Mark Rothko

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Citations[modifier]

La réalité de l’artiste[modifier]

Écrits sur l’art[modifier]

La peinture est un langage aussi naturel que le chant ou la parole. C’est une méthode pour forger une trace visible de notre expérience, visuelle ou imaginaire, colorée par nos propres sentiments et réactions, et indiquée avec la même simplicité et la même spontanéité que chanter ou parler.
  • Écrits sur l’art, 1934-1969, Mark Rothko (trad. Claude Bondy), éd. Flammarion, 2009  (ISBN 978-2-0812-1897-0), p. 26


Je me dispute avec l’art surréaliste et abstrait comme on se dispute avec son père et sa mère, en reconnaissant le caractère inévitable et la fonction de mes racines, mais en insistant sur ma dissension : moi étant à la fois eux et un entier complètement indépendant d’eux.
  • Écrits sur l’art, 1934-1969, Mark Rothko (trad. Claude Bondy), éd. Flammarion, 2009  (ISBN 978-2-0812-1897-0), p. 89


Citations sur[modifier]

Le 25 février 1970, à l’aube Mark Rothko se tranche les veines dans son atelier. Ce geste surprend à peine tant il ressemble à celui qui se produisait chaque jour en ce lieu depuis plus de vingt ans, le geste de peindre. Simplement, cette fois-ci, Rothko s’en est pris à son propre corps et non à la toile. Ou bien il ne lui a plus été possible de distinguer son corps de la toile tant ils sont devenus intimes. Et il a changé d’outil…