Rome (série)

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Rome est une série télévisée américano-britannique-italienne en 22 épisodes de 52 minutes, créée par John Milius, Williwam J. MacDonald et Bruno Heller. Elle raconte l'histoire des dernières années de la République romaine, ainsi que celle de deux légionnaires pris dans ces événements.

Saison 1[modifier]

Épisode 1: Le Vol de l'aigle[modifier]

Scipion : La liesse plébéienne est une vraie cacophonie.
Caton : C'est de la musique. Quand César les exhortera à demander notre peau, là ce sera une cacophonie.

  • Paul Jesson, Karl Johnson, Rome, saison 1, Le Vol de l'aigle, écrit par Bruno Heller.


Titus Pullo : Si je suis déjà mort, centurion, tu devrais me témoigner du respect. Je n'ai plus grand chose à perdre. Qu'est-ce qui m'empêche de te découper en rondelles et de m'enfuir ? Qu'est-ce qui m'en empêcherait ?
Lucius Vorenus : Si ton honneur de soldat de la Treizième ne suffit pas, ce sera ma supériorité au combat.


Atia : Ton mari a les larmes aux yeux, quelle honte.
Octavia : Il m'aime !
Atia : Un mari efféminé, ça ne sert à rien.


Épisode 2: Une république fragile[modifier]

Marc Antoine : César a bien plus de légions, il n'y a pas que la Treizième.
Scipion : Mais elles sont de l'autre côté des Alpes.
Marc Antoine : Ça ne sera pas toujours l'hiver, le printemps va venir. Au printemps, la neige fond.
Scipion : C'est une menace ?
Marc Antoine: Non, ce n'est pas une menace. La neige finit toujours par fondre.

  • James Purefoy, Paul Jesson, Rome, saison 1, Une république fragile, écrit par Bruno Heller.


Épisode 3: Le Venin de Cerbère[modifier]

Jules César : Qu'est-ce qui rend ton légionnaire Vorenus si morose ?
Marc Antoine : C'est son côté catonien. Il pense que nous commettons un terrible crime, un véritable sacrilège, et que nous serons sévèrement punis par les dieux.
Jules César : Il a peut-être raison.
Marc Antoine : Ce sera un crime si nous perdons, pas si nous sommes victorieux.

  • Ciarán Hinds, James Purefoy, Rome, saison 1, Le Venin de Cerbère, écrit par Bruno Heller.


Titus Pullo : Qu'est-ce que c'est une étoile ?
Lucius Vorenus : Une étoile ? Un trou dans la sphère céleste, un trou à travers lequel brille la lumière des cieux.
Titus Pullo : Des trous gros comment ?
Lucius Vorenus : De gros trous. Ils nous semblent minuscules parce que nous les voyons de très loin.
Titus Pullo : Assez gros pour qu'un homme y passe ?
Lucius Vorenus : Oui, je suppose. Mais jamais un homme ne sera capable d'aller jusque là-haut.
Titus Pullo : Ah non ? Pourquoi pas ?
Lucius Vorenus : Et comment ?
Titus Pullo : Ben, je sais pas. En s'accrochant à un énorme oiseau.
Lucius Vorenus : Ça ne sera jamais qu'un rêve.
Titus Pullo : Et pourquoi ?
Lucius Vorenus: C'est philosophique, ça ne s'explique pas.

  • Ray Stevenson, Kevin McKidd, Rome, saison 1, Le Venin de Cerbère, écrit par Bruno Heller.


Épisode 5: Jeux de dupes[modifier]

Caton : Nous ne sommes pas des hommes, nous sommes des vers de terre.
Cicéron : Le terme est un peu fort, aucun ver de terre ne fuirait aussi vite que nous.

  • Karl Johnson, David Bamber, Rome, saison 1, Jeux de dupes, écrit par Bruno Heller.


Octave : Au mieux, je ne serais qu'un combattant moyen.
Titus Pullo : Bon, c'est mieux que rien.
Octave : Ne crois pas ça, les cimetières regorgent de combattants moyens. Mieux vaut ne rien y entendre du tout qu'être seulement moyen.

