Franz Kafka
Franz Kafka (1883 — 1924) est un auteur de confession juive et de langue allemande. C'est l'un des écrivains occidentaux majeurs du XXe siècle.
Œuvres
Le Procès
- « Le Procès » (trad. Alexandre Vialatte), dans Œuvres complètes, Franz Kafka, éd. Gallimard, 1984, vol. 1, chap. 1 (« Arrestation de Joseph K. »), p. 264 (voir la fiche de référence de l'œuvre) (texte intégral sur Wikisource)
- « Le Procès » (trad. Alexandre Vialatte), dans Œuvres complètes, Franz Kafka, éd. Gallimard, 1984, vol. 1, chap. 10 (« Fin »), p. 464 (voir la fiche de référence de l'œuvre) (texte intégral sur Wikisource)
Mais l'un des deux messieurs venait de le saisir à la gorge ; l'autre lui enfonça le couteau dans le cœur et l'y retourna par deux fois. Les yeux mourants, K. vit encore les deux messieurs penchés tout près de son visage qui observaient joue contre joue.
- « Le Procès » (trad. Alexandre Vialatte), dans Œuvres complètes, Franz Kafka, éd. Gallimard, 1984, vol. 1, chap. 10 (« Fin »), p. 466 (voir la fiche de référence de l'œuvre) (texte intégral sur Wikisource)
La Colonie pénitentiaire
- « La Colonie pénitentiaire » (trad. Alexandre Vialatte), dans Œuvres complètes, Franz Kafka, éd. Gallimard, 1984, vol. 2, p. 309-310 (voir la fiche de référence de l'œuvre) (texte intégral sur Wikisource)
Les Recherches d'un chien
- « Les Recherches d'un chien » (trad. Claude David), dans Œuvres complètes, Franz Kafka, éd. Gallimard, 1984, vol. 2, p. 696 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- « Les Recherches d'un chien » (trad. Claude David), dans Œuvres complètes, Franz Kafka, éd. Gallimard, 1984, vol. 2, p. 696 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- « Les Recherches d'un chien » (trad. Claude David), dans Œuvres complètes, Franz Kafka, éd. Gallimard, 1984, vol. 2, p. 713 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- « Les Recherches d'un chien » (trad. Claude David), dans Œuvres complètes, Franz Kafka, éd. Gallimard, 1984, vol. 2, p. 1228 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
La Métamorphose
- La Métamorphose, Franz Kafka (trad. Claude David), éd. Folio Classique, 2000, chap. 1, p. 54
Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin
- Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin, Franz Kafka (trad. Bernard Pautrat), éd. Payot et Rivages, coll. « Rivages poche, Petite bibliothèque », 2001 (ISBN 2-7436-0773-4), p. 29
- Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin, Franz Kafka (trad. Bernard Pautrat), éd. Payot et Rivages, coll. « Rivages poche, Petite bibliothèque », 2001 (ISBN 2-7436-0773-4), p. 30
- Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin, Franz Kafka (trad. Bernard Pautrat), éd. Payot et Rivages, coll. « Rivages poche, Petite bibliothèque », 2001 (ISBN 2-7436-0773-4), p. 34
- Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin, Franz Kafka (trad. Bernard Pautrat), éd. Payot et Rivages, coll. « Rivages poche, Petite bibliothèque », 2001 (ISBN 2-7436-0773-4), p. 38
- Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin, Franz Kafka (trad. Bernard Pautrat), éd. Payot et Rivages, coll. « Rivages poche, Petite bibliothèque », 2001 (ISBN 2-7436-0773-4), p. 46
- Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin, Franz Kafka (trad. Bernard Pautrat), éd. Payot et Rivages, coll. « Rivages poche, Petite bibliothèque », 2001 (ISBN 2-7436-0773-4), p. 48
- Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin, Franz Kafka (trad. Bernard Pautrat), éd. Payot et Rivages, coll. « Rivages poche, Petite bibliothèque », 2001 (ISBN 2-7436-0773-4), p. 49
- Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin, Franz Kafka (trad. Bernard Pautrat), éd. Payot et Rivages, coll. « Rivages poche, Petite bibliothèque », 2001 (ISBN 2-7436-0773-4), p. 65
- Réflexions sur le péché, la souffrance, l'espérance et le vrai chemin, Franz Kafka (trad. Bernard Pautrat), éd. Payot et Rivages, coll. « Rivages poche, Petite bibliothèque », 2001 (ISBN 2-7436-0773-4), p. 77
Le Château
- (de) Du kannst jemanden, der die Augen verbunden hat, noch so sehr aufmuntern, durch das Tuch zu starren, er wird doch niemals etwas sehen; erst wenn man ihm das Tuch abnimmt, kann er sehen.
