« Proust, les horreurs de l'amour » : différence entre les versions

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{{citation|L’intense vérité du réel est toujours au-devant de nous, là où sont les autres, dans une intimité dont nous sommes exclus. Cette réalité dont nous ne sommes jamais que des voyeurs, sera-t-il jamais possible d’y pénétrer ?}}
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{{Réf Livre|titre=Proust, les horreurs de l'amour
|auteur=Nicolas Grimaldi
|éditeur=PUF
|année=2008
|ISBN=978-2-13-057123-0
|page=11}}

{{citation|Se représenter le réel, c’est s’en absenter.}}
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Version du 19 janvier 2009 à 06:54

Proust, les horreurs de l'amour est une œuvre philosophique de Nicolas Grimaldi parue en 2008.

Citations

Partie I : La distance et la séparation

Imaginer, rêver, espérer, c’est avoir réuni toutes les conditions de la désillusion.


Si loin, le réel nous fascine. Si proche, nous sommes toujours surpris de le trouver si peu surprenant.


L’intense vérité du réel est toujours au-devant de nous, là où sont les autres, dans une intimité dont nous sommes exclus. Cette réalité dont nous ne sommes jamais que des voyeurs, sera-t-il jamais possible d’y pénétrer ?


Se représenter le réel, c’est s’en absenter.


Partie II : Le roman des déceptions

[…] il y a bien plus décevant que de ne pas obtenir ce qu’on attendait, c’est d’être déçu en l’obtenant.


Partie III : L’énigme du réel

La réalité, nous y sommes. Nous pourrions la décrire. Pourtant, qu’en savons-nous jamais ?


[…] c’est de notre attente que les choses reçoivent le sens qu’elles ont pour nous.


Cette façon intense d’exister que nous communiqueraient des paysages inconnus ou des personnes appartenant à d’autres mondes, c’est ce que nous attendons aussi bien des voyages que de l’amour.


Partie IV : Le désir d’exotisme

Partie V : Le besoin de posséder

Partie VI : Les horreurs de l’amour

Partie VII : Le réel retrouvé

Partie VIII : Postface : Note sur le désappointement proustien