Joseph-Marie Lo Duca

Une page de Wikiquote, le recueil des citations libres.

Joseph-Marie Lo Duca est un écrivain et un critique de cinéma franco-italien né le 18 novembre 1910 à Milan et mort le 6 août 2004 à Samois-sur-Seine, près de Fontainebleau, où il vécut les dernières années de sa vie. Il est l'un des fondateurs des Cahiers du cinéma.

Le Huitième Sceau, 1968[modifier]

Sauf dans les arts, le génie n'a pas d'apparence visible.
  • Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 30


Le monde est et sera toujours un feu vivant, s'embrasant et s'éteignant.
  • Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 34


On se lasse de tout, excepté de comprendre.
  • Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 50


Le droit primordial de la nature est de survivre…
  • Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 189


La vocation des caresses est plus répandue que la vocation du bûcher.
  • Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 201


Nous sommes tous mortels, ce qui prouve au moins que notre mort ne consacre aucunement ce qu'il nous est arrivé de faire.
  • Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 249


L'envoûtement vient du temps brisé et non des merveilles qui se révèlent à nous.
  • Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 251


C'est en effet un détail essentiel : peu importe comment du rêve on est passé à la réalité. La réalité n'en existe pas moins.
  • Le Huitième Sceau, J.-M. Lo Duca, éd. Jean-Jacques Pauvert, 1968, p. 256


Vous pouvez également consulter les articles suivants sur les autres projets Wikimédia :