Désiré Bolya Baenga

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Désiré Bolya Baenga est un écrivain congolais né le à Léopoldville (aujourd’hui Kinshasa), en République Démocratique du Congo et mort le à Paris.

La profanation des vagins : Le viol, arme de destruction massive, 2005[modifier]

Les viols collectifs à répétition et autres crimes sexuels de masse doivent être considérés comme de redoutables armes de destruction massive dans les innombrables guerres sales qui ravagent notamment l’Afrique.
  • La profanation des vagins : Le viol, arme de destruction massive, Désiré Bolya Baenga, éd. Le Serpent à Plumes, 2005  (ISBN 2-268-05330-X), p. 15


La guerre est aujourd’hui le principal sport de ces milliers d’enfants. Le viol collectif à grande échelle est leur jeu préféré, le crime sexuel de masse leur seul plaisir. La kalachnikov est leur organe de jouissance ; leur pénis meurtrier et canibale.
  • La profanation des vagins : Le viol, arme de destruction massive, Désiré Bolya Baenga, éd. Le Serpent à Plumes, 2005  (ISBN 2-268-05330-X), p. 17


En Afrique, la kalachnikov est devenue une prothèse sexuelle meurtrière, et le pénis une arme de guerre. La profanation des vagins, la destruction de « l’Origne du monde », de l’endroit d’où vient toute l’humanité, est un nouveau rite initiatique criminel
  • La profanation des vagins : Le viol, arme de destruction massive, Désiré Bolya Baenga, éd. Le Serpent à Plumes, 2005  (ISBN 2-268-05330-X), p. 18


La chasse aux vagins est une véritable guerre dans la guerre-la vraie !
  • La profanation des vagins : Le viol, arme de destruction massive, Désiré Bolya Baenga, éd. Le Serpent à Plumes, 2005  (ISBN 2-268-05330-X), p. 21


Les seigneurs de la guerre, ces saigneurs de vagins, ces grands prédateurs sexuels sont tous des monstres pédophiles. Seul l’avènement d’une véritable justice internationale à compétence universelle pourra éradiquer ce fléau.
  • La profanation des vagins : Le viol, arme de destruction massive, Désiré Bolya Baenga, éd. Le Serpent à Plumes, 2005  (ISBN 2-268-05330-X), p. 93


Le vagin est « sacré » : en tout lieu, il est l’Origine du monde.
  • La profanation des vagins : Le viol, arme de destruction massive, Désiré Bolya Baenga, éd. Le Serpent à Plumes, 2005  (ISBN 2-268-05330-X), p. 93


Tant que la culture de l’impunité prévaudra, les criminels sexuels contre l’humanité considéreront toujours toutes les conventions internationales comme des chiffons de papiers. Et la profanation des vagins, ensemencés de sperme sale, continuera.
  • La profanation des vagins : Le viol, arme de destruction massive, Désiré Bolya Baenga, éd. Le Serpent à Plumes, 2005  (ISBN 2-268-05330-X), p. 94


Violer « ses » femmes est en effet une façon de toucher l’ennemi, de l’envahir en « polluant » sa descendance. Là réside le « plaisir » du viol de guerre : offenser d’autres mâles.
  • La profanation des vagins : Le viol, arme de destruction massive, Désiré Bolya Baenga, éd. Le Serpent à Plumes, 2005  (ISBN 2-268-05330-X), p. 97


L’immunité rime toujours et partout avec l’impunité… Et celle-ci est toujours l’antichambre de la barbarie : elle fait le lit de la sauvagerie.
  • La profanation des vagins : Le viol, arme de destruction massive, Désiré Bolya Baenga, éd. Le Serpent à Plumes, 2005  (ISBN 2-268-05330-X), p. 137


La polyandre , 1998[modifier]

En Afrique, dans certaines ethnies, les Guidars, les Abissis, les Leles ou les Lobis, une femme d’un certain rang a le droit d’avoir plusieurs époux. Et si un des maris commet l’adultère, c’est la foudre qui s’abat sur lui. Un mari infidèle est un homme mort !
  • La polyandre, Désiré Bolya Baenga, éd. Le Serpent à Plumes, 1998  (ISBN 2-84261-049-0), p. 222


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