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« GoldenEye » : différence entre les versions

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Version du 21 juillet 2008 à 14:23

GoldenEye (1995) est le dix-septième film d'espionnage de la série britannique James Bond et le premier où Pierce Brosnan y tient le rôle de l'agent fictif du MI6, James Bond.

Citations

(À un soldat russe, dans les toilettes)
Bond : Je vous demande pardon, j'ai oublié de frapper.

  • Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Bond : C'est trop facile.
Trevelyan : La chance est pour moitié dans ce que l'on fait, James.
Bond : Et c'est quoi l'autre moitié?
(L'alarme sonne)
Trevelyan : Le destin.

  • Pierce Brosnan et Sean Bean, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


(Les soldats russes débarquent dans la salle)
Trevelyan : Le pub va fermer, James. Dernier appel!
Bond : (sourit) Paie-moi une pinte!

  • Pierce Brosnan et Sean Bean, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Ouroumov : Ici le colonel Ouroumov! Sortez mains en l'air!
Bond : Très original...

  • Gottfried John et Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


(Une porte explose)
Bond : Ferme la porte Alec, le vent souffle!

  • Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


(Pris en otage, le pistolet d'Ouroumov sur la tête)
Trevelyan : Finit le travail, James! Pulvérise-moi tout ça!

  • Sean Bean, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


(Durant une évaluation de conduite, James Bond fait la course avec la Ferrari de Xenia)
Caroline : James, ça suffit, je n'aime pas ça! Je vois très bien votre petit jeu.
Bond : Vraiment ? Mais encore, très chère?
Caroline : Vous voulez m'éblouir par le calibre de votre... votre...
Bond : Ma cylindrée?
Caroline : Votre ego!
Bond : Nous faisons une agréable virée à la campagne et vous, vous collez plein de psychologie dans l'histoire.
Caroline : Et oui, mon cher, c'est qu'on m'a envoyée pour faire votre évaluation.
Bond : Jetez votre bonnet par dessus les moulins.

  • Pierce Brosnan et Izabella Scorupco, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


(Bond à fait la rencontre de Xenia)
Serveur : Monsieur ?
'Bond : Vodka-martini. Au shaker, pas à la cuillère. Et pour vous ?
Xenia : De même.
Bond : Vous avez un désir ?
Xenia : Sans chichis mais un peu corsé. (le serveur se retire) Merci monsieur... ?
Bond : Je m'appelle Bond. James Bond.
Xenia : Xenia Zirgavna Onatopp.
Bond : Vous avez dit top?
Xenia : Onatopp.

  • Famke Janssen et Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Xenia : Ravi de vous avoir connu, monsieur Bond.
Bond : Tout le plaisir, j'en suis sûr, a été pour moi.

  • Famke Janssen et Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Natalya : Quel est le mot de passe?
Boris : Cette fois il est facile. Même toi tu devrais pouvoir le casser, toi qui a du boch dans la caboche.

  • Izabella Scorupco et Alan Cumming, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Boris : Il n'y a personne au monde qui baise Boris Grishenko!

  • Alan Cumming, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


(Boris a piraté le site de la défense américaine et leur écrit un message)
Boris : « Bonne chance pour une prochaine fois, tas de nullard ! » Boum ! Envoyé ! Je suis bien l'invincible !

  • Alan Cumming, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


(Bond apprend que Moneypenny sort avec un "gentleman")
Bond : Ah, Moneypenny, vous me portez un coup fatal. Que vais-je devenir sans vous?
Moneypenny : Pour autant qu'il m'en souvienne, James, vous ne m'avez jamais possédée.

  • Pierce Brosnan et Samantha Bond, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Bill Tanner : Il semble que vous ayez vu juste, 007. C'est dommage que la reine de la nuit du chiffre vous ait fait obstacle. (M est derrière lui)
M : Vous disiez?
Bill Tanner : Ah? Non, rien, je... je faisais juste...
M : Bien. Parce que pour ce qui est des sarcasmes, monsieur Tanner, mes enfants me gâtent, alors je vous en prie.

