Stephen Baxter

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Stephen Baxter au Worldcon 2005

Stephen Baxter est un écrivain britannique de science-fiction, né à Liverpool le 13 novembre 1957.

Titan, 1997[modifier]

L'histoire est un piètre indicateur de fiabilité.
  • Titan, Stephen Baxter (trad. Stéphanie Ravez), éd. J'ai lu, 1997, p. 214


Au lieu d'agir, il réagissait, et pendant ce temps, il rendait la vie impossible à ceux qui étaient coincés sur le vaisseau avec lui.
  • Titan, Stephen Baxter (trad. Stéphanie Ravez), éd. J'ai lu, 1997, p. 335


Après tout, on a trop mis l'accent sur la technologie, les fusées, les capsules. Peut-être que nous avons trop négligé l'aspect spirituel de la conquête spatiale.
  • Titan, Stephen Baxter (trad. Stéphanie Ravez), éd. J'ai lu, 1997, p. 354


Les hommes se portaient beaucoup mieux avant l'invention de l'agriculture.
  • Titan, Stephen Baxter (trad. Stéphanie Ravez), éd. J'ai lu, 1997, p. 469


Tout se passait comme si la seule manière pour les humains de comprendre les problèmes de l'écologie était de commencer par détruire la nature.
  • Titan, Stephen Baxter (trad. Stéphanie Ravez), éd. J'ai lu, 1997, p. 470


Les humains étaient dépassés par leurs machines sophistiquées parce que l'intelligence nécessaire au développement d'un certain niveau de technicité était moindre que celle requise pour y survivre.
  • Titan, Stephen Baxter (trad. Stéphanie Ravez), éd. J'ai lu, 1997, p. 472


D'après certaines théories, la conscience était un phénomène quantique. La réalité - l'Univers lui-même - tirait son existence des seuls esprits conscients, dans la mesure où ces derniers fondaient les possibilités infinies de chaque fonction d'onde quantique en un évènement unique inscrit dans l'Histoire. L'Univers, disait-on, requérait la conscience pour exister.
  • Titan, Stephen Baxter (trad. Stéphanie Ravez), éd. J'ai lu, 1997, p. 633


Il faut penser à l'échelle planétaire. Rien n'arrive d'un coup.
  • Titan, Stephen Baxter (trad. Stéphanie Ravez), éd. J'ai lu, 1997, p. 692


Poussière de lune, 1998[modifier]

Tous les gamins sont stupides, jusqu'au moment où ils apprennent.
  • Poussière de lune, Stephen Baxter (trad. Daniel Lemoine), éd. J'ai lu, 2003, p. 41


L'autorité. L'antithèse de la science.
  • Poussière de lune, Stephen Baxter (trad. Daniel Lemoine), éd. J'ai lu, 2003, p. 79


On peut prouver n'importe quoi par analogie.
  • Poussière de lune, Stephen Baxter (trad. Daniel Lemoine), éd. J'ai lu, 2003, p. 95


Personne ne devrait porter le fardeau de trop d'avenir.
  • Poussière de lune, Stephen Baxter (trad. Daniel Lemoine), éd. J'ai lu, 2003, p. 122


Même les cochons aveugles trouvent de temps en temps un gland.
  • Poussière de lune, Stephen Baxter (trad. Daniel Lemoine), éd. J'ai lu, 2003, p. 188


Nommer quelque chose, c'est commencer à le comprendre.
  • Poussière de lune, Stephen Baxter (trad. Daniel Lemoine), éd. J'ai lu, 2003, p. 205


Tout est devenu trop complexe. Trop inextricablement lié. On est trop fragiles.
  • Poussière de lune, Stephen Baxter (trad. Daniel Lemoine), éd. J'ai lu, 2003, p. 243


Les projections sont hasardeuses.
  • Poussière de lune, Stephen Baxter (trad. Daniel Lemoine), éd. J'ai lu, 2003, p. 306


Toutes nos discussions sont de vieilles discussions.
  • Poussière de lune, Stephen Baxter (trad. Daniel Lemoine), éd. J'ai lu, 2003, p. 425


Le corps humain est, au bout du compte, remarquablement fragile.
  • Poussière de lune, Stephen Baxter (trad. Daniel Lemoine), éd. J'ai lu, 2003, p. 611


Un groupe de primates arboricoles fut forcé de quitter les branchages qui les mettaient à l'abri des prédateurs et s'engagea dans les savanes d'Afrique, où il leur faudrait grandir, se déplacer plus efficacement et, surtout, devenir plus intelligent.
   Ces primates ne sont jamais retournés.
  • Poussière de lune, Stephen Baxter (trad. Daniel Lemoine), éd. J'ai lu, 2003, p. 773


Évolution[modifier]

Évolution 1, 2003[modifier]

Quand le monde est dangereux, l'humilité est un facteur de longévité.
  • Évolution 1, Stephen Baxter (trad. David Camus et Dominique Haas), éd. Pocket, 2003, p. 127


En outre, faire partie d'un groupe permettait d'espérer que le prédateur s'en prendrait au voisin plutôt qu'à soi. C'était une loterie sinistre, mais assez rentable pour qu'on s'y adapte.
  • Évolution 1, Stephen Baxter (trad. David Camus et Dominique Haas), éd. Pocket, 2003, p. 184


La vie a toujours été une question de chance.
  • Évolution 1, Stephen Baxter (trad. David Camus et Dominique Haas), éd. Pocket, 2003, p. 453


Évolution 2, 2003[modifier]

La sélection impitoyable du pléistocène avait façonné tout ce qui fonderait l'humanité. Même l'amour était un sous-produit de l'évolution. L'amour et le chagrin.
  • Évolution 2, Stephen Baxter (trad. David Camus et Dominique Haas), éd. Pocket, 2003, p. 33


Les hommes étaient capables d'un tel altruisme qu'on pouvait se faire estropier et même mourir pour en sauver un autre - et pourtant, ils étaient xénophobes à l'extrême et n'hésitaient pas à se livrer aux pires massacres.
  • Évolution 2, Stephen Baxter (trad. David Camus et Dominique Haas), éd. Pocket, 2003, p. 192


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