  • Max Pirkis, Ray Stevenson, Rome, saison 1, Jeux de dupes, écrit par Bruno Heller.


Épisode 6: Octave devient un homme[modifier]

Atia (au sujet d'Octave) : C'est un petit homme maintenant.
Octavia : Pour être un homme, les jeux de glaive ne suffisent pas.
Atia : Octave, chéri, tu as pénétré quelqu'un déjà ? [...] Quoi d'autre ?
Octavia : Arrange-toi pour lui faire tuer quelqu'un, pourquoi pas.
Atia : Ça viendra bien un jour ou l'autre. Nous, les Julii, nous ne manquons pas d'ennemis.

  • Polly Walker, Kerry Condon, Rome, saison 1, Octave devient un homme, écrit par John Milius et Bruno Heller.


Épisode 7: Vaincre ou mourir[modifier]

Posca : Parce que tu acceptes de te battre ?
Jules César : Bien sûr. Pourquoi pas ?
Posca : Mais parce que nous sommes à un contre trois à pied et à un contre cinq en cavaliers, et que les hommes valides qui nous restent sont affamés, terrorisés et épuisés.
Jules César : Raison de plus pour nous dépêcher de rentrer chez nous.
Posca : Je ne savais pas que l'ironie était un atout militaire.
Jules César : Nous, nous devons vaincre ou mourir. Pompée et ses hommes ont d'autres options.

  • Nicholas Woodeson, Ciarán Hinds, Rome, saison 1, Vaincre ou mourir, écrit par David Frankel.


Épisode 8: Un trône pour deux[modifier]

Titus Pullo (au sujet de Cléopâtre) : Cette princesse égyptienne, je me la ferais volontiers.
Lucius Vorenus : Pullo, son père a marché aux côtés d'Alexandre. Tu lui dois le respect.
Titus Pullo : N'empêche... et elle a envie de moi en plus. Tu l'aurais vu quand j'ai tué le Nubien, elle était mouillée comme un mois d'octobre.

  • Ray Stevenson, Kevin McKidd, Rome, saison 1, Un trône pour deux, écrit par William J. MacDonald.


Cléopâtre : Un homme qui n'a pas de fils est un homme qui n'a pas d'avenir.
  • Lyndsey Marshal, Rome, saison 1, Un trône pour deux, écrit par William J. MacDonald.


Cicéron : N'aie pas mauvaise conscience, nous n'avons fait que notre devoir.
Brutus : Je pense que Saturne a dit le même genre de chose quand il a eu fini de manger ses enfants.

  • David Bamber, Tobias Menzies, Rome, saison 1, Un trône pour deux, écrit par William J. MacDonald.


Épisode 10: Le Triomphe de César[modifier]

Brutus (au sujet des sénateurs) : Lugubres, ils sont lugubres. Ils n'ont jamais été comme ça.
Cicéron : Ça n'est pourtant pas tellement rare d'être triste à des funérailles.
Brutus : Enfin, la République était vieille et infirme. La mort peut être une délivrance dans certains cas.

  • Tobias Menzies, David Bamber, Rome, saison 1, Le Triomphe de César, écrit par Adrian Hodges.


Posca (à Vorenus) : Le peuple romain se moque que les élections soient corrompues. C'est du travail qu'il demande. Il demande de l'eau potable, de la nourriture. Il veut la stabilité, la paix. Tu peux faire de grandes choses pour ton peuple, tu peux aider à sauver la République. Ou bien tu peux retourner à ta boutique vendre du mouton et du porc, les mains sales mais la conscience propre.
  • Nicholas Woodeson, Rome, saison 1, Le Triomphe de César, écrit par Adrian Hodges.