  • Judi Dench et Michael Kitchen, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


M : Vous ne m'aimez pas Bond. Vous me prenez pour un brouillon, une petite guichetière plus intéressée par ses bilans que par votre flair.
Bond : L'idée m'est venue à l'esprit.
M : Bon; Moi je vous trouve sexiste, misogyne et dinosaure. Une relique de la guerre froide, dont le coté puéril et charmeur sans effet sur moi a beaucoup plu à cette jeune femme que j'ai chargée de vous évaluer.
Bond : Bien enregistré.
M : Ce n'est pas tout, 007. Si vous pensez, même brièvement, que je n'ai pas les couilles de faire mourir un agent, votre flair vous trompe du tout au tout. Je n'ai pas de scrupule s'il me faut vous envoyez à la mort, mais je n'agit pas par caprice. Même quand je vois votre attitude cavalière avec la vie.

  • Judi Dench et Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


(Bond rend visite à Q, qui a une jambe dans le plâtre)
Bond : Bonjour, Q, désolé pour votre membre. Accident de ski?
(La fausse jambe cache un lance roquette qui fait exploser une cible)
Q : Non, de chasse!

  • Pierce Brosnan et Desmond Llewelyn, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Q : Est-ce qu'il est nécessaire que je vous rappelle, 007, que vous avez l'autorisation de tuer, et non de prendre l'autoroute en sens inverse !

  • Desmond Llewelyn, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Q : Stylo-plume: c'est une grenade catégorie 4. Trois clics, vous amorcez quatre secondes de mèches. Encore trois clics, vous désamorcez.
Bond : Quelle longueur à cette fameuse mèche?
Q : Oh! Devenez un peu adulte, 007!
Bond : De mon temps la plume bien taillée c'était mieux que la pointe sèche.
Q : Grâce à moi, c'est toujours vrai.

  • Desmond Llewelyn et Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


(Bond examine un sandwich, le prenant pour un gadget)
Q : Ne touchez pas à ça!
(Il lui arrache le sandwich des mains)
Q : C'est mon déjeuner!

  • Desmond Llewelyn, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Bond : A Londres Avril est un mois printanier.
Wade : Ah ouais? Et vous qui êtes vous, Mr météo? Oh bon sang, encore un anglais qui a avalé un parapluie avec ses codes secrets et ses mots de passes. Un de ces jours va falloir apprendre à vous décoincer un peu.

  • Pierce Brosnan et Joe Don Baker, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Wade : Dites, Bond, il vous arrive de tondre le gazon?

  • Joe Don Baker, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Wade : Attendez Jimmy, que je vous comprenne bien. Vous lui avez tiré dans la jambe, vous avez volé sa voiture et séduit sa copine, et là vous voudriez que Valentin Zukovsky vous mettes en relation avec Janus? Par quelle méthode? En faisant appel à ses bons sentiments?
Bond : Non, à son portefeuille.
Wade : Ah, ça pourrait marcher.

  • Joe Don Baker et Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Wade : Vous êtes sûr que vous voulez faire tout ça? Le dernier qui lui a rendu visite sans être invité est reparti en avion-cargo dans plein de toutes petites boîtes.
Bond : (sourit) Veuillez à ce qu'on me rapatrie en première classe.

  • Joe Don Baker et Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


(Bond met en joue Valentin dans le dos)
Valentin : Walther PPK. 7.65mm. Trois hommes seulement usent de cette arme et il me semble avoir tué deux de ces types.
Bond : J'ai une de ces veines.
(Bond est à son tour mit en joue par un homme de main)
Valentin : J'en doute fort.

  • Robbie Coltrane et Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Bond : Je vois que vous êtes toujours capable de l'humour le plus fin, Valentin. Toujours les rieurs de votre coté... Qui étrangle le chat?
Valentin : On étrangle le chat? (Il se tourne vers la chanteuse de bar, comprend, et tire une balle sur le canapé où se trouve Bond) ça c'est Irrina, ma maîtresse!
Bond : Cette fille à toute les qualités.

