Erika

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L'Erika est le nom du navire qui, en 1999, s'est brisé en deux avant de couler au large des côtes bretonnes, causant ainsi une grave pollution dans la région. Le procès se déroule en 2007.

Antonio Pollara, gestionnaire de l'Erika[modifier]

Moins on est curieux dans ce métier, mieux ça vaut.
  • Lors du procès de l'Erika.
  • « Erika : petits arrangements entre Italiens », Antonio Pollara, Ouest-France (ISSN 358-2102), nº 18979, 15 février 2007, p. 3


Giuseppe Savarese, le propriétaire de l'Erika[modifier]

Tout armateur a des dettes commerciales, mais j'ai toujours payé mes créanciers. Enfin, jusqu'au naufrage.
  • « Au procès Erika, l'art de la « combinazione » », Giuseppe Savarese, Ouest-France (ISSN 358-1502), nº 18979, 21 février 2007, p. 3


Sur la note interne de Total[modifier]

Quand on fait appel au vétérinaire, c’est que l’animal est malade.
  • Au sujet de la note prémonitoire de Total.
  • « Procès de l'Erika : la note prémonitoire de Total », Un avocat des parties civiles, Ouest-France (ISSN 358-1402), nº 18978, 14 février 2007, p. 5


Sur le jugement rendu le 16 janvier 2008 par le tribunal correctionnel de Paris[modifier]

Ce procès, très bien mené, a permis de voir qu'il y avait des responsabilités à tous les niveaux: la société de certification a commis des fautes, la société Total à travers sa procédure de vetting a commis des fautes, et l'armateur également. Cela aura des répercussions très importantes concernant la chaîne des responsabilités. Si on étend le champ des responsabilités on augmente la possibilité de réparer ces catastrophes et on incite ces entreprises à être plus vertueuses. Si on sait que les affréteurs peuvent être responsables des pollutions marines ça les incitera à faire davantage attention quand ils affrètent des navires.
  • Peu avant la lecture du jugement du 16 janvier 2008


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