Arnaques, Crimes et Botanique
Arnaques, Crimes et Botanique (Lock, Stock and Two Smoking Barrels) est un film britannique réalisé par Guy Ritchie, sorti le .
Citations extraites du film
[modifier]Bacon
[modifier]- (en) Anyone like jewelery? Look at that one there. Handmade in Italy, handstolen in Stepney. It's as long as my arm, I wish it was as long as something else. Don't think 'cause these boxes are sealed up, they're empty. The only man who sells empty boxes is the undertaker.
- Jason Statham, Arnaques, Crimes et Botanique (1998), écrit par Guy Ritchie
- (en) Treat the wife, treat somebody else's wife. It's more fun if you don't get caught.
- Jason Statham, Arnaques, Crimes et Botanique (1998), écrit par Guy Ritchie
Eddie
[modifier]- (en) The entire British Empire was built on cups of tea. […] And if you think I'm going to war without one, mate, you're mistaken.
- Nick Moran, Arnaques, Crimes et Botanique (1998), écrit par Guy Ritchie
Soap
[modifier]- (en) Also, I think knives are a good idea. Big, fuck-off shiny ones. Ones that look like they could skin a crocodile. Knives are good because they don't make any noise, and the less noise they make, the more likely we are to use them. Shit 'em right up. Makes it look like we're serious. Guns for show, knives for a pro.
- Dexter Fletcher, Arnaques, Crimes et Botanique (1998), écrit par Guy Ritchie
Rory le Casseur
[modifier]- Vas Blackwood, Arnaques, Crimes et Botanique (1998), écrit par Guy Ritchie
Narrateur
[modifier]- (en) Ed has been playing cards since he could lift them up. And he soon discovered that he had a big advantage. It's not that he's good with cards, or even good at counting them. It's that he's good with reading people's reactions, no matter how subtle. And everybody has reactions. [pause] Especially when it comes to money.
- Alan Ford, Arnaques, Crimes et Botanique (1998), écrit par Guy Ritchie
Dialogues
[modifier]Nick le Grec : Voilà cent billets.
Eddie et Tom (en voyant l'épaisseur de la liasse de billets qu'il vient de sortir) : Putain de merde !
Eddie : Y a de quoi étouffer un régiment de connards. Et pour cent livres, t'es là à chipoter. Qu'est-ce que tu fais quand t'achètes pas de chaîne stéréo, tu finances des révolutions ?
Nick le Grec : Quoi qu'il en soit, cent livres c'est toujours bon à prendre.
Tom : Pas quand le prix est de deux cents livres, mon vieux, et qu'on a dans la fouille de quoi couvrir le déficit annuel du Liberia.
- Stephen Marcus, Nick Moran et Jason Flemyng, Arnaques, Crimes et Botanique (1998), écrit par Guy Ritchie
Winston : La prochaine fois que tu achètes ta saloperie d'engrais, tâche d'y mettre un peu de discrétion !
Willie : Qu'est-ce que tu veux dire ?
Winston : Ici, on fait pousser en abondance la marijuana, d'accord ?
Willie : Ouais.
Winston : Et tu trimbales un sac d'engrais et une gamine en pleine défonce ! Je dois te dire que tu n'as pas vraiment la gueule du paysan horticulteur ! Voilà ce que je veux te dire, Willie !
- (en)
Winston : If you do have to buy sodding fertiliser, could you be a little more subtle?
Willie : What do you mean?
Winston : We grow copious amounts of ganja, yeah?
Willie : Yeah.
Winston : And you're carrying a wasted girl and a bag of fertiliser. You don't look your average horti-fucking-culturist. That's what I mean, Willie.
- Steven Mackintosh et Charles Forbes, Arnaques, Crimes et Botanique (1998), écrit par Guy Ritchie
Harry Lonsdale : Je suppose que tu es Eddie, le fils de JD.
Eddie : Et je suppose que tu dois être Harry. Désolé, j'ai pas connu ton père.
Harry Lonsdale : Ça va peut-être s'arranger. Continues comme ça et il se pourrait que tu tardes pas à le rejoindre.
