Barry Gifford

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Barry Gifford (2010).

Barry Gifford est un écrivain, romancier, poète et scénariste américain, né le 18 octobre 1946 à Chicago (Illinois).

Port Tropique, 1980[modifier]

C'est toujours une chose que d'apprendre l'existence de mondes différents du vôtre.
  • Port Tropique, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 1989, p. 27


Parfois une bonne perspective se dessine plus facilement vue de loin.
  • Port Tropique, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 1989, p. 59


Un écrivain est toujours à chercher une excuse pour ne rien faire.
  • Port Tropique, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 1989, p. 71


Les écrivains travaillent tout le temps.
  • Port Tropique, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 1989, p. 87


Une ancienne femme ou compagne qui demeure votre amie peut être souvent la meilleure sorte d'amie qui soit.
  • Port Tropique, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 1989, p. 157


Sinaloa story, 1998[modifier]

Tout ce que vous pourrez faire pour n'importe qui ne sera jamais suffisant.
  • Sinaloa story, Barry Gifford (trad. Laetitia Devaux), éd. Gallimard, 2002, p. 141


La terre ne va pas s'arrêter de tourner à cause de nous.
  • Sinaloa story, Barry Gifford (trad. Laetitia Devaux), éd. Gallimard, 2002, p. 193


La cruauté commence et prend fin en soi.
  • Sinaloa Story, Barry Gifford (trad. Laetitia Devaux), éd. Gallimard, 2002, p. 194


Sailor et Lula, 1990[modifier]

Dans ce monde, toutes les choses intéressantes viennent de gens qui ont des idées bizarres.
  • Sailor et Lula, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 1991, p. 113


Les rêves sont pas plus étranges que la vie réelle.
  • Sailor et Lula, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 1991, p. 120


Personne n'a l'exclusivité des embêtements.
  • Sailor et Lula, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 1991, p. 171


Vient le moment ou il faut laisser faire.
  • Sailor et Lula, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 191, p. 185


Perdita Durango, 1991[modifier]

Souvent, pour parvenir à des découvertes, il est nécessaire d'aller à l'encontre des croyances populaires.
  • Perdita Durango, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 25


Il y a trop d'horreurs sur cette terre, puisqu'elle grouille de goules sans âme.
  • Perdita Durango, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 162


À trois, on peut garder un secret si les deux premiers sont morts.
  • Perdita Durango, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 205


La violence d'homme à homme n'est jamais aussi effroyable que le massacre anonyme et systématique.
  • Perdita Durango, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 233


La trahison n'est que l'une des ressources de l'ingéniosité.
  • Perdita Durango, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 252


La religion organisée est une indécence.
  • Perdita Durango, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 260


Jour de chance pour Sailor, 1991[modifier]

Les gens essaient tout le temps de trouver des horreurs à raconter sur les autres.
  • Jour de chance pour Sailor, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1992, p. 38


Il y a des choses qui doivent être comme elles sont.
  • Jour de chance pour Sailor, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1992, p. 56


Le monde est encore gouverné par les armes.
  • Jour de chance pour Sailor, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1992, p. 124


Il y a toujours des serpents dans la forêt.
  • Jour de chance pour Sailor, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1992, p. 149


Chaque famille a ses tueurs.
  • Jour de chance pour Sailor, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1992, p. 162


Les gens désespérés font toutes sortes de choses incroyables.
  • Jour de chance pour Sailor, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1992, p. 197


Rude journée pour l'homme léopard, 1991[modifier]

Il n'y a pas bête plus féroce que le temps qui passe.
  • Rude journée pour l'homme léopard, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1993, p. 19


C'est quand même étonnant de constater qu'on ne peut pas faire grand-chose pour changer son destin.
  • Rude journée pour l'homme léopard, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1993, p. 26


La mort et la destruction sont jamais plus loin que la bouche qu'on veut embrasser.
  • Rude journée pour l'homme léopard, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1993, p. 36


Toutes les sectes se valent.
  • Rude journée pour l'homme léopard, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1993, p. 72


Le ridicule est la malédiction du génie.
  • Rude journée pour l'homme léopard, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1993, p. 121


Un homme seul est la quintessence du conflit.
  • Rude journée pour l'homme léopard, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1993, p. 134


Tout le monde est prisonnier d'une façon ou d'une autre.
  • Rude journée pour l'homme léopard, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1993, p. 168


L'Imagination du cœur , 2007[modifier]

On ne peut pas supposer quand il s'agit de religion.
  • L'Imagination du cœur, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 2009, p. 60


Les acteurs sont de grands enfants.
  • L'Imagination du cœur, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 2009, p. 122