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Ferdinand Oyono

Une page de Wikiquote, le recueil des citations libres.

Ferdinand Oyono est un écrivain, diplomate et homme politique camerounais, né le à Ngoulemakong et mort le à Yaoundé.

Le Vieux Nègre et la médaille, 1956

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Les fantômes ne murmurent pas sans qu’il pleuve la nuit.
  • Le Vieux Nègre et la médaille, Ferdinand Oyono, éd. 10/18, 1979  (ISBN 2-264-00962-4), partie 1, chap. II, p. 39


Les métiers sont aussi variés que les oiseaux du bon Dieu.
  • Le Vieux Nègre et la médaille, Ferdinand Oyono, éd. 10/18, 1979  (ISBN 2-264-00962-4), partie 1, chap. III, p. 59


Si le cochon a de la graisse, quelle quantité de graisse peut avoir un éléphant ?
  • Le Vieux Nègre et la médaille, Ferdinand Oyono, éd. 10/18, 1979  (ISBN 2-264-00962-4), partie 1, chap. III, p. 59


Un homme, et un vrai, ne crie jamais.
  • Le Vieux Nègre et la médaille, Ferdinand Oyono, éd. 10/18, 1979  (ISBN 2-264-00962-4), partie 2, chap. I, p. 97


La marmite dans laquelle on a préparé le bouc garde longtemps son arôme.
  • Le Vieux Nègre et la médaille, Ferdinand Oyono, éd. 10/18, 1979  (ISBN 2-264-00962-4), partie 2, chap. I, p. 103


Si tu veux savoir ce qu’un ami pense de toi, bois quelques gobelets avec lui.
  • Le Vieux Nègre et la médaille, Ferdinand Oyono, éd. 10, 1979  (ISBN 2-264-00962-4), partie 2, chap. III, p. 119


L’homme est un être solitaire.
  • Le Vieux Nègre et la médaille, Ferdinand Oyono, éd. 10/18, 1979  (ISBN 2-264-00962-4), partie 3, chap. I, p. 134


À quoi servirait-il d’être innocent et humble dans ce monde où la vertu et l’honnêteté ne payaient plus ?
  • Le Vieux Nègre et la médaille, Ferdinand Oyono, éd. 10/18, 1979  (ISBN 2-264-00962-4), partie 3, chap. I, p. 146


Le corps ne nous appartient pas.
  • Le Vieux Nègre et la médaille, Ferdinand Oyono, éd. 10/18, 1979  (ISBN 2-264-00962-4), partie 3, chap. I, p. 147


Il faut savoir durer sur cette terre, c’est une chance parfois pénible.
  • Le Vieux Nègre et la médaille, Ferdinand Oyono, éd. 10/18, 1979  (ISBN 2-264-00962-4), partie 3, chap. I, p. 150


Les pleurs sont aussi variés que les oiseaux du bon Dieu !
  • Le Vieux Nègre et la médaille, Ferdinand Oyono, éd. 10/18, 1979  (ISBN 2-264-00962-4), partie 3, chap. II, p. 171


On ne tombe pas dans un piège les yeux ouverts.
  • Le Vieux Nègre et la médaille, Ferdinand Oyono, éd. 10/18, 1979  (ISBN 2-264-00962-4), partie 3, chap. III, p. 176


Si ton cœur se met à battre en arrivant au terme de ton voyage, rebrousse chemin.
  • Le Vieux Nègre et la médaille, Ferdinand Oyono, éd. 10/18, 1979  (ISBN 2-264-00962-4), partie 3, chap. III, p. 176


À la maigreur du caméléon, inutile de demander s’il est malade.
  • Le Vieux Nègre et la médaille, Ferdinand Oyono, éd. 10/18, 1979  (ISBN 2-264-00962-4), partie 3, chap. III, p. 177


Chemin d’Europe, 1960

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L’amour a parfois des apparences de haine et une femme peut bien aimer qui elle n’estime pas.
  • Chemin d’Europe, Ferdinand Oyono, éd. Julliard, coll. « 10/18 », 1973  (ISBN 2-264-00881-4), chap. IV, p. 42


Rien n’arrête une femme à la recherche de son bonheur et contre le cœur il n’y a point de justice devant laquelle on puisse recourir.
  • Chemin d’Europe, Ferdinand Oyono, éd. Julliard, coll. « 10/18 », 1973  (ISBN 2-264-00881-4), chap. IV, p. 45


On connaît la grosseur de l’éléphant à la grosseur de se son crottin.
  • Chemin d’Europe, Ferdinand Oyono, éd. Julliard, coll. « 10/18 », 1973  (ISBN 2-264-00881-4), chap. XIII, p. 158


La vérité n’a jamais plaidé en faveur d'un pauvre type.
  • Chemin d’Europe, Ferdinand Oyono, éd. Julliard, coll. « 10/18 », 1973  (ISBN 2-264-00881-4), chap. XIV, p. 173


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