- Le Château (1926), Franz Kafka (trad. Alexandre Vialatte), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 2-07-036284-1), chap. XV, p. 269
Correspondance
- « Lettre à Oskar Pollak, 27 janvier 1904 » (trad. Marthe Robert), dans Œuvres complètes, Franz Kafka, éd. Gallimard, 1984, vol. 4, p. 575 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Journal
- Journal, Franz Kafka (trad. Marthe Robert), éd. Grasset, 1989, p. 159
- Journal, Franz kafka (trad. Marthe Robert), éd. Grasset, 1989, p. 307
- « Journal, 21 août 1913 » (trad. Marthe Robert), dans Œuvres complètes, Franz Kafka, éd. Gallimard, 1984, vol. 3, p. 308 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- « Journal, 12 novembre 1914 » (trad. Claude Marthe), dans Œuvres complètes, Franz Kafka, éd. Gallimard, 1984, vol. 3, p. 367 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Citation choisie pour le 26 juin 2012.
- Journal, Franz Kafka (trad. Marthe Robert), éd. Grasset, 1989, p. 368
- « Journal, 21 novembre 1917 » (trad. Claude Marthe), dans Œuvres complètes, Franz Kafka, éd. Gallimard, 1984, vol. 3, p. 450 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- « Journal, 30 novembre 1917 » (trad. Claude Marthe), dans Œuvres complètes, Franz Kafka, éd. Gallimard, 1984, vol. 3, p. 454 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Citation choisie pour le 12 décembre 2016.
- « Journal, 8 décembre 1917 » (trad. Claude Marthe), dans Œuvres complètes, Franz Kafka, éd. Gallimard, 1984, vol. 3, p. 456 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Journal, Franz Kafka (trad. Marthe Robert), éd. Grasset, 2010, p. 500
- « Journal, 17 septembre 1920 » (trad. Claude Marthe), dans Œuvres complètes, Franz Kafka, éd. Gallimard, 1984, vol. 3, p. 507 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
- Journal, Franz Kafka (trad. Marthe Robert), éd. Grasset, 1989, p. 513
- Citation choisie pour le 14 septembre 2019.
- Journal, Franz Kafka (trad. Marthe Robert), éd. Grasset, 1989, p. 537-538
- Journal, Franz Kafka (trad. Marthe Robert), éd. Grasset, 1989, p. 538
- Citation choisie pour le 11 septembre 2021.
- Journal, Franz Kafka (trad. Marthe Robert), éd. Grasset, 1989, p. 540
- « Journal, 11 avril 1922 » (trad. Claude David), dans Œuvres complètes, Franz Kafka, éd. Gallimard, 1984, vol. 3, p. 543 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Conversations avec Kafka, 1951 et 1968
Kafka fit "oui" de la tête.
"Comme Kaspar Hauser ?"
- Conversations avec Kafka, Gustav Janouch (trad. Bernard Lortholary), éd. Les Lettres Nouvelles/Maurice Nadeau, 1978 (ISBN 2-86231-076-X), p. 92
Interrompant Kafka, je dis : "Mais il n'y peut rien ! Cela ne peut pas être un péché, puisque cela nous est imposé par le destin."
