Claude Njiké-Bergeret

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Claude Njiké-Bergeret née le 5 juin 1943 à Douala, au Cameroun elle est auteure francophone camerounaise.

Citations[modifier]

L’importance qu'au Cameroun, on peut être encore soi-même, on peut avoir une liberté individuelle, on peut vivre en dehors des clichés et c’est ça qui me permet de vivre au-delà de ce que j’ai pu imaginer. Au Cameroun, je peux vivre dans la nature, à son contact, avec ses dangers, avec cet infini.
  • « Rencontre avec Claude Njiké-Bergeret : "la Reine Blanche" (Cameroun) », Fanny Borius, over-blog.com, 25 octobre 2007 (lire en ligne)


L’importance qu'au Cameroun, on peut être encore soi-même, on peut avoir une liberté individuelle, on peut vivre en dehors des clichés et c’est ça qui me permet de vivre au-delà de ce que j’ai pu imaginer. Au Cameroun, je peux vivre dans la nature, à son contact, avec ses dangers, avec cet infini.
  • « Rencontre avec Claude Njiké-Bergeret : "la Reine Blanche" (Cameroun) », Fanny Borius, over-blog.com, 25 octobre 2007 (lire en ligne)


Je pense que même en France, plein de gens essayent de vivre comme moi, c’est beaucoup plus difficile parce qu’il y a une pagaille de lois, ça doit être un foutoir, il faut des permis pour construire, pour exploiter la terre. En France, on n’exécute pas un labeur, on l’exploite pour s’enrichir et il faut de l’argent pour vivre dans une société qui dénigre la nature sur tous les plans et pourtant cette société ne pourrait pas vivre sans la nature.
  • « Rencontre avec Claude Njiké-Bergeret : "la Reine Blanche" (Cameroun) », Fanny Borius, over-blog.com, 25 octobre 2007 (lire en ligne)


Je ne supporte pas la vie industrielle mais je la vis. J’ai un 4X4. Je refuse l’empire Coca-Cola mais j’aime ça alors je le bois. Je suis dans le bateau. On n’arrête pas une locomotive en marche. Mais l’important est que si on me prend tout, il ne me manquera rien. Ce qui compte, c’est toi, ton intérieur.
  • « Rencontre avec Claude Njiké-Bergeret : "la Reine Blanche" (Cameroun) », Fanny Borius, over-blog.com, 25 octobre 2007 (lire en ligne)


Le chemin est personnel, il faut avoir du courage pour le trouver. Penser que tout est possible. Moi, je pense que tout est devant, je n’ai encore rien fait.
  • « Rencontre avec Claude Njiké-Bergeret : "la Reine Blanche" (Cameroun) », Fanny Borius, over-blog.com, 25 octobre 2007 (lire en ligne)


En m’installant au Palais, je suis devenue sa 26ème femme, mais ça ne me gênait pas car je connaissais les us et coutumes du pays. Au Cameroun, chaque femme a sa maison, ses champs et peut librement circuler où elle veut. C’est une autre façon de voir la vie. Mes parents n’ont jamais accepté ce mariage avec un homme polygame, eux qui avaient lutté toute leur vie contre la polygamie. C’était une négation de leur combat et de leurs convictions.
  • « Claude Njiké-Bergeret », Fanny Borius, Le Blog de Fanny Bijaoui, 2009-03-16 (lire en ligne)


Je sais que je ne suis pas maître de mon destin et que je dépends d’un plan d’ensemble qui me dépasse. Mais je n’appelle pas cela Dieu. Et pourtant, j’ai foi en la vie puisque je rayonne et que rien ne m’inquiète dans la vie. Mais je trouverai ça déplacé de prier et de demander des choses. De même, je n’invoque jamais le nom de Jésus car…je ne l’ai pas connu moi-même et que cela ne représente rien pour moi
  • « Claude Njiké-Bergeret », Fanny Borius, Le Blog de Fanny Bijaoui, 2009-03-16 (lire en ligne)


Ceux qui viennent me voir dans ma petite oasis doivent se dire que je vis dans une île déserte. On m’a souvent proposé de m’aider à développer ce coin de terre qui m’a pris le cœur. Mais j’avoue que la seule idée de dépendre d’un financement extérieur me donne le vertige. Je préfère vivre comme je peux avec ce que j’ai sous la main, même s’il m’arrive d’accepter les aides amicales et spontanées, comme un ordinateur par exemple !
  • « Claude Njiké-Bergeret », Fanny Borius, Le Blog de Fanny Bijaoui, 2009-03-16 (lire en ligne)


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