Marguerite Audoux
Apparence
Marguerite Audoux, née le 7 juillet 1863 à Sancoins (Cher) et morte le 31 janvier 1937 à Saint-Raphaël (Var), est une romancière française.
Citations propres
[modifier]L'Atelier de Marie-Claire, 1921
[modifier]Sur les bancs et sur les chaises, des couples restaient inactifs et silencieux, comme écrasés de bonheur.
- L’Atelier de Marie-Claire (1920), Marguerite Audoux, éd. Eugène Fasquelle, 1921, chap. XIV, p. 168-182 (texte intégral sur Wikisource)
Douce Lumière, 1937
[modifier]L’impossibilité de faire de la musique, jointe à la perte d’une société aimable, est une peine qui s’appuie à l’ancienne pour l’augmenter et faire, d’une jeune fille intelligente et tendre, une créature solitaire et ne vivant que de mauvais souvenirs.
- Douce Lumière, Marguerite Audoux, éd. Bernard Grasset, 1937, chap. XI, p. 152-174 (texte intégral sur Wikisource)
Ah ! si nos larmes pouvaient emporter l’amertume de notre cœur.
- Douce Lumière, Marguerite Audoux, éd. Bernard Grasset, 1937, chap. XII, p. 175-197 (texte intégral sur Wikisource)
Une hirondelle dans la maison, c’est toujours signe de bonheur.
- Douce Lumière, Marguerite Audoux, éd. Bernard Grasset, 1937, chap. V, p. 79-88 (texte intégral sur Wikisource)