Alors Kafka tourna lentement son visage vers moi. Je vis ses grands yeux gris, ils étaient sombres et impénétrables. Le visage tout entier était envahi d'un calme profond, minéral. Seule tressaillait légèrement la lèvre inférieure, qui avançait un peu. Ou était-ce une ombre ?
Il me demanda : "Voulez-vous protester contre Dieu ?"
Je baissai la tête. Sans dire mot. De l'autre côté de la cloison, on entendait le murmure d'une voix.
- Conversations avec Kafka, Gustav Janouch (trad. Bernard Lortholary), éd. Les Lettres Nouvelles/Maurice Nadeau, 1978 (ISBN 2-86231-076-X), p. 94
"Ces gens sont si fiers, si confiants, si joyeux. Parce qu'ils sont maîtres de la rue, ils s'imaginent qu'ils sont maîtres du monde. En réalité, il se trompent bel et bien. Il y a déjà derrière eux les secrétaires, les permanents, les politiciens, tous ces sultans des temps modernes, auxquels ils fraient la voie qui mène au pouvoir.
- Vous ne croyez pas à la puissance des masses ?
- Je la vois, cette puissance des masses : elle est informe et paraît indomptable, et elle n'a de cesse qu'elle ne soit domptée et formée. Au terme de toute évolution vraiment révolutionnaire, il surgit un Napoléon Bonaparte.
- Vous ne croyez pas que la révolution russe s'étende encore ?
Après un instant de silence, Kafka répondit :
- Conversations avec Kafka, Gustav Janouch (trad. Bernard Lortholary), éd. Les Lettres Nouvelles/Maurice Nadeau, 1978 (ISBN 2-86231-076-X), p. 158
- Conversations avec Kafka, Gustav Janouch (trad. Bernard Lortholary), éd. Les Lettres Nouvelles/Maurice Nadeau, 1978 (ISBN 2-86231-076-X), p. 208
Kafka pencha la tête.
"C'est un abîme empli de lumière. Il faut fermer les yeux pour ne pas y tomber. Max Brod écrit un grand ouvrage sur Paganisme, Christianisme, Judaïsme. Peut-être mon dialogue avec ce livre m'apportera-t-il quelque clarté.
- Vous attendez tant de choses de ce livre ?
- Conversations avec Kafka, Gustav Janouch (trad. Bernard Lortholary), éd. Les Lettres Nouvelles/Maurice Nadeau, 1978 (ISBN 2-86231-076-X), p. 221
- Mais qu'est-ce que la vérité ?
Kafka resta un instant sans rien dire, puis il eut un sourire malicieux.
- Conversations avec Kafka, Gustav Janouch (trad. Bernard Lortholary), éd. Les Lettres Nouvelles/Maurice Nadeau, 1978 (ISBN 2-86231-076-X), p. 222
Les Aphorismes de Zürau, 2010
- Les Aphorismes de Zürau, Franz Kafka (trad. Hélène Thiérard), éd. Gallimard, 2010, p. 27
- Les Aphorismes de Zürau, Franz Kafka (trad. Hélène Thiérard), éd. Gallimard, 2010, p. 31
- Les Aphorismes de Zürau, Franz Kafka (trad. Hélène Thiérard), éd. Gallimard, 2010, p. 36
- Les Aphorismes de Zürau, Franz Kafka (trad. Hélène Thiérard), éd. Gallimard, 2010, p. 50
- Les Aphorismes de Zürau, Franz Kafka (trad. Hélène Thiérard), éd. Gallimard, 2010, p. 61
- Les Aphorismes de Zürau, Franz Kafka (trad. Hélène Thiérard), éd. Gallimard, 2010, p. 75
- Les Aphorismes de Zürau, Franz Kafka (trad. Hélène Thiérard), éd. Gallimard, 2010, p. 86
- Les Aphorismes de Zürau, Franz Kafka (trad. Hélène Thiérard), éd. Gallimard, 2010, p. 88
- Les Aphorismes de Zürau, Franz Kafka (trad. Hélène Thiérard), éd. Gallimard, 2010, p. 108
Sur Kafka
J. M. Coetzee
- Elizabeth Costello, J. M. Coetzee (trad. Catherine Lauga du Plessis), éd. Le Seuil, coll. « Points n°1454 », 2004 (ISBN 978-2-02-086477-0), p. 104-105
Imre Kertész
