Suzanne Césaire

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Citations[modifier]
Allons, la vraie poésie est ailleurs. Loin des rimes, des complaintes, des alizés, des perroquets. Bambous, nous décrétons la mort de la littérature doudou. Et zut à l’hibiscus, à la frangipane, aux bougainvilliers. La poésie martiniquaise sera cannibale ou ne sera pas.
- « Misère d’une poésie. John-Antoine Nau », Tropiques, 4, janvier 1942.
- Le grand camouflage : écrits de dissidence (1941-1945), Suzanne Césaire, éd. Seuil, 2009 (ISBN 978-2-02-099908-3), p. 66
Citations sur[modifier]
Ina Césaire[modifier]
Ma mère,
Belle comme la flamme de sa pensée […] Ma mère militante avide de liberté, sensible à toutes les douleurs des opprimés, rebelle de toutes les injustices, éprise de littérature et férue d’histoire […] Ma mère active féministe avant la lettre, attentive à chaque progrès de la libération des femmes. « Ta génération sera celle des femmes qui choisissent » m’a t-elle dit un jour. […] Ma mère qui croyait plus aux luttes qu’aux larmes, ma mère à l’humour percutant, à la gaieté teintée de mélancolie, à la santé fragile mais à l’infatigable ténacité. Mon inoubliable mère, qui n’a pas pu vieillir, Suzanne Césaire, née Roussi.
Belle comme la flamme de sa pensée […] Ma mère militante avide de liberté, sensible à toutes les douleurs des opprimés, rebelle de toutes les injustices, éprise de littérature et férue d’histoire […] Ma mère active féministe avant la lettre, attentive à chaque progrès de la libération des femmes. « Ta génération sera celle des femmes qui choisissent » m’a t-elle dit un jour. […] Ma mère qui croyait plus aux luttes qu’aux larmes, ma mère à l’humour percutant, à la gaieté teintée de mélancolie, à la santé fragile mais à l’infatigable ténacité. Mon inoubliable mère, qui n’a pas pu vieillir, Suzanne Césaire, née Roussi.
- « Suzanne Césaire, ma mère », Ina Césaire, dans Le grand camouflage : écrits de dissidence (1941-1945), Suzanne Césaire, éd. Seuil, 2009, p. 122-124