Mélodie en sous-sol
Mélodie en sous-sol est un film réalisé par Henri Verneuil en 1963. Les dialogues sont signés Michel Audiard.
Citations
[modifier]- Maurice Biraud, Mélodie en sous-sol (1963), écrit par Michel Audiard
- Jean Gabin, Mélodie en sous-sol (1963), écrit par Michel Audiard
- Il découvre les grands ensembles de Sarcelles.
- Jean Gabin, Mélodie en sous-sol (1963), écrit par Michel Audiard
- Jean Gabin, Mélodie en sous-sol (1963), écrit par Michel Audiard
- Citation choisie pour le 13 juin 2009.
- Jean Gabin, Mélodie en sous-sol (1963), écrit par Michel Audiard
- Jean Gabin, Mélodie en sous-sol (1963), écrit par Michel Audiard
- Jean Gabin, Mélodie en sous-sol (1963), écrit par Michel Audiard
- Jean Gabin, Mélodie en sous-sol (1963), écrit par Michel Audiard
- Jean Gabin, Mélodie en sous-sol (1963), écrit par Michel Audiard
- Jean Gabin, Mélodie en sous-sol (1963), écrit par Michel Audiard
- Citation choisie pour le 30 mars 2011.
- Jean Gabin, Mélodie en sous-sol (1963), écrit par Michel Audiard
- Maurice Biraud, Mélodie en sous-sol (1963), écrit par Michel Audiard
- Jean Gabin, Mélodie en sous-sol (1963), écrit par Michel Audiard
- Maurice Biraud, Mélodie en sous-sol (1963), écrit par Michel Audiard
Dialogues
[modifier]Brigitte : Grâce à lui et à toi, je sais ce que c'est qu'un monsieur et ce que c'est qu'un voyou.
Francis : Comme ça tu sauras avec qui tu sors. Et t'amuse pas à faire du stop, parce qu'il y a que les voyous qui s'arrêtent.
Brigitte : Pour tomber sur un voyou comme toi, il faudrait vraiment que je n'aie pas de chance.
Francis : Confidence pour confidence, des morues de ton espèce, je file un coup de pied dans un bec de gaz, il en dégringole cinquante.
Louis Naudin : Y'a un truc que j'ai compris. C'est que l'pognon, ça s'dépense.
Monsieur Charles : C'est fait pour.
- Maurice Biraud, Jean Gabin, Mélodie en sous-sol (1963), écrit par Michel Audiard
Francis : Barman, donnez un whisky à madame.
[…]
Comtesse Doublianoff : [avec un accent vaguement russe] Monsieur, nous nous connaissons à peine, je sais pas si je dois accepter…
Francis : Te fatigue pas, Totoche, on est du même monde. [Il sort.]
Comtesse Doublianoff : [au barman, sans accent] Lucien, j'crois qu'je prends un coup d'vieux : je r'connais plus un gentleman d'un hareng.
La mère de Francis : Un jour, c'est ton père et moi que tu tueras ! De chagrin !
Francis : Et bien, comme ça, on retrouvera pas l'arme du crime !