« Paul Verlaine » : différence entre les versions
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Qui pénètre mon cœur ?}} |
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{{réf Livre|titre=Romances sans paroles|auteur=Paul Verlaine|année=1874|éditeur=L'Hermitte|poème=III (« Il pleure dans mon cœur »)|partie=Ariettes oubliées|vers=1-4|page=9|s=}} |
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== ''Jadis et naguère'', 1884 == |
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De la musique avant toute chose<br /> |
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Et pour cela préfère l'Impair<br /> |
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Plus vague et plus soluble dans l’air,<br /> |
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Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.}} |
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Que ton vers soit la bonne aventure</br> |
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Éparse au vent crispé du matin</br> |
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Qui va fleurant la menthe et le thym…</br> |
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Et tout le reste est littérature.}} |
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{{réf Livre|titre=Jadis et naguère|auteur=Paul Verlaine|année=1884|éditeur=L'Hermitte|poème=XII (« Art Poétique»)|partie=Sonnets et autres vers|vers=33-36|page=80|s=}} |
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== ''Dédicaces'', 1890 == |
== ''Dédicaces'', 1890 == |
Version du 22 juillet 2009 à 11:20
Paul Verlaine (Metz, 30 mars 1844 — Paris, 8 janvier 1896) est un poète français.
Poèmes saturniens, 1866
D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime,
Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même,
- Poèmes saturniens, Paul Verlaine, éd. A. Lemerre, 1866, partie Mélancholia, poème VI (« Mon rêve familier »), p. 23, vers 1-4 (texte intégral sur Wikisource)
L'inflexion des voix chères qui se sont tues.
- Poèmes saturniens, Paul Verlaine, éd. A. Lemerre, 1866, partie Mélancholia, poème VI (« Mon rêve familier »), p. 24, vers 13-14 (texte intégral sur Wikisource)
Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon cœur
D'une langueur
- Poèmes saturniens, Paul Verlaine, éd. A. Lemerre, 1866, partie Paysages tristes, poème V (« Chanson d'automne »), p. 57, vers 1-6 (texte intégral sur Wikisource)
Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçà, delà
Pareil à la
Feuille morte.
- Poèmes saturniens, Paul Verlaine, éd. A. Lemerre, 1866, partie Paysages tristes, poème V (« Chanson d'automne »), p. 58, vers 13-18 (texte intégral sur Wikisource)
Fêtes galantes, 1869
- Avec sa césure irrégulière, l'un des premiers alexandrins irréguliers de la poésie française
- « Fêtes galantes » (1869), dans Fêtes galantes - Romances sans paroles, Paul Verlaine, éd. Gallimard, coll. « Poésie / Gallimard », 1973, p. 102 (texte intégral sur Wikisource)
Romances sans paroles, 1874
Il pleure dans mon cœur
Comme il pleut sur la ville,
Quelle est cette langueur
- Romances sans paroles, Paul Verlaine, éd. L'Hermitte, 1874, partie Ariettes oubliées, p. 9, vers 1-4 (texte intégral sur Wikisource)
Jadis et naguère, 1884
De la musique avant toute chose
Et pour cela préfère l'Impair
Plus vague et plus soluble dans l’air,
- Jadis et naguère, Paul Verlaine, éd. L'Hermitte, 1884, partie Sonnets et autres vers, p. 80, vers 1-4 (texte intégral sur Wikisource)
Que ton vers soit la bonne aventure
Éparse au vent crispé du matin
Qui va fleurant la menthe et le thym…
- Jadis et naguère, Paul Verlaine, éd. L'Hermitte, 1884, partie Sonnets et autres vers, p. 80, vers 33-36 (texte intégral sur Wikisource)
Dédicaces, 1890
Tu mérites la prime place en ce mien livre
- « Dédicaces » (1890), dans Œuvres complètes de Paul Verlaine, Paul Verlaine, éd. L. Vanier, 1902-1905, t. 3, poème LXII (« À Arthur Rimbaud »), p. 161, vers 1-2
“Hombres” (Hommes)
Dans ce café bondé d'imbéciles, nous deux
Seuls, nous représentions le soi-disant hideux
Vice d'être « pour homme » et sans qu'ils s'en doutassent
Nous encagnions ces cons avec leur air bonasse,
- ”Hombres” (Hommes), Paul Verlaine, éd. N/A (« imprimé sous le manteau et ne se vend nulle part »), 1904, poème XII (« Dans ce café »), p. 39, vers 1-5 (texte intégral sur Wikisource)
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