« Conscience » : différence entre les versions

Une page de Wikiquote, le recueil des citations libres.
Contenu supprimé Contenu ajouté
JAnDbot (discussion | contributions)
m r2.7.2) (robot Ajoute : et:Südametunnistus
Motisse38 (discussion | contributions)
Aucun résumé des modifications
Ligne 8 : Ligne 8 :


== Citations ==
== Citations ==

==== [[René Char]], ''Fureur et mystère'', 1948 ====
''' Argument '''
{{citation|citation=''Sur les arêtes de notre amertume, l'aurore de la conscience s'avance et dépose son limon''.}}
{{Réf Livre|titre=Fureur et mystère|auteur=[[René Char]]|éditeur=Gallimard|collection=Poésie|année=1962|année d'origine=1948|page=19|partie=SEULS DEMEURENT (1938-1944)|section=Argument|ISBN=2-07-030065-X}}

=== [[Victor Hugo]], ''{{w|La Légende des Siècles}}'', 1859 ===
=== [[Victor Hugo]], ''{{w|La Légende des Siècles}}'', 1859 ===
{{citation|citation=<poem>Quand il se fut assis sur sa chaise dans l'ombre
{{citation|citation=<poem>Quand il se fut assis sur sa chaise dans l'ombre

Version du 19 mars 2014 à 12:40

La conscience correspond à la perception, la connaissance plus ou moins claire que chacun peut avoir de son existence et de celle du monde extérieur.

Elle désigne également le sentiment intérieur qui pousse à porter un jugement de valeur sur ses propres actes ; sens du bien et du mal.

Citations

René Char, Fureur et mystère, 1948

Argument

Sur les arêtes de notre amertume, l'aurore de la conscience s'avance et dépose son limon.
  • Fureur et mystère (1948), René Char, éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1962  (ISBN 2-07-030065-X), partie SEULS DEMEURENT (1938-1944), Argument, p. 19


Victor Hugo, La Légende des Siècles, 1859

Quand il se fut assis sur sa chaise dans l'ombre
Et qu'on eut sur son front fermé le souterrain,
L'oeil était dans la tombe et regardait Caïn..

{{Réf Livre|titre=La Légende des Siècles |auteur=Victor Hugo |L'histoire de Caïn symbolise l'éveil du sens moral

Friedrich Nietzsche, Par-delà bien et mal, 1886

Quand on veut dresser sa conscience, elle vous embrasse, en vous mordant.

  • Par-delà le bien et le mal, Friedrich Nietzsche (trad. Henri Albert), éd. Le Livre de Poche, coll. « Les Classiques de Poche », 1991  (ISBN 978-2-253-05614-0), partie IV, chap. « Maximes et intermèdes », § 98, p. 158