Herman Melville
Apparence
Herman Melville, né le 1er août 1819 au n° 6 de Pearl Street, au sud-est de Manhattan, à New York, mort le 28 septembre 1891 à son domicile de la 26e rue, à New York, est un romancier, essayiste et poète américain.
Œuvres
- Taïpi (1846)
- Omoo (1847)
- Mardi (1849)[1]
- Redburn ou sa première croisière (1849)[2]
- White Jacket (ou La Vareuse blanche) (1850)[1]
- Moby Dick ou la baleine blanche (1851)
- Pierre ou Les ambiguïtés (1852)
- L'Heureuse Faillite (1854)[3]
- Jimmy Rose (1855)[3]
- Israël Potter, ou Cinquante ans d’exil (1855)
- Benito Cereno et autres nouvelles (1855)
- Contes de la veranda (1856)[4] contenant :
- La Véranda
- Le Marchand de paratonnerres
- Bartleby le scribe (Bartleby - Une Histoire de Wall Street)
- Benito Cereno
- Les îles enchantées
- Moi et ma cheminée (1856)[3]
- Le Grand Escroc (1856)
- Tableaux de bataille et Aspects de la guerre (1866)
- Clarel, poème et pèlerinage en Terre Sainte (1876)
- John Marr et autres marins, poème (1888)
- Timoléon et autres poèmes (1891)
- La table de pommier et autres esquisses (1922)
- Billy Budd, gabier de misaine (1924),
- Herbes folles et sauvageons, avec une rose ou deux (2006), dernier recueil de poésie (posthume)[7]
Références de traduction
- ↑ 1,0 et 1,1 traduit en français par Charles Cestre et Armel Guerne, Robert Marin, 1950
- ↑ traduit en français par Armel Guerne, Robert Marin, 1950
- ↑ 3,0 3,1 et 3,2 traduit par Armel Guerne, Falaize, 1951
- ↑ traduit par Jérôme Vidal, illustrations Jean-Claude Götting, édition annotée, Paris, Éditions Amsterdam
- ↑ traduit par Pierre Leyris, Paris, Gallimard
- ↑ traduit Jérôme Vidal, Paris, Éditions Amsterdam, édition annotée avec postface du traducteur
- ↑ traduit partiellement par Pierre Leyris dans Poèmes Divers ainsi que dans la revue La Nuit, n°1, Arles