Lucius Vorenus : Je t'appelle comme je veux, tu es un pauvre imbécile. Ce n'est pas l'argent qui compte, c'est le manque de respect. Regarde ce que tu as fait, regarde-le !
Titus Pullo : Tu as peut-être raison, je suis probablement un imbécile. Je n'ai jamais été intelligent comme toi. Toi, t'as jamais été rétrogradé, ni enfermé. Direct au sommet. Et te voilà dans ta belle toge blanche toute propre. Il est beau ce tissu, c'est vrai, il reste propre même si tu te baignes dans la fange et la boue.
Lucius Vorenus : Parle plus clairement.
Titus Pullo : Si tu veux. À une époque, tu traitais César de rebelle et de traître. Aujourd'hui, il te jette des pièces, il te repasse un bout de terre, et c'est le sauveur de la République. Tu lui lèches son cul d'empereur.
Lucius Vorenus : Mets-toi debout. Mets-toi debout ! Lève-toi !
Titus Pullo : Je me bats pas avec toi.

  • Kevin McKidd, Ray Stevenson, Rome, saison 1, Le Triomphe de César, écrit par Adrian Hodges.


Épisode 11: Espoirs déçus[modifier]

Brutus : Seuls les tyrans ont des raisons de se défier des conspirateurs.
  • Tobias Menzies, Rome, saison 1, Espoirs déçus, écrit par Bruno Heller.


Titus Pullo : Treizièèèèèème !!!
  • Ray Stevenson, Rome, saison 1, Espoirs déçus, écrit par Bruno Heller.


Épisode 12: Les Ides de Mars[modifier]

Jules César : Alors Vorenus, que vais-je faire de toi ? Tu as défié les ordres que j'avais donné, tu as osé t'interposer lors de l'exécution d'une sentence. C'est un délit grave, trahison et désobéissance.
Lucius Vorenus : Je te prie de me pardonner, je n'ai aucune excuse.
Jules César : Tu me mets face à un dilemme. Je pourrais te faire précipiter du haut de la Roche Tarpéienne mais le peuple, ces gens au cœur simple, ont fait de toi et de Pullo des héros. Donc si je te punis, le peuple sera très en colère. Et je ne souhaite pas que le peuple soit en colère donc je ne peux pas te punir. Mais si je ne te punis pas, il faut que je te récompense sinon je passerais pour un faible.

  • Ciarán Hinds, Kevin McKidd, Rome, saison 1, Les Ides de Mars, écrit par Bruno Heller.


Saison 2[modifier]

Épisode 1: L'Héritage de César[modifier]

Cassius : Quoi que tu puisses dire, le Sénat tout entier est encore avec nous ainsi que les hommes de valeur.
Marc Antoine : Et il y a avec moi une foule en colère qui est prête à faire rôtir et à se repaître des viscères de tes hommes de valeur sur les cendres du Sénat.


Épisode 2: Fils de Hadès[modifier]

Marc Antoine (au sujet de Cléopâtre) : C'est un sac d'os qui parle trop.
Atia : Elle a forcément quelque chose pour avoir séduit un cœur aussi sec que celui de César.
Marc Antoine : C'est une reine. César aurait baisé la Méduse si elle avait porté une couronne. Tiens donc, serais-tu jalouse ?
Atia : Bien sûr. Je veux bien que tu baises les putains mais pas que tu fasses l'amour à ce genre de femmes.
Marc Antoine : Tu veux dire plus jeune et d'un plus haut rang que toi ?
Atia : C'est une règle sensée.

  • James Purefoy, Polly Walker, Rome, saison 2, Fils de Hadès, écrit par Bruno Heller.


Acerbo : Dis-nous pourquoi des hommes sains d'esprit et respectables comme nous traiterions avec une pauvre bête traquée comme toi ?
Lucius Vorenus : Caius Ignus Acerbo, tu poses une bonne question. Tous ceux qui ne traiteront pas avec moi seront mes ennemis.
Acerbo : Et alors ?
Lucius Vorenus : Alors, ils mourront bien plus tôt qu'ils ne le pensent.
Memmio : Du calme, n'oubliez pas la Concorde sacrée. Pas de menaces.
Lucius Vorenus : La Concorde. [Il s'empare de la statue sacrée de la Concorde et la brise à la stupéfaction générale] Et vous, vous oubliez que je suis le fils d'Hadès ! Je baise la Concorde, je l'encule ! La trêve est levée.

