Bernie

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Bernie est un film français réalisé en 1996 par Albert Dupontel. Il en est aussi le scénariste et l'acteur principal.

Citations[modifier]

Surveillant de l'orphelinat : Et oui ! Ça s'appelle un bus. C'est un moyen de transport. Et après t'en prendras un autre, avec des roues en fer et qui sera électrique, ça s'appelle un train. Et quand il va sous terre, ça s'appelle le métro. Et quand tu seras là, tu seras arrivé parce que c'est le meilleur endroit pour faire la manche, pauv' con !
  • Patrick Ligardes, Bernie (1996), écrit par Albert Dupontel


Bernie : Je m'appelle Bernie Noël et j'aime bien les hyènes. Parce que la hyène, c'est un animal dont on parle jamais alors que c'est un animal qui peut être très important. Parce que moi, je trouve qu'être ami avec une hyène, souvent c'est plus important qu'être ami avec des... avec des vrais amis.
  • Albert Dupontel, Bernie (1996), écrit par Albert Dupontel


Bernie : Ce qu'est embêtant dans les oiseaux, c'est les becs.
  • Albert Dupontel, Bernie (1996), écrit par Albert Dupontel


Bernie : Bon, c'est... c'est l'deuxième jour, il est 11h23, tout va bien. Ça s'confirme, on... on a enl'vé mes parents et moi on a voulu m'tuer. Sûr'ment la... la mafia. Après bon, ils ont fait disparaître les corps, ils les ont... ils les ont torturés, et après ils ont dû faire disparaître les corps. Tout s'explique.

Mon père était un... un riche Américain. Alors, qu'est-ce qu'un riche Américain était v'nu foutre dans c'bled, bon... je sais pas. Mais en tout cas il a été une victime d'une sale embrouille, et je sais pas qui c'était les enculés d'en face, mais... ça d'vait être de drôles d'enculés parce que s'en prendre à un bébé ! Sinon j'vais changer d'prénom. Puisque c'est pas le mien j'ai euh... j'ai pensé à John Fitzgerald... Demain, j'vais... j'vais r'tourner chez le... chez l'concierge pour m'excuser. J'ai j'ai pas trouvé de p'tit zoiseau jaune mais j'en ai trouvé un autre beaucoup mieux, abandonné dans un parc, un gros plein d'couleurs. "Abandonné dans un parc", alors maintenant on abandonne tout, même les oiseaux ! Enculés !

Ça... ça m'étonne pas que... que j'sois étranger. J'me suis toujours senti un peu... un peu différent des autres. En fait, moi, je suis pas un autre. Voilà et c'est ça qu'est bien.
  • Albert Dupontel, Bernie (1996), écrit par Albert Dupontel


Mme Clermont : Donald, je te donnerai tout ce que tu voudras. Cent mille en liquide, si tu préfères j'ai des nations monétaires à 6,25, je peux les placer en obligations sur ton nom.
Donald Willis : Je préfère t'enculer.

  • Hélène Vincent, Roland Blanche, Bernie (1996), écrit par Albert Dupontel


Marion : Ça fait combien de litres que t'es au chômage ?
  • Claude Perron, Bernie (1996), écrit par Albert Dupontel


Mme Clermont : Fini la branlette ! (elle vient de lui couper la main droite)
Donald Willis : J'm'en fous, j'suis gaucher !

  • Hélène Vincent, Roland Blanche, Bernie (1996), écrit par Albert Dupontel


Ramonda : Mon grand-père était une saleté, mon père était une saleté, je suis une saleté. Et toi, si tu t'y mets pas, tu feras jamais rien.
  • Roland Bertin, Bernie (1996), écrit par Albert Dupontel


Donald Willis : Tu finiras bien par sortir Madame Clermont, et là je vais tellement t'enculer que quand tu bailleras on verra le jour!
  • Roland Blanche, Bernie (1996), écrit par Albert Dupontel


Marion : Moi, je voulais un vrai mec avec des anticorps et un avenir.
  • Claude Perron, Bernie (1996), écrit par Albert Dupontel


Bernie : En ce moment je fais toujours le même rêve, je nage dans la Seine et tout d'un coup j'avale un rat alors j'étouffe et puis je coule, et en bas y'a des huîtres elles m'attrapent les chevilles, alors je vomis le rat sur les huîtres, le rat il attaque les huîtres, je remonte à la surface, je prends une péniche dans la tête et là je me réveille.
Le dealer : Putain... c'est pas la peine que je te file des trucs, à toi.

  • Albert Dupontel, Loïc Houdré, Bernie (1996), écrit par Albert Dupontel


Marion : C'est la société qu'est bien foutue. Ils mettent des uniformes aux connards pour qu'on puisse les reconnaître.
  • Claude Perron, Bernie (1996), écrit par Albert Dupontel


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