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''La Coupe d'Or et autres contes, Louis Tieck, éd. Denoël et Steele, 1933, p.260''
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[http://fr.wikipedia.org/wiki/Tieck/ Tieck sous Wikipedia]
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Johann Ludwig TIECK

Citations « Johann Ludwig TIECK » sur Wikiquote, le recueil de citations libre


Johann Ludwig TIECK (31 mai 1773 à Berlin – 28 avril 1853 à Berlin) est un poète allemand, traducteur, éditeur, romancier et critique, initiateur du premier Romantisme.

Les Elfes

Ce sera comme les fleurs des arbres : quelle merveille que le pommier fleuri, lorsque tous ses boutons rosés viennent d'éclore. L'arbre s'enorgueillit et se rengorge, et à le voir, on s'attend en effet à des splendeurs infinies ; puis vient le soleil, les fleurs s'ouvrent bien gentiment, mais déjà se cache en elle la méchante graine qui va bousculer et disperser leur parure colorée ; anxieuse, elle ne peut arrêter sa croissance, il lui faut, à l'automne, devenir fruit. Sans doute la pomme est-elle belle et agréable à voir, mais qu'est-ce auprès de la fleur printanière ? Il en va ainsi de nous autres humains (...)

La Coupe d'Or et autres contes, Louis Tieck, éd. Denoël et Steele, trad. albert Béguin, 1933, p.142


Vie de l'illustre empereur Abraham Tonnelli

Pour un peu je serais tombé au beau milieu des assasins, si la Providence n'eût voulu, Dieu merci, me conserver pour faire de moi un meilleur usage.

La Coupe d'Or et autres contes, Louis Tieck, éd. Denoël et Steele, 1933, p.191


J'étais donc de la meilleure humeur du monde et je me régalais à coeur-que-veux-tu. Au reste, je n'ai jamais aimé à me rien refuser, car après tout, on est toujours son propre prochain.

La Coupe d'Or et autres contes, Louis Tieck, éd. Denoël et Steele, 1933, p.238


De tout temps, j'ai agi selon les préceptes d'une fine politique, sachant m'adapter toujours au rang des gens que je fréquentais.

La Coupe d'Or et autres contes, Louis Tieck, éd. Denoël et Steele, 1933, p.254


Je goûtais avec bonheur les joies du mariage et je m'étonnais de n'y avoir pas songé plus tôt ; car maintenant, j'avais toujours quelqu'un qui me parlait et je n'avais plus besoin d'aller chercher de la conversation hors de chez moi.

La Coupe d'Or et autres contes, Louis Tieck, éd. Denoël et Steele, 1933, p.260

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