  • Federico Pacifici, Kevin McKidd, Daniel Cerqueira, Rome, saison 2, Fils de Hadès, écrit par Bruno Heller.


Titus Pullo : La route est sombre et personne ne sait où elle nous mènera.
Mascius : On dit que toutes les routes mènent à Rome, non ?

  • Ray Stevenson, Michael Nardone, Rome, saison 2, Fils de Hadès, écrit par Bruno Heller.


Épisode 3: Le Message de Cicéron[modifier]

Marc Antoine : Dis-leur que je t'ai soudoyé. Tu n'es pas corruptible ?
Cicéron : Je ne le suis pas.
Marc Antoine : Ah non ? Tu es bien assez riche. Bon, ça valait le coup d'essayer. Dans ce cas, tu ne me laisses pas le choix.
Cicéron : C'est toujours comme ça que ça se finit.
Marc Antoine : Je sais, pardonne-moi. Quelle drôle d'époque nous vivons.
Cicéron : Mais je t'en prie, continue. Je n'aime pas les sous-entendus. Je préfère que tu exprimes tes menaces clairement.
Marc Antoine : Il y a une question que je veux te poser depuis longtemps. Ton vieil ami Crassus, quand les Parthes ont réussi à le capturer, est-ce qu'on lui a véritablement versé de l'or en fusion dans la gorge ? Parce que si c'est le cas, ça a dû être horriblement douloureux.

  • James Purefoy, David Bamber, Rome, saison 2, Le Message de Cicéron, écrit par Scott Buck.


Épisode 4: Frères ennemis[modifier]

Castor : On m'a trompé et j'ai misérablement échoué. Punis-moi comme il te plaira.
Atia : Te castrer te servirait de leçon.
Castor : Si tu le désires, maîtresse.
Atia : Et je le ferais si les eunuques n'étaient pas si passés de mode.

  • Manfredi Aliquo, Polly Walker, Rome, saison 2, Frères ennemis, écrit par Todd Ellis Kessler.


Agrippa : Encore un magnifique poème, Mécène ? Et toi, si tu faisais quelque chose d'utile pour une fois ?
Mécène : La victoire ne sera victoire que si quelqu'un la chante.

  • Allen Leech, Alex Wyndham, Rome, saison 2, Frères ennemis, écrit par Todd Ellis Kessler.


Servilia (à Atia, qui s'apprête à la faire torturer) : Tu crois que c'est moi que tu avilis en faisant cela mais tu commets une erreur, c'est toi. Aussi longtemps que tu vivras, tu te sentiras avilie et souillée par cet acte, toi.
  • Lindsay Duncan, Rome, saison 2, Frères ennemis, écrit par Todd Ellis Kessler.


Épisode 6: La Liste d'Octave[modifier]

Marc Antoine : Respire à fond, mon garçon. L'odeur de la victoire.
Octave : La fumée, la merde et la chair qui se décompose.
Marc Antoine : Magnifique, n'est-ce pas ?

  • James Purefoy, Simon Woods, Rome, saison 2, La Liste d'Octave, écrit par Eoghan Mahony.


Épisode 7: Le Mariage de Marc Antoine[modifier]

Servilia : Atia de Julii, j'invoque la justice.
  • Lindsay Duncan, Rome, saison 2, Le Mariage de Marc Antoine, écrit par Scott Buck.


Marc Antoine : Moi m'agrandir ? Ce mot dans la bouche d'un garçon dont le soi-disant père est l'homme qui a été élevé au rang d'un dieu.
Octave : Il méritait bien cet honneur.
Marc Antoine : Tu l'as déclaré ainsi pour te permettre de passer pour le fils d'un dieu. Tu n'as rien accompli par toi-même alors tu essaies de t'approprier la gloire des autres.
Octave : Tu as raison. Je n'ai rien accompli de mémorable quand je t'ai battu à Mutina.