Ce château est-il vraiment si mystérieux ? Il est décrit avec précision. Vu du village, il se trouve à l'horizon, sur une colline plus ou moins lointaine, mais il est aisément accessible. Le roman nous apprend qu'une route y mène. Il est évident qu'elle permet d'aller non seulement du château au village, mais aussi du village au château. Pourtant tout le monde croit et admet qu'on ne peut pas se rendre au château, ce consensus prenant force de loi. Nous voyons bien que le village tout entier pourrait s'engager sur ce chemin comme un seul homme et aller jusqu'au château. Les murs de ce dernier ne sont défendus ni par des canons, ni par des armes automatiques, le texte ne fait nulle mention d'une armée ou d'une police quelconque. Les villageois pourraient demander à entrer ou bien défoncer les portes ; mais ils ne le font pas, ils acceptent de ne pas pouvoir entrer au château à l'exception de certains d'entre eux, à certaines conditions et dans certaines circonstances. Ils acceptent un ordre inventé, une règle du jeu, et ils fondent leur vie sur ce principe, comme si c'était celui de la vie ou de la nature. - La liberté de K. est sa détermination (à pénétrer dans le château) ; son erreur est d'avoir accepté la mission ; conséquence : il s'épuise. K. est le Lohengrin de la liberté ; sauf qu'il n'entre pas dans le château des chevaliers du Graal, mais meurt vraisemblablement parmi les hommes.- La clé du roman se trouve dans un autre livre de Kafka, Le Procès : "C'est ériger le mensonge en ordre universel." Le Procès est le roman de cette découverte. Le Château, celui de cette règle du monde. Il est évident que toutes les valeurs se situent à l'intérieur du roman. A savoir : les efforts pour entrer au château, Frida, Amalia, etc. Seul le château peut être un symbole transcendant du monde. Bien qu'il ne soit en tout et pour tout qu'une comparaison poétique : la vie est comme un château dans lequel on n'entrera jamais. Mais le roman n'est pas construit sur cette métaphore modeste, extrêmement modeste. Le château est un fait, un conglomérat d'objets décrits de manière réaliste - un clocher, des murs, des tours, etc. ; certes, il miroite parfois d'une lueur particulière et nous voyons ce miroitement à travers le prisme des consciences. Il apparaît que la grande découverte du roman n'est pas la comparaison facile mentionnée plus haut, mais bien plutôt le personnage principal, K., le messager, le Lohengrin de la liberté - pour reprendre cette image -, qui semble être venu au village pour rompre le consensus et pénétrer dans le château. Au fil des négociations du roman, il devient de plus en plus clair que K. pourrait rester au village sous certaines conditions, notamment s'il acceptait ces dernières, c'est-à-dire celles qui sont imposées à un étranger toléré. Mais c'est diamétralement opposé à son but initial. K. ne veut pas devenir l'un des villageois - telle n'est pas là sa tâche ardue et implacable : il veut pénétrer dans le château. Le roman ne dit pas pourquoi il veut le faire, et c'est justement pour cela que c'est évident : c'est sans doute pour satisfaire le paradigme, pour briser la règle du monde. Comme je le dis, Kafka ne met jamais en doute la réalité objective du château ; rien n'indique que le château puisse être différent de ce que l'auteur décrit et nous donne à voir. Conclusion : Le Château n'est autre que l'image de la servitude consensuelle ; une image géniale qui dépasse son objet mais qui reste ce qu'elle est : une image de la servitude consensuelle. Tous les habitants de l'Europe de l'Est le savent parfaitement, et ils le taisent avec horreur, ils répètent après l'Occident (qui ne comprend pas le roman) que Le Château est un truc transcendant, tout en voyant avec effarement que c'est le reflet exact de la vie en Europe de l'Est, l'image de la servitude consensuelle.
