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{{citation|Nous voyons tout à travers nous-mêmes. Nous sommes un milieu toujours interposé entre les choses et nous. |
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Il y a, dans les langues, quelque chose de fatidique et d’inspiré. |
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{{citation|Notre esprit a plus de pensées que notre mémoire ne peut en retenir ; il porte plus de jugements qu’il ne saurait alléguer de motifs ; il voit plus loin qu’il ne peut atteindre, et sait plus de vérités qu’il n’en peut expliquer. |
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{{citation|Chaque esprit a sa lie. |
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{{citation|Il est des esprits dont on peut dire : il y fait clair, et d’autres, seulement : il y fait chaud. |
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Il est des esprits tellement chauds que leurs pensées s’exhalent en fumée et se consument en eux dès le moment qu’elles s’y forment. |
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{{citation|La fausseté d’esprit vient d’une fausseté de cœur ; elle provient de ce qu’on a secrètement pour but son opinion propre, et non l’opinion vraie. L’esprit faux est faux en tout, comme un œil louche regarde toujours de travers. |
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{{citation|Les passions ne sont que nature ; c’est le non repentir qui est corruption. |
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{{citation|Les hommes trouvent des motifs de défiance dans leur ignorance et dans leurs vices, et des motifs de confiance dans leurs lumières et leurs vertus. La défiance est le partage des aveugles. |
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Il entre dans la composition de tout bonheur l’idée de l’avoir mérité. |
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{{citation|Les orgueilleux me semblent avoir, comme les nains, la taille d’un enfant et la contenance d’un homme. |
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=== DE LA FAMILLE ET DE LA MAISON, |
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DE LA SOCIÉTÉ, DE LA CONVERSATION, DE LA POLITESSE |
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ET DES MANIÈRES. === |
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{{citation|Les cadets sont en général les plus beaux ; leur moulage est plus net et plus sûr. |
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{{citation|On est dispensé d’être instrument dans la société, quand on y est modèle. |
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{{citation|Il faut savoir entrer dans les idées des autres et savoir en sortir, comme il faut savoir sortir des siennes et y rentrer. |
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{{citation|Il vaut mieux remuer une question, sans la décider, que la décider, sans la remuer. |
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=== '''Tome 2''' === |
=== '''Tome 2''' === |
Version du 18 janvier 2011 à 12:34
Joseph Joubert, né à Montignac (Périgord) le 7 mai 1754 et mort à Paris le 4 mai 1824, est un moraliste et essayiste français.
Pensées
Tome 1
- Pensées, Joseph Joubert, éd. Bloud & Cie, 1909, p. 140
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 1, p. 144 (texte intégral sur Wikisource)
Il y a, dans les langues, quelque chose de fatidique et d’inspiré.
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 1, p. 148 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 1, p. 155 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 1, p. 161 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 1, p. 167 (texte intégral sur Wikisource)
Il est des esprits tellement chauds que leurs pensées s’exhalent en fumée et se consument en eux dès le moment qu’elles s’y forment.
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 1, p. 167 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 1, p. 169-170 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 1, p. 179 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 1, p. 179 (texte intégral sur Wikisource)
Il entre dans la composition de tout bonheur l’idée de l’avoir mérité.
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 1, p. 184 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 1, p. 197 (texte intégral sur Wikisource)
=== DE LA FAMILLE ET DE LA MAISON, DE LA SOCIÉTÉ, DE LA CONVERSATION, DE LA POLITESSE ET DES MANIÈRES. ===
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 1, p. 236 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 1, p. 239 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 1, p. 244 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 1, p. 248 (texte intégral sur Wikisource)
Tome 2
Des Beaux-Arts
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 2 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 3 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 4 (texte intégral sur Wikisource)
Il y a dans l’art beaucoup de beautés qui ne deviennent naturelles qu’à force d’art.
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 5 (texte intégral sur Wikisource)
Dans une œuvre de l’art, quelle qu’elle soit, la symétrie apparente ou cachée est le fondement visible ou secret du plaisir que nous éprouvons.
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 6 (texte intégral sur Wikisource)
L’adolescence de l’art est élégante, sa virilité pompeuse, et sa vieillesse riche, mais surchargée d’ornements qui en dissimulent le dépérissement.