  • James Purefoy, Simon Woods, Rome, saison 2, Le Mariage de Marc Antoine, écrit par Scott Buck.


Épisode 8: Secrets et Trahisons[modifier]

Posca : Tu aurais tout de même pu choisir un équipage un peu moins voyant.
Mécène : Ce n'est que ma litière numéro trois, et ta propre banalité est largement suffisante.

  • Nicholas Woodeson, Alex Wyndham, Rome, saison 2, Secrets et Trahisons, écrit par Todd Ellis Kessler.


Lucius Vorenus : Pourtant, il a toujours été loyal. Je n'ai jamais eu à douter de lui.
Titus Pullo : Un traître n'en est pas un jusqu'à ce qu'il le soit.

  • Kevin McKidd, Ray Stevenson, Rome, saison 2, Secrets et Trahisons, écrit par Todd Ellis Kessler.


Octavia : Oh, j'allais oublier. Je vais avoir un enfant.
Agrippa : Qui est le père ?
Octavia : Qui peut le dire ? Aucun homme ne vaut une poignée d'oboles, alors quelle importance ?

  • Kerry Condon, Allen Leech, Rome, saison 2, Secrets et Trahisons, écrit par Todd Ellis Kessler.


Épisode 9: Le Voyage à Alexandrie[modifier]

Lucius Vorenus : J'ai un message à te délivrer de la part de ta femme. Elle m'a chargé de te dire que tu es pleutre, lâche et minable.
Marc Antoine : Ah oui, elle a dit ça. Et, dis-moi, quelle est ton opinion à toi ?
[...]
Lucius Vorenus : Tu n'es pas lâche. Mais ton âme est très affectée. Et cette maladie va te ronger jusqu'à ta mort.
Marc Antoine : Vraiment ? Et cette maladie, c'est quoi ?
Lucius Vorenus : Je ne sais pas, je ne suis pas médecin.
Marc Antoine : Non, en effet. Alors comment peux-tu être sûr de ton diagnostic ?
Lucius Vorenus : Parce que je reconnais les symptômes. J'ai la même maladie.

  • Kevin McKidd, James Purefoy, Rome, saison 2, Le Voyage à Alexandrie, écrit par Mere Smith.


Épisode 10: Au sujet de ton père[modifier]

Octave (au sujet d'Antoine et Cléopâtre) : Elle l'a trahi pour rester en vie, pourquoi déciderait-elle de l'imiter ?
Mécène : Tu peux faire cet effet-là à certains.
Octave : J'ai fait preuve d'une grande gentillesse à son égard, le charme incarné.
Mécène : Oui, seulement c'est là que tu es le plus déprimant.

  • Simon Woods, Alex Wyndham, Rome, saison 2, Au sujet de ton père, écrit par Bruno Heller.


Titus Pullo : Il a proposé des pourparlers, et là, il a dit que tout ça c'était à cause de toi et que lui et moi on devait faire la paix.
Lucius Vorenus : Tu as répondu quoi ?
Titus Pullo : Et ben, je lui ai mis un coup de tête et je lui ai arraché la langue.
Lucius Vorenus : Il a pris ça pour un non, j'imagine.

  • Ray Stevenson, Kevin McKidd, Rome, saison 2, Au sujet de ton père, écrit par Bruno Heller.


Livia : En ce qui me concerne, ça m'est égal mais c'est à moi de passer devant. Tu sauras en consultant les prêtres que l'épouse a la préséance.
Atia : Je n'ai rien à foutre de ce que les prêtres disent. Je ne laisserai pas une petite putain vicieuse comme toi me passer devant. J'irai en premier.
Livia : Je n'y verrai aucune offense. Tu n'es pas toi-même.
Atia : Je sais ce que tu es, je lis en toi. Tu es en train de te jurer qu'un jour tu me détruiras. N'oublie jamais que des femmes beaucoup plus douées que tu ne l'es se sont jurées la même chose. Trouves-en une seule en vie.

  • Alice Henley, Polly Walker, Rome, saison 2, Au sujet de ton père, écrit par Bruno Heller.


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