« Jean Racine » : différence entre les versions

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Version du 3 janvier 2009 à 20:02

Jean Racine (1639 - 1699) est un poète français tragique. Il est considéré, à l'égal de son aîné Pierre Corneille, comme l'un des deux plus grands dramaturges classiques français.


Andromaque

Oreste à Pylade : Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes?
  • Ce vers est l'exemple littéraire d'allitération (ici en "s") le plus cité.


Britannicus

Burrhus à Néron : Mais si de vos flatteurs vous suivez la maxime,
Il vous faudra, Seigneur, courir de crime en crime,
Soutenir vos rigueurs par d'autres cruautés,
Et laver dans le sang vos bras ensanglantés.


Bérénice

Titus : Ah, Rome! Ah Bérénice! Ah, prince malheureux!
Pourquoi suis-je empereur? Pourquoi suis-je amoureux?


Bérénice : Nous séparer? Qui? Moi?
Titus de Bérénice?


Antiochus : Eh bien, Antiochus, es-tu toujours le même?
Pourrai-je sans trembler , lui dire: « Je vous aime »?


Bajazet

Atalide à Zaïre : Mon unique espérance est dans mon désespoir.


Phèdre

Hippolyte à Théramène : La fille de Minos et de Pasiphaé.
  • Vers fameux pris comme le modèle de tout alexandrin
  • Oeuvres complètes, Jean Racine, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1999, t. I, acte I, scène 1, p. 822 (texte intégral sur Wikisource)


Hippolyte à Théramène : Si je la haïssais, je ne la fuirais pas.
  • Oeuvres complètes, Jean Racine, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1999, t. I, acte I, scène 1, p. 823 (texte intégral sur Wikisource)


Phèdre à Oenone : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ;
  • Oeuvres complètes, Jean Racine, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1999, t. I, acte I, scène 3, p. 831 (texte intégral sur Wikisource)


Hippolyte à Thésée : Ainsi que la vertu, le crime a ses degrés;
Et jamais on n'a vu la timide innocence
Passer subitement à l'extrême licence.
  • Oeuvres complètes, Jean Racine, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1999, t. I, acte IV, scène 2, p. 858 (texte intégral sur Wikisource)


Hippolyte à Thésée : Le jour n'est pas plus pur que le fond de mon cœur.
  • Oeuvres complètes, Jean Racine, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1999, t. I, acte IV, scène 2, p. 858 (texte intégral sur Wikisource)




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