Aller au contenu

Paul Féval

Une page de Wikiquote, le recueil des citations libres.
Version datée du 24 novembre 2021 à 14:25 par 2a01:cb08:8a00:e500:adac:4bae:737f:c8cf (discussion) (Le Bossu, 1857)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Ne doit pas être confondu avec Paul Féval fils. 

Carte postale François Château montrant Paul Féval. XIXe siècle. Archives de Rennes (France).

Paul Féval est un écrivain français né le 29 septembre 1816 à Rennes1 et mort le 7 mars 1887 à Paris 7e. Son œuvre prolifique, composée de plus de 70 romans populaires édités en feuilleton et de près de 70 nouvelles en plus d' « au moins une trentaine de pièces de théâtre, d’études historiques, de brochures chrétiennes, de pamphlets »2, eut un succès considérable de son vivant, égalant celles d’Honoré de Balzac et d’Alexandre Dumas. Il est le père de Paul Féval fils, également écrivain.

Citations

[modifier]

Le Bossu, 1857

[modifier]
Il y avait autrefois une ville en ce lieu, la cité de Lorre, avec des temples païens, des amphithéâtres et un capitole. Maintenant, c’est un val désert où la charrue paresseuse du cultivateur gascon semble avoir peur d’émousser son fer contre le marbre des colonnes enfouies.
  • Première phrase du roman.
  • Le Gros Bossu, Paul Féval, éd. A. Dürr, 1857, première partie, chapitre premier, p. 5


Je vois, dit Cocardasse, dont le regard fit le tour du cercle, que vous n’avez jamais entendu parler de la botte de Nevers.
  • Cocardasse.
  • Le Bossu, Paul Féval, éd. A. Dürr, 1857, première partie, chapitre 2, p. 45


Il n’y a pas deux Lagardère !
  • Cocardasse.
  • Le Bossu, Paul Féval, éd. A. Dürr, 1857, première partie, chapitre 2, p. 47


Toi ! c’est toi ! murmura Nevers expirant ; toi, Gonzague ! toi, mon ami, pour qui j’aurais donné cent fois ma vie ! — Je ne la prends qu’une fois, répondit froidement l’homme au masque.
  • Le Bossu, Paul Féval, éd. A. Dürr, 1857, première partie, chapitre 8, p. 120


Oui, s’écria-t-il, voici la fille de Nevers !… Viens donc la chercher derrière mon épée, assassin ! toi qui as commandé le meurtre, toi qui l’as achevé lâchement par-derrière !… Qui que tu sois, ta main gardera ma marque. Je te reconnaîtrai. Et, quand il sera temps, si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère ira à toi !
  • Serment du chevalier de Lagardère lancé à l'assassin du duc de Nevers, qu'il a blessé à la main.
  • Le Bossu, Paul Féval, éd. A. Dürr, 1857, première partie, chapitre 8, p. 162


Liens externes

[modifier]

Vous pouvez également consulter les articles suivants sur les autres projets Wikimédia :