Annie Leclerc

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Annie Leclerc, née le 21 juillet 1940 à Saint-Sulpice-Laurière (Haute-Vienne) et morte le 13 octobre 2006 à Paris, est une professeure de philosophie, une essayiste et une militante féministe française.

Citations[modifier]

Épousailles, 1976[modifier]

Et pas plus que rien ne me voue nécessairement au silence dans lequel le pouvoir m'a enfermée, rien ne voue nécessairement l'homme à la parole qu'il profère.
  • Épousailles, Annie Leclerc, éd. Grasset, 1976, p. 18


Citations rapportées[modifier]

C'est une littérature de drôlesse, de bandite de la langue. Il y a rire dans littérature. Si l'on ne rit pas de Kafka, comment peut-on prétendre l'aimer ?
  • Parlant de l'œuvre de son amie Hélène Cixous.
  • « Annie Leclerc, philosophe », René de Ceccatty, Le Monde, 20 octobre 2006 (lire en ligne)


L'homme comme moi a un corps. Comme moi il ne vit que de l'affirmation de la puissance ; il ne vit que d'épouser la terre, que d'acquiescer à la jouissance du vivre. Et il ne vit vraiment que de ce que son corps vit, la proximité enchantée de l'autre corps que le désir rejoint et touche, de l'autre corps mêlé au sien, de la jouissance qui les confond.
  • « Annie Leclerc, philosophe », René de Ceccatty, Le Monde, 20 octobre 2006 (lire en ligne)


Je suis née dans une famille ordonnée ; dessinée à la plume sergent-major de la plus grande normalité. Un modèle de famille française.
  • « Annie Leclerc, philosophe », René de Ceccatty, Le Monde, 20 octobre 2006 (lire en ligne)


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