Emma
Apparence
Emma ou La Nouvelle Emma est un roman de l'écrivain anglophone Jane Austen. Il fut écrit en 1815.
Citations
[modifier]Nous autres valétudinaires, nous nous arrogeons des privilèges !
- (en) We invalids think we are privileged people.
- Emma (1815), Jane Austen (trad. Pierre de Puliga), éd. Journal des Débats, 1910, p. 8c1
Nous autres invalides nous sommes privilégiés.
- La Nouvelle Emma ou les caractères anglais du siècle (1815), Jane Austen (trad. anonyme), éd. Arthus Bertrand Libraire, 1816, p. 138
Nous autres valétudinairs nous nous arrogeons des privilèges !
- Emma (1815), Jane Austen (trad. P. et E. de Saint-Segond), éd. Christian Bourgeois (réed. Plon), 1979 (réed 1933), p. 35
Nous autres, invalides, nous estimons avoir droit à des privilèges.
- La Nouvelle Emma ou les caractères anglais du siècle (1815), Jane Austen (trad. Hélène Seyrès), éd. l’Archipel, 1996, p. 71
Emma Woodhouse, belle, intelligente, douée d’un heureux naturel, disposant de larges revenus, semblait réunir sur sa tête les meilleurs dons de l’existence ; elle allait atteindre sa vingt et unième année sans qu’une souffrance même légère l’eût effleurée.
- (en) Emma Woodhouse, handsome, clever, and rich, with a comfortable home and happy disposition, seemed to unite some of the best blessings of existence; and had lived nearly twenty-one years in the world with very little to distress or vex her.
- Emma (1815), Jane Austen (trad. Pierre de Puliga), éd. Journal des Débats, 1910, p. 1c1
Emma Woodhouse, belle, bien faite, riche, pleine d’heureuses dispositions, et dans une maison agréable, semblait réunir tout ce qui peut rendre l’existence heureuse. Elle avait déjà passé dans ce monde près de vingt et un ans, sans avoir non-seulement éprouvé de malheurs, mais même sans avoir eu presque aucun sujet de chagrin.
- La Nouvelle Emma ou les caractères anglais du siècle (1815), Jane Austen (trad. anonyme), éd. Arthus Bertrand Libraire, 1816, p. 1
Emma Woodhouse, belle, intelligente, riche, douée d'un heureux naturel, semblait réunir sur sa tête les meilleurs dons de l'existence ; elle allait atteindre sa vingtième année sans qu'une souffrance même légère l'eût effleurée.
- Emma (1815), Jane Austen (trad. P. et E. de Saint-Segond), éd. Christian Bourgeois (réed. Plon), 1979 (réed 1933), p. 7
Emma Woodhouse, belle, intelligente, riche, pleine d’heureuses dispositions et vivant dans une maison agréable, semblait réunir tout ce qui peut rendre l’existence heureuse. Elle avait déjà passé dans ce monde près de vingt et un ans, sans avoir éprouvé de malheurs, et même sans avoir presque connu de sujet de chagrin.
- La Nouvelle Emma ou les caractères anglais du siècle (1815), Jane Austen (trad. Hélène Seyrès), éd. l’Archipel, 1996, p. 15