Chinua Achebe
Chinua Achebe est un écrivain nigérian d’expression anglaise. Il est né le à Ogidi (Nigeria) et mort le à Boston.
Citations[modifier]
Things Fall Apart, 1958[modifier]
Chez les Ibos, on tient en grande estime l’art de la conversation, et les proverbes sont l’huile de palme avec laquelle on accommode les mots.
- Tout s’effondre, Chinua Achebe (trad. Pierre Girard), éd. Actes Sud, 2013 (ISBN 978-2-330-02441-3), p. 15
Les termitières de la savane, 1994[modifier]
Exercer le pouvoir, c'est comme se marier avec une femme qui vit de l'autre côté du Niger: on se retrouve vite au milieu du fleuve en train de pagayer de nuit.
- Les termitières de la savane, Chinua Achebe, éd. 10/18, 1994 (ISBN 978-2264018083), p. 57
Les termitières de la savane, 1994[modifier]
Le lézard qui bondit au sol du haut du plus grand arbre iroko disait qu'il chanterait ses propres louanges si personne d'autre ne le faisait.
- Les termitières de la savane, Chinua Achebe, éd. 10/18, 1994 (ISBN 978-2264018083), p. 32
Citation rapportée[modifier]
Un village n’est pas fait d’une poignée de héros, mais bien d’individus nombreux.
- Le monde s’effondre (Things Fall Apart), 1958.
- Le monde s’effondre : étude critique, Marie Grésillon, éd. Les classiques africains, coll. « Approche de l'œuvre complète », 1986 (ISBN 2-85049-337-6), partie I, p. 45
Le châtiment de l’exil doit se dérouler sur la terre maternelle.
- Le monde s’effondre (Things Fall Apart), 1958.
- Le monde s’effondre : étude critique, Marie Grésillon, éd. Les classiques africains, coll. « Approche de l'œuvre complète », 1986 (ISBN 2-85049-337-6), partie I, p. 51
Il est impossible de dissocier les pratiques profanes des pratiques religieuses.
- Le monde s’effondre (Things Fall Apart), 1958.
- Le monde s’effondre : étude critique, Marie Grésillon, éd. Les classiques africains, coll. « Approche de l'œuvre complète », 1986 (ISBN 2-85049-337-6), partie I, p. 51
On ne doit pas mourir pendant la Semaine de paix.
- Le monde s’effondre (Things Fall Apart), 1958.
- Le monde s’effondre : étude critique, Marie Grésillon, éd. Les classiques africains, coll. « Approche de l'œuvre complète », 1986 (ISBN 2-85049-337-6), partie I, p. 55
Si un homme est privé de sépulture, le clan est rempli de mauvais esprit qui en veulent aux vivants.
- Le monde s’effondre (Things Fall Apart), 1958.
- Le monde s’effondre : étude critique, Marie Grésillon, éd. Les classiques africains, coll. « Approche de l'œuvre complète », 1986 (ISBN 2-85049-337-6), partie I, p. 55
La vraie supériorité du blanc, ce sont ses larmes.
- Le monde s’effondre (Things Fall Apart), 1958.
- Le monde s’effondre : étude critique, Marie Grésillon, éd. Les classiques africains, coll. « Approche de l'œuvre complète », 1986 (ISBN 2-85049-337-6), partie I, p. 60
Un esprit faible reste faible dans sa vieillesse et un esprit fort perd sa vigueur en vieillissant.
- Le monde s’effondre (Things Fall Apart), 1958.
- Le monde s’effondre : étude critique, Marie Grésillon, éd. Les classiques africains, coll. « Approche de l'œuvre complète », 1986 (ISBN 2-85049-337-6), partie II, p. 81
L’homme instruit prend conscience, à mesure qu’il vieillit, de l’immensité de son ignorance.
- Le monde s’effondre (Things Fall Apart), 1958.
- Le monde s’effondre : étude critique, Marie Grésillon, éd. Les classiques africains, coll. « Approche de l'œuvre complète », 1986 (ISBN 2-85049-337-6), partie II, p. 81
Ce qui est bon dans le monde africain traditionnel est mauvais au regard du blanc.
- Le monde s’effondre (Things Fall Apart), 1958.
- Le monde s’effondre : étude critique, Marie Grésillon, éd. Les classiques africains, coll. « Approche de l'œuvre complète », 1986 (ISBN 2-85049-337-6), partie III, p. 87
Nous sommes meilleurs que les animaux parce que nous avons des parents. Un animal flotte le flanc qui le gratte contre un arbre, un homme demande à son parent de le gratter.
- Le monde s’effondre (Things Fall Apart), 1958.
- Le monde s’effondre : étude critique, Marie Grésillon, éd. Les classiques africains, coll. « Approche de l'œuvre complète », 1986 (ISBN 2-85049-337-6), partie III, p. 193