Projet:Références/Demandes/Léon Blum
Apparence
Attribuées
[modifier]- "Je voudrais que dans tous les villages et dans toutes les villes, on enseigne l'espéranto qui serait un facteur pour l'entente des peuples et le plus sûr moyen pour maintenir la paix universelle."[réf. nécessaire]
- "La révolte contre l'injustice est aussi vieille que la conscience"[réf. nécessaire]
- "L’homme libre est celui qui n’a pas peur d’aller jusqu’au bout de sa pensée."[réf. nécessaire]
Oeuvres
[modifier]- "Les poisons sont quelquefois des remèdes, mais certains poisons ne sont pourtant que des poisons." (À l'échelle humaine)
Discours
[modifier]- "Nous avons trop l'amour de notre pays pour désavouer l'expansion de la pensée, de la civilisation françaises... Nous admettons le droit et même le devoir des races supérieures d'attirer à elles celles qui ne sont pas parvenues au même degré de culture et de les appeler aux progrès réalisés grâce aux efforts de la science et de l'industrie" à la Chambre des députés, le 2 juillet 1925.
La citation exacte est :
- "Nous admettons qu'il peut y avoir non seulement un droit, mais un devoir de ce qu'on appelle les races supérieures, revendiquant quelquefois pour elles un privilège quelque peu indu, d’attirer à elles les races qui ne sont pas parvenues au même degré de culture et de civilisation"
Léon Blum, Débat sur le budget des Colonies à la Chambre des députés, 9 juillet 1925, J.O., Débats parlementaires, Assemblée, Session Ordinaire (30 juin-12 juillet 1925), p. 848. — Le message qui précède, non signé?, a été déposé par 81.66.55.189 (d · c), le 21 avril 2009 à 02:48 .