Vingt Ans après
La trilogie des mousquetaires | |||
Vingt Ans après | |||
Les Trois Mousquetaires | Le Vicomte de Bragelonne |
Vingt Ans après est un roman de cape et d'épées d'Alexandre Dumas, qu'il publie à partir de 1845. Il s'agit de la suite des Trois Mousquetaires. L'histoire se déroule durant la Fronde et les intrigues entre puissants se jouent entre le cardinal Mazarin, Cromwell et Charles Ier. Par la suite, Dumas conclut la trilogie avec Le Vicomte de Bragelonne.
Citations
[modifier]- Vingt ans après (1846), Alexandre Dumas, éd. J.-B. Fellens et L.-P. Dufour, 1846, chap. 1, p. 2 (texte intégral sur Wikisource)
- Vingt ans après (1846), Alexandre Dumas, éd. J.-B. Fellens et L.-P. Dufour, 1846, chap. 1, p. 8 (texte intégral sur Wikisource)
- Comminges, au sujet de Mazarin.
- Vingt ans après (1846), Alexandre Dumas, éd. J.-B. Fellens et L.-P. Dufour, 1846, chap. 1, p. 11 (texte intégral sur Wikisource)
- En entrant à la Bastille, on cessait d’être un homme et l’on devenait un numéro.
- Vingt ans après (1846), Alexandre Dumas, éd. J.-B. Fellens et L.-P. Dufour, 1846, chap. 3, p. 16 (texte intégral sur Wikisource)
- Rochefort, à d'Artagnan.
- Vingt ans après (1846), Alexandre Dumas, éd. J.-B. Fellens et L.-P. Dufour, 1846, chap. 3, p. 19 (texte intégral sur Wikisource)
- Rochefort, à Mazarin.
- Vingt ans après (1846), Alexandre Dumas, éd. J.-B. Fellens et L.-P. Dufour, 1846, chap. 3, p. 21 (texte intégral sur Wikisource)
- Rochefort, au sujet de D'Artagnan.
- Vingt ans après (1846), Alexandre Dumas, éd. J.-B. Fellens et L.-P. Dufour, 1846, chap. 3, p. 22-23 (texte intégral sur Wikisource)
- Rochefort, au sujet des trois mousquetaires et de d'Artragnan.
- Vingt ans après (1846), Alexandre Dumas, éd. J.-B. Fellens et L.-P. Dufour, 1846, chap. 3, p. 23 (texte intégral sur Wikisource)
- Rochefort
- Vingt ans après (1846), Alexandre Dumas, éd. J.-B. Fellens et L.-P. Dufour, 1846, chap. 3, p. 24 (texte intégral sur Wikisource)
- Louis XIV enfant.
- Vingt ans après (1846), Alexandre Dumas, éd. J.-B. Fellens et L.-P. Dufour, 1846, chap. 3, p. 27 (texte intégral sur Wikisource)
- Vingt ans après (1846), Alexandre Dumas, éd. J.-B. Fellens et L.-P. Dufour, 1846, chap. 4, p. 31 (texte intégral sur Wikisource)
— Monseigneur, Pythagore faisait garder pendant cinq ans le silence à ses disciples pour leur apprendre à se taire.
— Et vous l’avez gardé vingt ans, monsieur. C’est quinze ans de plus qu’un philosophe pythagoricien, ce qui me semble raisonnable.
- D'Artagnan et Mazarin.
- Vingt ans après (1846), Alexandre Dumas, éd. J.-B. Fellens et L.-P. Dufour, 1846, chap. 5, p. 34 (texte intégral sur Wikisource)
- D'Artagnan
- Vingt ans après (1846), Alexandre Dumas, éd. J.-B. Fellens et L.-P. Dufour, 1846, chap. 5, p. 35 (texte intégral sur Wikisource)
- D'Artagnan
- Vingt ans après (1846), Alexandre Dumas, éd. J.-B. Fellens et L.-P. Dufour, 1846, chap. 5, p. 36 (texte intégral sur Wikisource)
- D'Artagnan
- Vingt ans après (1846), Alexandre Dumas, éd. J.-B. Fellens et L.-P. Dufour, 1846, chap. 5, p. 36 (texte intégral sur Wikisource)
– Et la bataille qu'elle représente ?
– Est celle de Marignan. C'est le moment où l'un de mes ancêtres donne son épée à François 1er, qui vient de briser la sienne. Ce fut à cette occasion qu'Enguerrand de la Fère, mon aïeul, fut fait chevalier de Saint-Michel. En outre, le roi, quinze ans plus tard, car il n'avait pas oublié qu'il avait combattu trois heures encore avec l'épée de son ami Enguerrand sans qu'elle se rompît, lui fit don de cette aiguière et d'une épée que vous avez peut-être vue autrefois chez moi, et qui est aussi un assez beau morceau d'orfèvrerie. C'était le temps des géants, dit Athos. Nous sommes des nains, nous autres, à côté de ces hommes-là.
- Vingt ans après (1845), Alexandre Dumas, éd. Gallimard, coll. « Folio classique », 2007 (ISBN 978-2-07-040478-0), p. 164
– Donc, signez, dit Aramis en lui présentant la plume.
Mazarin se leva, se promena quelques instants, plutôt rêveur qu'abattu. Puis s'arrêtant tout à coup :
– Et quand j'aurai signé, Messieurs, quelle sera ma garantie ?
– Ma parole d'honneur, Monsieur, dit Athos.
Mazarin tressaillit, se retourna vers le comte de La Fère, examina un instant ce visage noble et loyal, et prenant la plume :
– Cela me suffit, Monsieur le comte, dit-il.
Et il signa.
- Vingt ans après (1845), Alexandre Dumas, éd. Gallimard, coll. « Folio classique », 2007 (ISBN 978-2-07-040478-0), p. 874