  • Pierce Brosnan et Robbie Coltrane, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Xenia : Cette arme sera inutile, Commander.
Bond : Ça dépend par ce que vous entendez par "sexe sans risque".

  • Famke Janssen et Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Bond : Et bien, très franchement, j'ai passé une excellente soirée. Et toi?
Xenia : Une fois de plus, tout le plaisir à été pour toi.
Bond : Je doute que je te rappellerais.
Xenia : Ça m'empêchera pas de dormir.
(Bond l'assomme)
Bond : Fais de beaux rêves...

  • Pierce Brosnan et Famke Janssen, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Bond : C'est la mission que le pays nous avait confié.
Trevelyan : J'étais sûr que tu dirais ça! James Bond. Le fidèle toutou de sa majesté, le défenseur de la prétendue foi!

  • Pierce Brosnan et Sean Bean, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


(S'est échappé in extrémis de l'hélicoptère qui vient d'exploser)
Bond : Qu'est-ce qu'il ne faut pas faire pour avoir des heures de vol gratuites!

  • Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Mishkin : Par quel moyen allons-nous vous exécuter, Commander Bond?
Bond : Quoi, sans papotage? Sans "cancan"? Voilà bien le mal du monde moderne, plus personne ne prend le temps de mener un interrogatoire au troisième degré. C'est un art qui s'éteint.

  • Tchéky Karyo et Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Trevelyan : Alors, quel est ton choix, James? Deux objectifs et le temps de tirer une balle, c'est tout. La fille, ou la mission?

  • Sean Bean, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Natalya : Et bien agitez-vous! Sortez-nous de là!
Bond : (étonné) Oui, chef.

  • Izabella Scorupco et Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Trevelyan : Je te souhaite bonne chance, James. J'ai réglé le détonateur sur six minutes. Les mêmes six minutes que toi tu m'avais accordé. Je me devais de faire ça pour un ami. (rire)
Natalya : Qu'est-ce que ça veut dire?
Bond : Il nous reste trois minutes.

  • Sean Bean, Izabella Scorupco et Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Natalya : Vous détruisez toujours tous les véhicules que vous utilisez?
Bond : Le règlement m'impose cette procédure.

  • Izabella Scorupco et Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


(Un avion atterrit juste devant leur voiture durant leur escapade romantique)
Natalya : Les voitures, les avions, dès que ça bouge tu fantasme, toi!

  • Izabella Scorupco, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Natalya : C'était ton ami, ce Trevelyan, maintenant c'est ton ennemi et tu va le tuer. C'est aussi simple que ça?
Bond : En un mot, oui.

  • Izabella Scorupco et Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Natalya : Comment peut-tu agir comme ça, toujours si froid, si détaché?
Bond : C'est ça qui me maintient en vie.
Natalya : Non. Ça t'enferme dans la solitude.

  • Izabella Scorupco et Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


(Après avoir tué Xenia, coincée sur un arbre)
Bond : C'est le genre de fille qui adore s'envoyer en l'air.

  • Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Trevelyan : James! Quelle mauvaise surprise!

  • Sean Bean, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


Trevelyan : Je pourrais te demander si tous tes Vodka-Martini étouffent les cris des hommes que toi tu as tué. Ou si tu parvient à te faire pardonner dans les bras de femmes consentantes la mort de toutes celles que tu n'a pas su protéger.

  • Sean Bean, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


(Bond maintient Trevelyan par un pied au dessus du vide)
Trevelyan : Pour l'Angleterre, James?
Bond : Non. Pour moi.
(Bond lâche sa prise)

  • Sean Bean et Pierce Brosnan, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


(Après l'explosion de la base, Boris est toujours en vie)
Boris : Ouais! Je suis bien l'invincible!
(Aussitôt des cuves d'azote liquide explosent et le congèlent)

  • Alan Cumming, GoldenEye (20 décembre 1995), écrit par Martin Campbell


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