Aller au contenu

Joseph Méry

Une page de Wikiquote, le recueil des citations libres.
Joseph Méry

Joseph Méry, né à Marseille le 21 janvier 1797 et mort le 17 juin 1866, est un journaliste, romancier, poète, auteur dramatique et librettiste français.

Les Nuits italiennes, 1853

[modifier]
Bonaparte ! […] Jamais nom de mortel n'eut des destins si beaux.
  • Les Nuits italiennes (1853), Joseph Méry, éd. Payot & Rivages, coll. « Voyageurs », 1998, chap. III, p. 36


Rien n'annonce mieux l'Italie que Gênes ; c'est le digne portique de marbre de cette éternelle galerie qui finit au golfe de Tarente ; c'est le péristyle de ce musée qui expose ses tableaux, ses statues, ses villes, sur la muraille des Apennins ; et rafraîchit son atmosphère avec les brises croisées de ses deux mers.
  • Les Nuits italiennes (1853), Joseph Méry, éd. Payot & Rivages, coll. « Voyageurs », 1998, chap. I, p. 9


Si Livourne n'existait pas en Italie, il faudrait la bâtir. C'est la cité neutre où l'on arrive pour respirer ; c'est comme un foyer de théâtre où l'on se jette entre deux actes trop saisissants d'un drame fiévreux pour rentrer un instant dan la vie réelle.
  • Les Nuits italiennes (1853), Joseph Méry, éd. Payot & Rivages, coll. « Voyageurs », 1998, chap. II, p. 19


[Florence] est sans doute la seule ville du monde où l'on n'aperçoive pas trace de haillons chez le peuple.
  • Les Nuits italiennes (1853), Joseph Méry, éd. Payot & Rivages, coll. « Voyageurs », 1998, chap. III, p. 23


Vous pouvez également consulter les articles suivants sur les autres projets Wikimédia :