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'''Jean Léopold '''Nicolas''' Frédéric Cuvier''', dit '''[[w:Georges Cuvier|Georges Cuvier]]''', né le {{Date|23|août|1769}} à [[w:Montbéliard|Montbéliard]], décédé le {{Date|13|mai|1832}} à [[w:Paris|Paris]] , est un [[:catégorie:Biologiste|biologiste]] [[:catégorie:personnalité française|français]], promoteur de l'[[w:anatomie comparée|anatomie comparée]] et de la [[w:paléontologie|paléontologie]].
'''Jean Léopold Frédéric Cuvier''', dit '''[[w:Georges Cuvier|Georges Cuvier]]''', né le {{Date|23|août|1769}} à [[w:Montbéliard|Montbéliard]], décédé le {{Date|13|mai|1832}} à [[w:Paris|Paris]] , est un [[:catégorie:Biologiste|biologiste]] [[:catégorie:personnalité française|français]], promoteur de l'[[w:anatomie comparée|anatomie comparée]] et de la [[w:paléontologie|paléontologie]].


== Citations ==
== Citations ==

Version du 28 mai 2010 à 00:34

Georges Cuvier

Jean Léopold Frédéric Cuvier, dit Georges Cuvier, né le 23 août 1769 à Montbéliard, décédé le 13 mai 1832 à Paris , est un biologiste français, promoteur de l'anatomie comparée et de la paléontologie.

Citations

Sur les sciences

Au onzième siècle l'Europe ne recevait guère de lumières que des Arabes d'Espagne. La plupart des chrétiens qui cherchaient à s'instruire, surtout en médecine, se rendaient dans leurs écoles. Gerbert, archevêque de Reims, l'un des grands hommes du siècle, et qui devint pape sous le nom de Sylvestre II, avait fait ses études à Cordoue. C'est par lui que fut introduit chez les chrétiens l'usage des chiffres arabes, si commodes pour les calculs. [...] Les écoles des Arabes avaient une supériorité trop remarquable, pour qu'elles ne devinssent pas le modèle de celles qui furent établies plus tard en France et ailleurs.
  • Histoire des sciences naturelles, Georges Cuvier, éd. Fortin, Masson et cie, 1841, t. 1, p. 396


Sur les Idées

Les idées une fois jetées dans les esprits sont comme les semences, dont le produit dépend des lois de la nature, et non de la volonté de ceux qui les ont répandues.


Le raisonnement n'est que le moindre des moyens nécessaires pour faire prévaloir parmi les hommes des opinions qui blessent leurs habitudes ou leurs intérêts du moment.


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