Chemin de fer
Littérature[modifier]
Prose poétique[modifier]
Francis Picabia, Histoire de voir, 1922[modifier]
Mon cœur aboie et bat, mon sang est un chemin de fer sans gare qui mène à Barcelone. Mon corps est un bocal d'excellent opium qui sert à charmer mes loisirs.
- « Histoire de voir », Francis Picabia, Littérature Nouvelle Série, nº 6, Novembre 1922, p. 17
André Breton, Poisson soluble, 1924[modifier]
Madame de Rosen dormait toujours et ses boucles lilas sur l'oreiller, dans la direction de Romainville, n'étaient plus que des fumées de chemin de fer lointaines.
- Poisson soluble (1924), André Breton, éd. Gallimard, coll. « Poésie », 1996 (ISBN 2-07-032917-8), partie 5, p. 41