Le Bossu (film, 1997)

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Le fort Queyras, à Château-Ville-Vieille, en France, sert de lieu de tournage aux combats du début du film.

Le Bossu est un film franco-germano-italien réalisé par Philippe de Broca, adapté du roman feuilleton Le Bossu, de Paul Féval, déjà adapté plusieurs fois au cinéma auparavant. Le film est sorti en 1997. Bien accueilli par les critiques, le film est un succès commercial.

Citations[modifier]

Philippe de Nevers : Regardez bien, tous ! Je compte cinq, et il est mort.

  • Le duc de Nevers pendant un duel amical contre le futur chevalier de Nevers.
  • Vincent Perez, Le Bossu (1997), écrit par Philippe de Broca, Jean Cosmos et Jérôme Tonnerre, d'après le roman de Paul Féval


Philippe, duc d'Orléans : J'ai glissé sur un macaron. (Plus fort, d'un air sévère.) Ça amuse quelqu'un que j'aie glissé sur un macaron !?
  • Après s'être étalé par terre pendant un duel amical contre le futur chevalier de Lagardère.
  • Daniel Auteuil, Le Bossu (1997), écrit par Philippe de Broca, Jean Cosmos et Jérôme Tonnerre, d'après le roman de Paul Féval


Philippe de Nevers : Les ducs de Nevers, de père en fils, n'ont engendré que des fils.

  • Vincent Perez, Le Bossu (1997), écrit par Philippe de Broca, Jean Cosmos et Jérôme Tonnerre, d'après le roman de Paul Féval


Philippe de Nevers (mourant assassiné) : Je connais l'assassin...
Le chevalier de Lagardère : Qui ?
Philippe de Nevers : C'est...
Le chevalier de Lagardère (éperdu) : Qui ?
Philippe de Nevers : C'est... (Il meurt.)

  • Derniers instants du duc de Nevers.
  • Vincent Perez, Daniel Auteuil, Le Bossu (1997), écrit par Philippe de Broca, Jean Cosmos et Jérôme Tonnerre, d'après le roman de Paul Féval


Philippe de Nevers : Parade de septime... riposte... enveloppement de quarte... battement sur le bras, Prise de fer en changeant de main... désarmement... au front !
Le chevalier de Lagardère : Évidemment, mais au front, ça peut pas rentrer !
Philippe de Nevers (désignant un point juste au-dessus de la naissance du nez) : Si. Juste là, précisément.

  • Le duc de Nevers enseigne la seconde botte de Nevers au chevalier de Lagardère.
  • Vincent Perez, Daniel Auteuil, Le Bossu (1997), écrit par Philippe de Broca, Jean Cosmos et Jérôme Tonnerre, d'après le roman de Paul Féval


Le chevalier de Lagardère : Vous m’avez rendu immortel, Philippe ! À présent, je peux tenir contre une armée. Immortel !
  • Le chevalier de Lagardère au duc de Nevers, qui vient de lui apprendre sa seconde botte secrète.
  • Daniel Auteuil, Le Bossu (1997), écrit par Philippe de Broca, Jean Cosmos et Jérôme Tonnerre, d'après le roman de Paul Féval


Le chevalier de Lagardère : Si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère ira à toi !
  • Lancé par le chevalier de Lagardère à l'assassin masqué qui vient de tuer le duc de Nevers, que Lagardère jure de venger.
  • Daniel Auteuil, Le Bossu (1997), écrit par Philippe de Broca, Jean Cosmos et Jérôme Tonnerre, d'après le roman de Paul Féval


Le Bossu : Touchez ma bosse, monseigneur !
  • Ce geste était réputé porter chance.
  • Daniel Auteuil, Le Bossu (1997), écrit par Philippe de Broca, Jean Cosmos et Jérôme Tonnerre, d'après le roman de Paul Féval


Le Comte de Gonzagues (voyant le chevalier de Nevers qui se bat à l'épée contre ses sbires) : Assez de gamineries, soyons modernes (il dégaine un pistolet et vise). Expedit. (Il tire. Le chevalier de Nevers, touché à la poitrine, bascule en arrière et tombe à l'eau.) Le mort qui tue ne tuera plus.
  • Fabrice Lucchini, Le Bossu (1997), écrit par Philippe de Broca, Jean Cosmos et Jérôme Tonnerre, d'après le roman de Paul Féval


Le Comte de Gonzagues : Il est revenu, Lagardère... Il est là, c'est lui, le mort qui tue !
  • Fabrice Lucchini, Le Bossu (1997), écrit par Philippe de Broca, Jean Cosmos et Jérôme Tonnerre, d'après le roman de Paul Féval


Peyrolles : Combien de fois faudra-t-il te tuer pour que tu meures ?
  • Yann Collette , Le Bossu (1997), écrit par Philippe de Broca, Jean Cosmos et Jérôme Tonnerre, d'après le roman de Paul Féval


Le Comte de Gonzagues : Traître ! Traître, oui... Prêtre... Ce sont des vocations ! C'est amusant de trahir... hein ? C'est un jeu, on fait semblant. C'est autre chose que le faire au quotidien, mais un traître véritable, un traître de goût, un traître de sang, un traître gourmand de traîtrise !... Un Judas, au fond, c'est un artiste !
  • Tirade du comte de Gonzagues démasqué et acculé.
  • Fabrice Lucchini, Le Bossu (1997), écrit par Philippe de Broca, Jean Cosmos et Jérôme Tonnerre, d'après le roman de Paul Féval


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