qui trichent ; les libres penseurs qui trichent.
- L'Argent (1913), Charles Péguy, éd. Équateurs, coll. « Parallèles », 2018 (ISBN 978-2-84990-099-4), p. 89
Je ne comprends pas qu'il y ait une question des instituteurs. D'abord, s'ils étaient restés des maîtres d'école tout ça ne serait pas arrivé. Qu'ils fassent donc l'école, il n'y a rien de plus beau au monde.
Qu'ils ne s'y trompent pas, ils ont le plus beau métier du monde. Eux seuls ont des élèves. (Eux et les professeurs de l'enseignement secondaire.) Les autres ont des disciples. Les autres, c'est les professeurs de l'enseignement supérieur. Et c'est, hélas, l'écrivain.
- L'Argent (1913), Charles Péguy, éd. Équateurs, coll. « Parallèles », 2018 (ISBN 978-2-84990-099-4), p. 90
C'est dire par conséquent que le plus beau métier du monde, après le métier de parent, (et d'ailleurs c'est le métier le plus apparenté au métier de parent), c'est le métier de maître d'école et c'est le métier de professeur de lycée. Ou si vous préférez c'est le métier d'instituteur et c'est le métier de professeur de l'enseignement secondaire. Mais alors que les instituteurs se contentent donc de ce qu'il y a de plus beau. Et qu'ils ne cherchent point à leur tour à expliquer, à inventer, à exercer un gouvernement spirituel ; et un gouvernement temporel des esprits. Ce serait aspirer à descendre. C'est à ce jeu précisément que les curés ont perdu la France. Il n'est peut-être pas très indiqué que par le même jeu les instituteurs la perdent à leur tour. Il faut se faire à cette idée que nous sommes un peuple libre. Si les curés s'étaient astreints, et limités, à leur ministère, le peuple des paroisses serait encore serré autour d'eux. Tant que les instituteurs enseigneront à nos enfants la règle de trois, et surtout la preuve par neuf, ils seront des citoyens considérés.
- L'Argent (1913), Charles Péguy, éd. Équateurs, coll. « Parallèles », 2018 (ISBN 978-2-84990-099-4), p. 92
Il n'y a un peu d'aisance, dans le monde moderne, que pour ceux qui ne travaillent pas.
- L'Argent (1913), Charles Péguy, éd. Équateurs, coll. « Parallèles », 2018 (ISBN 978-2-84990-099-4), p. 94
Je leur dis : pourquoi voulez-vous exercer un gouvernement des esprits. Et comme tous les autres pourquoi voulez-vous exercer un gouvernement temporel des esprits. Pourquoi voulez-vous avoir une politique, et l'imposer. Pourquoi voulez-vous avoir une métaphysique, et l'imposer. Pourquoi voulez-vous avoir un système quelconque, et l'imposer.
Vous êtes faits pour apprendre à lire, à écrire et à compter. Apprenez-leur donc à lire, à écrire et à compter. Ce n'est pas seulement très utile. Ce n'est pas seulement très honorable. C'est la base de tout. Il sait ses quatre règles, disait-on de quelqu'un quand j'étais petit. Qu'ils nous apprennent donc nos quatre règles. Je ne veux pas jouer sur les mots, mais sans parler d'écrire ce serait déjà un grand progrès, (puisque nous sommes dans un système du progrès), que d'avoir, que d'être un peuple qui saurait lire et qui saurait compter.
- L'Argent (1913), Charles Péguy, éd. Équateurs, coll. « Parallèles », 2018 (ISBN 978-2-84990-099-4), p. 98, 99
Notre Patrie
[modifier]- Œuvres en prose, 1898-1908, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1959, p. 834
Notre Jeunesse
[modifier]- Œuvres en prose, 1909-1914, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1959, p. 646
- Pensées, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « nrf », 1934, p. 41
- Charles Péguy, 17 juillet 1910, dans notre jeunesse, XI-12, Charles Péguy.
- Pensées, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « nrf », 1934, p. 41
- Charles Péguy, 17 juillet 1910, dans notre jeunesse, XI-12, Charles Péguy.
- Pensées, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « nrf », 1934, p. 42
- Charles Péguy, 17 juillet 1910, dans notre jeunesse, XI-12, Charles Péguy.
- Pensées, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « nrf », 1934, p. 42
- Charles Péguy, 17 juillet 1910, dans notre jeunesse, XI-12, Charles Péguy.
- Pensées, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « nrf », 1934, p. 43
- Charles Péguy, 17 juillet 1910, dans notre jeunesse, XI-12, Charles Péguy.
Le Porche du mystère de la deuxième vertu
[modifier]- Le Porche du mystère de la deuxième vertu, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « NRF », 1941, p. 15
- Citation choisie pour le 31 juillet 2007.
- Le Porche du mystère de la deuxième vertu, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « NRF », 1941, p. 119
Le Mystère de la charité de Jeanne d'Arc
[modifier]- Œuvres poétiques complètes, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1948, p. 22
Ève
[modifier]- Œuvres poétiques complètes, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1948, p. 726
De Jean Coste
[modifier]- De Jean Coste, Charles Péguy, éd. Acte Sud Labor L'Aire, coll. « Babel », 1993, p. 55
Note conjointe sur M. Bergson
[modifier]- Œuvres en prose, 1909-1914, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1959, p. 1336
- Œuvres en prose, 1909-1914, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1959, p. 1375
- Citation choisie pour le 10 mars 2017.
Note conjointe sur M. Descartes
[modifier]- Œuvres en prose, 1909-1914, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1959, p. 1399
- Œuvres en prose, 1909-1914, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1959, p. 1404
- Œuvres en prose, 1909-1914, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1959, p. 1397
- Œuvres en prose, 1909-1914, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1959, p. 1397
- Œuvres en prose, 1909-1914, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1961, p. 1444
Divers
[modifier]- Œuvres en prose, 1909-1914, Charles Péguy, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1959, p. 1176
- Citation choisie pour le 22 juin 2017.
- Œuvres de prose, Charles Péguy, éd. Nouvelle Revue Française, 1920, p. 470