Hervé Bazin
Apparence
Hervé Bazin, né le 17 avril 1911 à Angers où il est mort le 17 février 1996, est un écrivain français.
- Je suis, je vis ; j'attaque, je détruis ; je pense donc je contredis.
- J'entre à peine dans la vie et, grâce à toi, je ne crois plus à rien, ni à personne.
- Merci, ma mère ! Je suis celui qui marche, une vipère au poing.
On admire ses convictions politiques, fortement centripètes, surtout lorsque le centre apparaît dextrogyre.
- Le Matrimoine, Hervé Bazin, éd. Livre de Poche, 1967 (ISBN 2-253-00342-5), p. 37 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
L'adjectif est en train de roquer : la jeune femme bientôt ne sera plus qu'une femme jeune.
- Le Matrimoine, Hervé Bazin, éd. Livre de Poche, 1967 (ISBN 2-253-00342-5), p. 202 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Mais hélas ! le cuculien, la langue de lait, fait des ravages. On connaît l'idiome, dont certains mots (bébé, pipi, bonbon…) sont passés en français majeur.
- Le Matrimoine, Hervé Bazin, éd. Livre de Poche, 1967 (ISBN 2-253-00342-5), p. 182 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Il est significatif que le statut de la femme demeure à peu près inchangé là où les religions sont encore très puissantes. Partout ailleurs, il est remis en question.
- Mais plutôt que d'enseignement, c'est d'éducation que manque aujourd'hui la jeunesse.
- Familles, je vous hais ! disait Gide (qui pourtant en fit une). Disons plus simplement, à deux lettres près : Familles, je vous ai.
- Quand la loi redevient celle de la jungle, c'est un honneur que d'être déclaré hors-la-loi.
- Écrire est un aveu doublé d’un camouflage.