« Ken Bruen » : différence entre les versions

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==''Toxic Blues'', 2005==
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==''Le martyre des Magdalènes'', 2006==
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{{citation|Les Siciliens disent: si vous planifiez votre vengeance, creusez deux tombes. Une pour vous.}}
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Version du 26 août 2015 à 07:45

Ken Bruen est un écrivain irlandais de romans policiers. Il est né en 1951 à Galway.

Delirium Tremens, 2004

Tout le monde est quasiment américain, de la pire des manières.
  • Delirium Tremens, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2004, p. 29


C'est la chaussure qui fait l'homme. Cirée en crachant dessus, jusqu'à qu'on se voie dedans.
  • Delirium Tremens, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2004, p. 77


En réalité, le temps ne passe pas. C'est nous qui passons.
  • Delirium Tremens, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2004, p. 219


Toxic Blues, 2005

« S'il buvait, ce n'était pas à cause de sa propre noirceur, mais bien celle des autres. »
  • Toxic Blues, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2005, p. 41


C'est ainsi que le mal prospère, parce que des braves gens ne veulent pas faire d'histoires.
  • Toxic Blues, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2005, p. 217


Le Martyre des Magdalènes, 2006

C'est vrai: une arme à feu, ça représente le facteur premier de l'égalité.
  • Le Martyre des Magdalènes, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2006, p. 142


Les Siciliens disent: si vous planifiez votre vengeance, creusez deux tombes. Une pour vous.
  • Le Martyre des Magdalènes, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2006, p. 151


Le véritable legs du suicidé est la culpabilité de ceux qui lui survivent.
  • Le Martyre des Magdalènes, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2006, p. 163


Plus que n'importe qui, les ivrognes recherchent la lumière.
  • Le Martyre des Magdalènes, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2006, p. 167


On ne peut jamais savoir ce que l'on va rencontrer au coin de la rue.
  • Le Martyre des Magdalènes, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2006, p. 337


Le Dramaturge, 2007

Si on collait plus de baffes, bien des thérapies n'auraient pas lieu d'être.
  • Le Dramaturge, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2007, p. 86


On peut dire tout ce qu'on veut des Irlandais, mais il ne faut pas le leur dire en face.
  • Le Dramaturge, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2007, p. 215


...si on souhaite changer de vie, d'état d'esprit, il faut commencer par modifier son comportement.
  • Le Dramaturge, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2007, p. 237


La Main droite du diable, 2008

La violence engendre le respect.
  • La Main droite du diable, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2008, p. 62


Le cœur désire ce qu'il ne contiendra jamais.
  • La Main droite du diable, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2008, p. 147


Vous pouvez boire autant que vous voudrez, ce n'est pas ça qui vous donnera une personnalité.
  • La Main droite du diable, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2008, p. 154


Les années apportent, à défaut de maturité, tout du moins un sens développé du ridicule.
  • La Main droite du diable, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2008, p. 185


Hackman blues, 2007

Un homme croit qu'il est la seconde personne la plus intelligente du monde. Il ne connaît pas la première.
  • Hackman blues, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 91


Aucun homme ne peut être considéré comme un raté s'il a un seul ami.
  • Hackman blues, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 214


L'âge est une maladie.
  • Hackman blues, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 229


En effeuillant Baudelaire, 2007

«Toutes les femmes jouent la comédie: avec les hommes, elle n'ont guère le choix.»
  • En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 19


«L'enfer, c'est d'avoir raté sa vie.»
  • En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 21


Si vous avez besoin de justifier vos amis, c'est que vous même n'en êtes pas un.
  • En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 22


La technologie a tendance a tout rapetisser.
  • En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 53


Ne pas se faire prendre ne signifie pas qu'on s'en sort indemne. Il faut que quelque chose meure en vous pour que le passage à l'acte devienne possible.
  • En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 93


La folie est très sous-estimée.
  • En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 96


London Boulevard, 2008

La compulsion, c'est faire quelque chose de manière répétitive. L'obsession, c'est penser à quelque chose de manière répétitive.
  • London Boulevard, Ken Bruen, éd. Fayard, 2008, p. 9


Nous croyons faire des choix, alors qu'en réalité nous ne faisons qu'assembler des bribes de conclusions préfabriquées.
  • London Boulevard, Ken Bruen, éd. Fayard, 2008, p. 29


Un lieu d'austérité est une nécessité absolue.
  • London Boulevard, Ken Bruen, éd. Fayard, 2008, p. 144


Je ne crois pas à la fidélité.
  • London Boulevard, Ken Bruen, éd. Fayard, 2008, p. 248


Brooklyn Requiem, 2010

Le traumatisme de l'un fait la réputation de l'autre.
  • Brooklyn requiem, Ken Bruen, éd. Fayard Noir, 2010, p. 58


Quand tout va si bien, c'est que Dieu est en train de se foutre de ta gueule.
  • Brooklyn requiem, Ken Bruen, éd. Fayard Noir, 2010, p. 66


Si vous avez envie de vous foutre les jeunes à dos, racontez-leur comment c'était « avant ».
  • Brooklyn requiem, Ken Bruen, éd. Fayard Noir, 2010, p. 189


T'es un produit de la nouvelle Irlande, tu le sais, au moins ?

Percevant que ce n'était pas très flatteur, j'ai demandé :
- Ah ouais, et c'est quoi ça ?

Il a vidé sa pinte, fait signe qu'on lui remette ça et précisé :
- Arrogance, aplomb et compétence zéro.

  • Brooklyn Requiem, Ken Bruen, éd. Fayard Noir, 2010, p. à retrouver


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