Phosphorescence
Littérature[modifier]
Critique[modifier]
Prose poétique[modifier]
André Breton, Poisson soluble, 1924[modifier]
Phosphorescente comme elle l'était, je ne pouvais songer à l'embarquer, les autres bagages eussent appelé à leur secours les mousses et peut-être même ces sauterelles de mer dont le trajet sous l'eau est rigoureusement égal au trajet dans l'air et dont les ailes pétillent lorsqu'on les prend dans la main.
- Poisson soluble (1924), André Breton, éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1996 (ISBN 2-07-032917-8), partie 10, p. 56
Octavio Paz, Liberté sur parole, 1958[modifier]
Ma vie avec la vague
Certaines nuits, sa peau se couvrait de phosphorescences, et l'embrasser était embrasser un morceau de nuit tatoué par le feu.
- Liberté sur parole (1958), Octavio Paz (trad. Jean-Clarence Lambert), éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1966 (ISBN 2-07-031789-7), partie II. AIGLE OU SOLEIL ? (1949-1950), Sables mouvants — Ma vie avec la vague, p. 75