Aller au contenu

Marcel Bigeard

Une page de Wikiquote, le recueil des citations libres.
Version datée du 23 avril 2019 à 21:20 par Lykos (discussion | contributions) (Ma vie pour la France, 2010 : orthographe)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

Marcel Bigeard, né le 14 février 1916 à Toul et mort le 18 juin 2010 dans la même ville, est un militaire et homme politique français.

Ma vie pour la France, 2010

[modifier]
[L]e sort de ces musulmans engagés aux côtés de l'armée française reste une tache très noire dans l'histoire de notre pays. Ils sont convaincus qu'ils doivent lutter aux côtés d'une nation qui peut leur apporter prospérité et développement. Ils voudraient une Algérie débarrassée du pourvoir dictatorial que le FLN commence à instaurer. Une Algérie débarrassée de la violence, du parti unique, dont la tyrannie se profile si la France quitte le pays. Ils vont payer très cher cette fidélité, pendant la guerre, et au lendemain de l'indépendance algérienne. [...] Avoir abandonné ces hommes dévoués à notre cause est une véritable honte. [...] Toute le monde savait qu'ils seraient massacrés. Personne n'a bougé ! [...] je n'oublie pas le dévouement de ces hommes, tel l'adjudant Zga, prêt à affronter toutes les épreuves avec moi.
  • Ma vie pour la France (2010), Marcel Bigeard, éd. Rocher, 2010, p. 309-310


Les attentats du 11 septembre 2001 ont marqué un tournant dans l'histoire des relations entre l'Islam et l'Occident. Ils ont déclenché un sentiment de peur et de crainte à l'égard de l'islam. À tort, car le véritable islam n'a rien à voir avec ces fous de Dieu qui massacrent et égorgent les innocents, à commencer par leurs propres frères, pas plus qu'on ne saurait résumer le catholicisme à l'Inquisition. Et c'est un vieux briscard laïc qui parle !
  • Ma vie pour la France (2010), Marcel Bigeard, éd. Rocher, 2010, p. 494


Vous pouvez également consulter les articles suivants sur les autres projets Wikimédia :