Robin Cook

Une page de Wikiquote, le recueil des citations libres.

Robin Cook est un écrivain britannique né le 12 juin 1931 à Londres et décédé dans la même ville le 30 juillet 1994.

La Rue obscène, 1971[modifier]

Ce qui importe, c'est d'observer, d'exister, et d'exploiter les situations concrètes telles qu'elles se présentent.
  • La Rue obscène, Robin Cook (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1994, p. 101


La vérité, c'est qu'un individu n'a pas une minute à consacrer à un autre individu qui ne lui est pas plus ou moins proche - à moins, par exemple, qu'il ne se serve de lui ou soit utilisé par lui.
  • La Rue obscène, Robin Cook (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1994, p. 101


Une femme fait de toute maison un perpétuel été.
  • La Rue obscène, Robin Cook (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1994, p. 214


C'est une bizarrerie de l'espèce humaine, je crois, que nous ayons tous tellement envie d'être aimés sans nous demander si nous le méritons ou non.
  • La Rue obscène, Robin Cook (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1994, p. 237


Il est mort les yeux ouverts, 1983[modifier]

J'ai découvert trop tard que si on met les gens à nu jusqu'à la vérité, on ne leur laisse aucune chance de survivre.
  • Il est mort les yeux ouverts, Robin Cook (trad. Jean-Bernard Piat), éd. Gallimard, 1983, p. 49


La vérité se moque bien des manières de salon.
  • Il est mort les yeux ouvert, Robin Cook (trad. Jean-Bernard Piat), éd. Gallimard, 1983, p. 58


L'existence est absolument aveugle — ni pour vous ni contre vous.
  • Il est mort les yeux ouverts, Robin Cook (trad. Jean-Bernard Piat), éd. Gallimard, 1983, p. 108


Il y a toujours quelqu'un qui ment.
  • Il est mort les yeux ouverts, Robin Cook (trad. Jean-Bernard Piat), éd. Gallimard, 1983, p. 161


Celui qui conçoit l'écriture comme un agréable passe-temps permettant d'accéder à un mode de vie bourgeois n'écrira jamais que de la merde.
  • Il est mort les yeux ouverts, Robin Cook (trad. Jean-Bernard Piat), éd. Gallimard, 1983, p. 183


Les gens amoureux cherchent toujours à savoir.
  • Il est mort les yeux ouverts, Robin Cook (trad. Jean-Bernard Piat), éd. Gallimard, 1983, p. 229


Les mois d'avril sont meurtriers, 1984[modifier]

Les gens ne se soucient plus les uns des autres comme autrefois.
  • Les mois d'avril sont meurtriers, Robin Cook (trad. Jean-Bernard Piat), éd. Gallimard, 1984, p. 65


Les cendres de la civilisation peuvent encore s'enflammer.
  • Les mois d'avril sont meurtriers, Robin Cook (trad. Jean-Bernard Piat), éd. Gallimard, 1984, p. 182


L'esprit doit dominer la matière. Non. Pas même pour aller aux toilettes.
  • Les mois d'avril sont meurtriers, Robin Cook (trad. Jean-Bernard Piat), éd. Gallimard, 1984, p. 218


Les assassins sont comme les militaires : ennuyeux et dangereux en même temps.
  • Les mois d'avril sont meurtriers, Robin Cook (trad. Jean-Bernard Piat), éd. Gallimard, 1984, p. 234


L'enfer reste allumé en permanence.
  • Les mois d'avril sont meurtriers, Robin Cook (trad. Jean-Bernard Piat), éd. Gallimard, 1984, p. 235


J'étais Dora Suarez, 1990[modifier]

Un homme qui est déjà mort n'hésite pas à tuer.
  • J'étais Dora Suarez, Robin Cook (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 42


Nous avons tous nos moments de faiblesse.
  • J'étais Dora Suarez, Robin Cook (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 51


Quand un type te sort tout un baratin, c'est qu'il ment. Quand il se tait, c'est qu'il sait quelque chose.
  • J'étais Dora Suarez, Robin Cook (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 146


Les médiocres savent toujours quand il vaut mieux s'écraser.
  • J'étais Dora Suarez, Robin Cook (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 189


Mettez l'horreur à nu ; affrontez-la telle quelle.
  • J'étais Dora Suarez, Robin Cook (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 223


La douleur est infligée par des gens qui n'ont aucune idée de ce qu'elle représente pour les autres, parce qu'ils se l'infligent à eux-mêmes volontairement.
  • J'étais Dora Suarez, Robin Cook (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 241


Si vous voulez affronter le mal, vous devez vivre avec lui et le connaître.
  • J'étais Dora Suarez, Robin Cook (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 251


Quand se lève le brouillard rouge, 1994[modifier]

Ce que les gens voient dépend de ce qu'ils sont.
  • Quand se lève le brouillard rouge, Robin Cook (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages noir, 1995, p. 59


La douleur n'est jamais très loin après le plaisir.
  • Quand se lève le brouillard rouge, Robin Cook (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages noir, 1995, p. 92


Nous vivons dans un monde cauchemardesque de trahison et de tromperie.
  • Quand se lève le brouillard rouge, Robin Cook (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages noir, 1995, p. 113


La joie la plus douce est celle qui se refuse à vous.
  • Quand se lève le brouillard rouge, Robin Cook (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages noir, 1995, p. 134


Seule une femme amoureuse peut transformer une insulte en invitation.
  • Quand se lève le brouillard rouge, Robin Cook (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages noir, 1995, p. 135


Je leur dirai que ce qui est faux est vrai, seulement, j'ai d'abord besoin de savoir ce qui est vrai.
  • Quand se lève le brouillard rouge, Robin Cook (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages noir, 1995, p. 301