- Journal de galère, Imre Kertész (trad. Natalia Zaremba-Huzsvai et Charles Zaremba), éd. Actes Sud, 2010 (ISBN 978-2-7427-9238-2), p. 53-55
Quand le corps et l'esprit sont parfaitement sains, il n'y a pas de vie spirituelle, dit Kafka. Sa capacité d'intériorisation incroyablement intense. Les mots et les comparaisons flambloyants dont il se sert pour créer une vie, une grande vie à partir des éléments apparemment les plus anodins. Son intelligence absolument incroyable. Il franchit tous les seuils, déchire tous les voiles, il marche, marche jusqu'à arriver - à lui-même. Quel fantastique raccourci ! Pourtant les détours, oui, seuls les détours constituent la vie : parce que le temps de la vie est celui des détours. Arriver au but - à soi - signifie mourir.
- Journal de galère, Imre Kertész (trad. Natalia Zaremba-Huzsvai et Charles Zaremba), éd. Actes Sud, 2010 (ISBN 978-2-7427-9238-2), p. 185
Kafka, suite. Etait-ce un martyr ou était-il simplement maladroit ? C'est un écrivain génial, mais il ne se fie pas à ce qu'il écrit. Il est conscient de sa valeur, mais d'une modestie dévastatrice. Les femmes l'adorent, mais il s'empêtre dans des amours malheureuses où, au lieu de satisfaction, il ne trouve qu'humiliation. Il apprécie la vie, on peut dire que c'est un hédoniste et pourtant il mène une existence d'ascète. De nature solitaire, il veut constamment se marier. Il fait de la gymnastique, s'adonne au jardinage pour entretenir sa santé, dort la fenêtre ouverte en hiver, pratique la marche à pied, la natation, mais contracte une maladie mortelle et meurt avant l'âge. - Destin émouvant. On pense à Goethe pour se consoler. Il a eu lui aussi sa part de malheur, mais il a "mieux exploité" sa souffrance. Peu importe. Le personnage de Kafka, peut-être même plus que son œuvre, nous tourmentera toujours, et je me demande si ce n'est pas là son véritable héritage.
- Sauvegarde Journal 2001-2003, Imre Kertész (trad. Natalia Zaremba-Huzsvai et Charles Zaremba), éd. Actes Sud, 2012 (ISBN 978-2-330-01082-9), p. 186
(voir aussi)
- L'Ultime Auberge, Imre Kertész (trad. Natalia Zaremba-Huzsvai et Charles Zaremba), éd. Actes Sud, 2015 (ISBN 978-2-330-03896-0), p. 107
- L'Ultime Auberge, Imre Kertész (trad. Natalia Zaremba-Huzsvai et Charles Zaremba), éd. Actes Sud, 2015 (ISBN 978-2-330-03896-0), p. 185
- L'Ultime Auberge, Imre Kertész (trad. Natalia Zaremba-Huzsvai et Charles Zaremba), éd. Actes Sud, 2015 (ISBN 978-2-330-03896-0), p. 240-241
Michael Kumpfmüller
écrit le roman du dernier amour de Kafka, à partir de juillet 1923, avec Dora Diamant
- La Splendeur de la vie (roman), Michael Kumpfmüller (trad. Bernard Kreiss), éd. Albin Michel, 2012 (ISBN 978-2-226-24519-9), p. 60-61
- La Splendeur de la vie (roman), Michael Kumpfmüller (trad. Bernard Kreiss), éd. Albin Michel, 2012 (ISBN 978-2-226-24519-9), p. 82-83
- La Splendeur de la vie (roman), Michael Kumpfmüller (trad. Bernard Kreiss), éd. Albin Michel, 2012 (ISBN 978-2-226-24519-9), p. 91
- La Splendeur de la vie (roman), Michael Kumpfmüller (trad. Bernard Kreiss), éd. Albin Michel, 2012 (ISBN 978-2-226-24519-9), p. 99