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 7-8 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 12 (texte intégral sur Wikisource)
Les anciens renfermaient dans une urne jusqu’aux cendres de leurs amis ; et nous, que tout devrait rappeler sans cesse vers la dernière demeure des nôtres, nous l’environnons d’épouvantails capables d’en repousser jusqu’à nos pensées. Quand nous donnons à ces squelettes armés de sables et de faux, des apparences de commandement et de pouvoir, des attitudes de colère et de menace, que faisons-nous autre chose, sinon travailler à rendre l’homme mort odieux ou ridicule aux yeux de l’homme vivant ?
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 16-17 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 18 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 20 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 24 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 24 (texte intégral sur Wikisource)
De la Poésie
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 31 (texte intégral sur Wikisource)
Les poëtes ont cent fois plus de bon sens que les philosophes. En cherchant le beau, ils rencontrent plus de vérités que les philosophes n’en trouvent en cherchant le vrai.
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 32 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 35-36 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 37 (texte intégral sur Wikisource)
Les mots s’illuminent, quand le doigt du poëte y fait passer son phosphore.
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 40 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 44-45 (texte intégral sur Wikisource)
Du Style
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 48 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 50 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 51 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 57 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 69 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 70 (texte intégral sur Wikisource)
Des qualités de l'écrivain et des compositions littéraires
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 89 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 97 (texte intégral sur Wikisource)
On appelle maniéré, en littérature, ce qu’on ne peut pas lire, sans l’imaginer aussitôt accompagné de quelque gesticulation menue, de quelque mouvement peu franc, peu partagé par la totalité de l’homme.
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 99 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 100 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 101 (texte intégral sur Wikisource)
Trois choses sont nécessaires pour faire un bon livre : le talent, l’art et le métier, c’est-à-dire, la nature, l’industrie et l’habitude.
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 109 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 111 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 114 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 115 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 127 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 128 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 128 (texte intégral sur Wikisource)
La connaissance des esprits est le charme de la critique ; le maintien des bonnes règles n’en est que le métier et la dernière utilité.
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 128 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 128 (texte intégral sur Wikisource)
On les remarque, elles étonnent, et leur nouveauté rend indécis ; on craindrait, en les approuvant, de hasarder son jugement, de compromettre l’honneur de son opinion ; on n’ose donc les goûter, et on laisse l’épreuve se faire. Puis on est tout étonné, un jour, longtemps après qu’on les a vues pour la première fois, de se sentir charmé et subjugué par elles.
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 131-132 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 132 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 133 (texte intégral sur Wikisource)
Il faut se faire un lointain, se créer une perspective, se choisir un point de vue, quand on veut juger d’un ouvrage, même d’un ouvrage d’esprit, d’un mot, d’un livre, d’un discours.
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 138 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 141 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 146-147 (texte intégral sur Wikisource)
Jugements littéraires
Ecrivains de l'Antiquité
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 152 (texte intégral sur Wikisource)
Dans Platon, l’esprit de poésie anime les langueurs de la dialectique.
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 154 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 156 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 157 (texte intégral sur Wikisource)
Ecrivains religieux
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 166 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 167 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 170 (texte intégral sur Wikisource)
Métaphysiciens
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 175 (texte intégral sur Wikisource)
Prosateurs, philosophes, publicistes, etc.
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 190 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 191-192 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 192 (texte intégral sur Wikisource)
Buffon a du génie pour l’ensemble, et de l’esprit pour les détails. Mais il y a en lui une emphase cachée, un compas toujours trop ouvert.
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 195-196 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 198 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 200 (texte intégral sur Wikisource)
Poètes et Romanciers
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 209 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 209 (texte intégral sur Wikisource)
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 219 (texte intégral sur Wikisource)
Qu’on se représente une terre qui dévore ses habitants ; un ciel sans astres, où l’on ne voit que des éclairs ; un sol brûlé, où ne tombe aucune rosée ; enfin, un horizon d’airain, où les noms des plus belles choses retentissent en grondant, avec un son lugubre et creux : voilà le pays des romans. J’ai remarqué qu’un des plus beaux mots de la langue, le mot bonheur, y résonne comme sous les voûtes infernales ; celui de plaisir y est affreux. Il s’exhale de leurs pages une sensibilité malsaine et fausse. La jeunesse y apparaît comme un âge de feu, dévoré par sa propre flamme ; la beauté, comme une victime toujours destinée aux couteaux
- Pensées (~1780-1824), Joseph Joubert, éd. Librairie Vve Le Normant, 1850, t. 2, p. 223 (texte intégral sur Wikisource)
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