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''La Coupe d'Or et autres contes, Louis Tieck, éd. Denoël et Steele |
''La Coupe d'Or et autres contes, Louis Tieck, éd. Denoël et Steele, 1933, p.142'' |
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== ''Vie de l'illustre empereur Abraham Tonnelli'' == |
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|Pour un peu je serais tombé au beau milieu des assasins, si la Providence n'eût voulu, Dieu merci, me conserver pour faire de moi un meilleur usage. |
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''La Coupe d'Or et autres contes, Louis Tieck, éd. Denoël et Steele, 1933, p.191'' |
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|J'étais donc de la meilleure humeur du monde et je me régalais à coeur-que-veux-tu. Au reste, je n'ai jamais aimé à me rien refuser, car après tout, on est toujours son propre prochain. |
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''La Coupe d'Or et autres contes, Louis Tieck, éd. Denoël et Steele, 1933, p.238'' |
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|De tout temps, j'ai agi selon les préceptes d'une fine politique, sachant m'adapter toujours au rang des gens que je fréquentais. |
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''La Coupe d'Or et autres contes, Louis Tieck, éd. Denoël et Steele, 1933, p.254'' |
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|Je goûtais avec bonheur les joies du mariage et je m'étonnais de n'y avoir pas songé plus tôt ; car maintenant, j'avais toujours quelqu'un qui me parlait et je n'avais plus besoin d'aller chercher de la conversation hors de chez moi. |
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''La Coupe d'Or et autres contes, Louis Tieck, éd. Denoël et Steele, 1933, p.260'' |
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Version du 22 avril 2010 à 17:06
Johann Ludwig TIECK
Citations « Johann Ludwig TIECK » sur Wikiquote, le recueil de citations libre
Johann Ludwig TIECK (31 mai 1773 à Berlin – 28 avril 1853 à Berlin) est un poète allemand, traducteur, éditeur, romancier et critique, initiateur du premier Romantisme.
Les Elfes
Ce sera comme les fleurs des arbres : quelle merveille que le pommier fleuri, lorsque tous ses boutons rosés viennent d'éclore. L'arbre s'enorgueillit et se rengorge, et à le voir, on s'attend en effet à des splendeurs infinies ; puis vient le soleil, les fleurs s'ouvrent bien gentiment, mais déjà se cache en elle la méchante graine qui va bousculer et disperser leur parure colorée ; anxieuse, elle ne peut arrêter sa croissance, il lui faut, à l'automne, devenir fruit. Sans doute la pomme est-elle belle et agréable à voir, mais qu'est-ce auprès de la fleur printanière ? Il en va ainsi de nous autres humains (...)
La Coupe d'Or et autres contes, Louis Tieck, éd. Denoël et Steele, 1933, p.142