Toni Brunner

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Toni Brunner, né le 23 août 1974 à Wattwil, est un homme politique suisse. Il est président de l'Union démocratique du centre depuis le 1er mars 2008, après avoir été président de la section saint-galloise du parti depuis septembre 1998.

Citations[modifier]

Si l'immigration se poursuit au même rythme qu'actuellement, nous ne pourrons pas éviter la construction de nouvelles centrales nucléaires.
  • « Combattre la surpopulation pour préserver la nature », Toni Brunner, 20 minutes (Suisse), 4 avril 2011, p. 6


Plusieurs conseillers fédéraux, ainsi que l'administration à Berne, tentent d'arrimer la Suisse par des liens de plus en plus étroits à l'Union européenne. Que ce soit dans le cadre de la crise de la dette en Europe ou par la voie institutionnelle, à travers une future reprise du droit européen, ou encore par le biais de la compétence des tribunaux ou de tentatives de lier les devises.


Le plus fou dans l'affaire Hildebrand est toutefois ce qui s'est passé autour. Différents médias ont, par des actions ciblées, fait de l'affaire Hildebrand une affaire Blocher/UDC. Un coup bas, qui visait à détourner l'attention des réels manquements. Le tout orchestré par une confrérie de magouilleurs désireux de se maintenir au pouvoir.


Le domaine de l'asile échappe désormais à tout contrôle et l'immigration en Suisse ne peut plus être maîtrisée. La pression extérieure sur notre indépendance et notre souveraineté, et donc en fin de compte sur notre prospérité, se renforce de jour en jour. On essaie de prendre quelque chose là où il y a encore quelque chose à prendre: chez nous, en Suisse.
  • « Le parlement a définitivement rompu la concordance », Toni Brunner, Franc-parler (journal), décembre 2011, p. 2


A l'UDC, nous nous en tenons aux bonnes vieilles valeurs suisses. Elles sont intemporelles et nous nous devons de les préserver. En effet, qu'est-ce qui caractérisait les anciens Confédérés? Ils sont restés soudés. Ils se sont prêté main-forte. Contre la perfidie de l'époque. Contre les juges étrangers. Pour la liberté et la responsabilité individuelle. Pour la Suisse!


Nous avons assisté durant les 25 ans écoulés à un bouleversement du paysage médiatique. Parallèlement au monopole

de la SSR dans le secteur national de la radio et de la télévision, la concentration se poursuit dans la presse écrite. Un petit nombre de grandes maisons d’édition domine les journaux et quotidiens du pays. Des monopoles régionaux peuvent devenir la règle. Conséquence de la collaboration rédactionnelle des maisons d’édition, le contenu et la forme s’uniformisent. Le résultat est qu’un petit nombre d’éditeurs ont la mainmise sur l’opinion publiée, disposant du même coup d’un pouvoir inquiétant. Ce qu’écrivent les publications de Tamedia, Ringier, NZZ, AZ Medien et Südostschweiz Mediengruppe influence la perception publique en Suisse. Ce qu’ils taisent n’est presque jamais perçu. Ce développement est inquiétant et même dangereux,

surtout quand ces maisons d’édition poursuivent des buts politiques.
  • « Pourquoi une édition spéciale UDC? », Toni Brunner, Franc-parler, éditions spéciale de l'Union Démocratique du Centre, novembre 2012, p. 1


Non seulement la liberté de la presse, mais aussi la libre expression des opinions sont menacées en Suisse. Celles et ceux qui se risquent à parler clairement s’exposent fréquemment à une poursuite pénale. La norme antiracisme, par exemple, est systématiquement usurpée par des particuliers et des avocats pour criminaliser des opinions qui leur déplaisent. Les ministères publics et les tribunaux n’ont manifestement pas le courage de stopper ces excès évidents.
  • « Pourquoi une édition spéciale UDC? », Toni Brunner, Franc-parler, éditions spéciale de l'Union Démocratique du Centre, novembre 2012, p. 1


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