Émile Flourens
Apparence
Émile Flourens, né à Paris le 27 avril 1841 et mort à Paris le 7 janvier 1920, est un homme politique français de la Troisième République.
Citations
[modifier]Mais la Franc-Maçonnerie Américaine est déiste et piétiste. Elle n'admet pas d'athées dans son sein. Elle ne veut pas seulement que l'humanité n'ait qu'un Gouvernement, qu'un Parlement et qu'une Cour de Justice, e!le veut aussi qu'elle ait une Église universelle qui sera une fédération de toutes les religions, comprenant essentiellement toutes les confessions chrétiennes et juives, n'excluant à proprement parler que le papisme et peut-être l'idolâtrie.
- Un fiasco maçonnique à l'aurore du vingtième siècle de l'ère chrétienne, Émile Flourens, éd. Imprimerie-librairie L. Croix, 1912, p. 33
- Citation choisie pour le 10 avril 2011.
Il est certain que, si la première Commission avait eu en mains les pouvoirs nécessaires pour briser la Constitution, ou abroger la législation des peuples qui s'opposaient à la réalisation de ses desseins, elle l'aurait fait. Obéissant à la Maçonnerie, elle aurait sournoisement étouffé la souveraineté des peuples et annihilé leur indépendance.
- Un fiasco maçonnique à l'aurore du vingtième siècle de l'ère chrétienne, Émile Flourens, éd. Imprimerie-librairie L. Croix, 1912, p. 55
Si vous constituez des pouvoirs internationaux, il faut les armer d'instruments efficaces contre la révolte. Il y aurait des Nations rebelles. La répression aurait donc à s'imposer. A qui incomberait-elle? Assurément à la nation la plus forte ou au concert des plus forts. Quel en serait au bout du compte le résultat ? Simplement de légaliser le domaine de la force, en le substituant à celui de l'équilibre des souverainetés. Et voici comment la paix à outrance, en croyant embrasser la justice au lieu de l'arbitrage, finirait par mettre la force à la place du droit.
- Citant José Vicente Barbosa du Bocage.
- Un fiasco maçonnique à l'aurore du vingtième siècle de l'ère chrétienne, José Vicente Barbosa du Bocage cité par Émile Flourens., éd. Imprimerie-librairie L. Croix, 1912, p. 39