- (en)
Harry Lonsdale : You must be Eddie, JD's son.
Eddie : You must be Harry. Sorry, didn't know your father.
Harry Lonsdale : Never mind, son, you just might meet him if you carry on like that.
- P.H. Moriarty et Nick Moran, Arnaques, Crimes et Botanique (1998), écrit par Guy Ritchie
Tom : Bon, écoutez-moi bien. Vous ouvrez une nouvelle boîte. Vous l'appelez le fan-club des pédés broutte-culs. Vous vous payez une page de pub dans un magazine gay qui fait l'article sur le dernier godemichet pour trous du cul. Vous écrivez par exemple, je sais pas « ce qu'un autre godemichet n'a pas pu faire jusqu'ici, le dernier cri en matière de technologie sexuelle, satisfait ou remboursé », enfin vous voyez le baratin quoi. Ces godes, ils vont se vendre vingt-cinq livres la pièce. Ça revient pas cher la dose de plaisir qu'ils vont donner à l'acheteur. Mais il faut envoyer son chèque au nom d'une autre boîte, comme par exemple, je sais pas moi, Bobby par exemple, pour un montant de vingt-cinq livres. Vous foutez le chèque de vingt-cinq livres à la banque le temps de le toucher. L'astuce, je vous l'explique. Vous renvoyez le chèque de vingt-cinq livres, mais pas de la part de Bobby, celui-là c'est de la part de l'autre boîte et avec une lettre du fan-club des broutte-culs précisant « on est désolés, on a pas été livrés par le fournisseur américain parce qu'il y a eu rupture de stock ». À votre avis, combien de mecs vont encaisser ce chèque ? Je dis qu'il n'y en aura aucun parce que qui voudra que sa banque puisse savoir qu'elle a un client qui paie pour brouter les culs ?
Bacon : Faudra combien de temps pour qu'on fasse du bénef ?
Tom : Je dirais, pas plus de quatre semaines.
Bacon : Un mois ! Est-ce que je peux te rappeler que le fric, il faut qu'on l'ait dans six… non, dans cinq jours.
Tom : Ben, ça reste une bonne idée.
- Jason Flemyng et Jason Statham, Arnaques, Crimes et Botanique (1998), écrit par Guy Ritchie
Soap : Armés ? Mais comment ça armés ? Leurs armes c'est quoi ?
Eddie : Mauvaise haleine, argot pittoresque, quelques balayettes… Qu'est-ce que tu crois qu'ils ont comme armes ? Des flingues, pauvre connard !
Soap : Des flingues ! Tu avais encore jamais parlé de flingues. Ton plan soi-disant sans le moindre risque, il s'annonce plutôt comme une mauvaise journée en Bosnie.
- Dexter Fletcher et Nick Moran, Arnaques, Crimes et Botanique (1998), écrit par Guy Ritchie
Bacon : On a touché le jackpot, les gars. On a je ne sais combien de tonnes de cette putain d'herbe et un énorme paquet de fric… et un contractuel !
Eddie : Quoi ?
Tom : Putain de merde, c'est vrai, on a un contractuel !
Bacon : Il a l'air encore vivant, sauf que dis-donc, le mec il pisse le raisinet. Qu'est-ce qu'ils foutaient avec un contractuel ?
Eddie : J'en sais rien mais on a pas besoin de lui. Assomme-le, et au feu, balance-le.
Bacon : Assomme-le, comment ça assomme-le ? Avec quoi je l'assomme ?
Eddie : J'en sais rien, sers-toi un peu de ta tête !
(Bacon donne un coup de poing au contractuel)
Tom : Le caresse pas, Bacon, assomme-le !
Bacon : Tu la fermes, Tom ! C'est toi que je vais assommer. Tu veux qu'on assomme le mec, alors assomme-le toi-même.
Eddie : Les contractuels, moi ça me fait chier.
(Eddie et Tom échangent un regard et se jettent sur le contractuel)
- Jason Statham, Nick Moran et Jason Flemyng, Arnaques, Crimes et Botanique (1998), écrit par Guy Ritchie